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istoire soit venue jusqu’à nous, c’est Héloïse et
Abélard
: première moitié du xiie siècle. 28. Charles-Albert Cingria, Ieu o
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e siècle145 et dont nous possédons les lettres à
Abélard
, évoque Iseut, Juliette et Mlle de Lespinasse, beaucoup plus que Juli
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pendice 10. 145. Rappelons que l’amour fameux d’
Abélard
et Héloïse est le premier exemple historique de la passion dont nous
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r elle-même ?) en vers latins (cité par Rémusat :
Abélard
, t. I). L’amante supplie : Soulage-moi de ma croix. Conduis vers la
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à ils sont entrés dans le sanctuaire du Sauveur.
Abélard
répondit assez mal à cette passion. Mais sa théologie, fort hérétique
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ités théologiques : saint Bernard de Clairvaux et
Abélard
sont les pôles de ce drame dans l’Église, et au niveau de la spéculat
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z Bernard de Clairvaux, Hughes de Saint-Victor et
Abélard
lui-même. Héloïse et Abélard vivent d’abord, puis publient largement
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s de Saint-Victor et Abélard lui-même. Héloïse et
Abélard
vivent d’abord, puis publient largement en poèmes courtois et en lett
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Bernard de Clairvaux et les cathares, mais aussi
Abélard
, l’école de Chartres, et plusieurs hérétiques très dangereusement voi
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istoire soit venue jusqu’à nous, c’est Héloïse et
Abélard
dont la rencontre se situe en 1118, très précisément. 30. Charles-Al
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gustin, de Bernard, d’Hughes de Saint-Victor et d’
Abélard
, fait éclater le catharisme profond de Gottfried, et son anticatholic
12
. Et Gottfried n’a-t-il pas imité le sic et non d’
Abélard
? L’exemple de l’amour du docteur pour la Nonne n’a cessé de hanter l
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e siècle163 et dont nous possédons les lettres à
Abélard
, évoque Iseut, Juliette et Mlle de Lespinasse, beaucoup plus que Juli
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pendice 11. 163. Rappelons que l’amour fameux d’
Abélard
et Héloïse est le premier exemple historique de la passion dont nous
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r elle-même ?) en vers latins (cité par Rémusat :
Abélard
, t. I). L’amante supplie : Soulage-moi de ma croix, Conduis vers la
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à ils sont entrés dans le sanctuaire du Sauveur.
Abélard
répondit assez mal à cette passion. Mais sa théologie, fort hérétique
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ités théologiques : saint Bernard de Clairvaux et
Abélard
sont les pôles de ce drame dans l’Église, et au niveau de la spéculat
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z Bernard de Clairvaux, Hughes de Saint-Victor et
Abélard
lui-même. Héloïse et Abélard vivent d’abord, puis publient largement,
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s de Saint-Victor et Abélard lui-même. Héloïse et
Abélard
vivent d’abord, puis publient largement, en poèmes courtois et en let
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Bernard de Clairvaux et les cathares, mais aussi
Abélard
, l’école de Chartres, et plusieurs hérétiques très dangereusement voi
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istoire soit venue jusqu’à nous, c’est Héloïse et
Abélard
dont la rencontre se situe en 1118, très précisément. 22. Charles-Al
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gustin, de Bernard, d’Hughes de Saint-Victor et d’
Abélard
, fait éclater le catharisme profond de Gottfried, et son anticatholic
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. Et Gottfried n’a-t-il pas imité le sic et non d’
Abélard
? L’exemple de l’amour du docteur pour la Nonne n’a cessé de hanter l
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au xiie 152 et dont nous possédons les lettres à
Abélard
, évoque Iseut, Juliette et Mlle de Lespinasse, beaucoup plus que Juli
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pendice 13. 152. Rappelons que l’amour fameux d’
Abélard
et Héloïse est le premier exemple historique de la passion dont nous
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r elle-même ?) en vers latins (cité par Rémusat :
Abélard
, t. I). L’amante supplie : Soulage-moi de ma croix, Conduis vers la
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à ils sont entrés dans le sanctuaire du Sauveur.
Abélard
répondit assez mal à cette passion. Mais sa théologie, fort hérétique
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omme à l’histoire exemplaire vécue par Héloïse et
Abélard
, le mythe de la passion mortelle mis en vers et en prose dès la fin d
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rités théologiques. Saint Bernard de Clairvaux et
Abélard
sont les pôles de ce drame dans l’Église, et au niveau de la spéculat
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z Bernard de Clairvaux, Hughes de Saint-Victor et
Abélard
lui-même. Héloïse et Abélard vivent d’abord, puis publient largement
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s de Saint-Victor et Abélard lui-même. Héloïse et
Abélard
vivent d’abord, puis publient largement en poèmes courtois et en lett
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omme à l’histoire exemplaire vécue par Héloïse et
Abélard
, le mythe de la passion mortelle mis en vers et en prose dès la fin d
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r le maître à penser des jeunes gens de l’époque,
Abélard
. La substance de cette Université est donc la disputatio, confrontati
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ne par exemple, c’était la méthode introduite par
Abélard
qui s’appelait le « sic et non », le oui et le non. La discussion dan
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adours comme dans le cœur d’Héloïse et l’esprit d’
Abélard
, s’adresse à l’ange dans l’âme et à l’âme dans le corps. Il refuse to
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e de l’Astrée, de Pétrarque, des troubadours et d’
Abélard
, et rend au sentiment la primauté, mais il est Suisse et démocrate. S
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cle qu’avec la poésie des troubadours, Héloïse et
Abélard
, puis Tristan et Iseut, prototype éternel de l’amour-passion : et c’e
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d et Bernard de Clairvaux. Les chansons d’amour d’
Abélard
pour Héloïse sont presque exactement contemporaines des premières cha
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amem. Sa lutte impitoyable contre la théologie d’
Abélard
(mort en 1142) précédera de peu sa mission dans le Midi contre le cat
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ourou, ou du philosophe indépendant, de Diogène à
Abélard
, de Rousseau à Nietzsche. Il vivra dans la frange effervescente de no
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passion Très peu après l’aventure d’Héloïse et
Abélard
apparaît le roman de Tristan et Iseut. Plusieurs allusions dans des p
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titre significatif puisqu’il évoque la passion d’
Abélard
), Rousseau d’un coup ressuscite l’amour de Pétrarque (auquel il empru
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qui d’Héraclite à Nicolas de Cuse, en passant par
Abélard
, fonde le réel humain sur l’harmonie des contraires et la coïncidence