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onde du mouvement des « Amis de Dieu ». Initié en
Alsace
par le marchand Rulman Merswin, au xive siècle, ce mouvement plus ou
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nfants, son idée n’était-elle pas de se rendre en
Alsace
, pour y rejoindre des communautés d’Amis de Dieu dont Hattinger lui a
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mis de Dieu, ou les Sauvages. Nous sommes venus d’
Alsace
, pour voir le frère Claus. L’ombre. — À la bonne heure ! On n’att
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-vous ? Le 1er pèlerin. — Nous sommes venus d’
Alsace
, chassés par la misère et par les guerres continuelles, en chemin ram
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constate néanmoins qu’ici ou là, en Algérie ou en
Alsace
, des amendes ou des peines de prison ont été infligées aux pères d’en
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d’avant Philippe Auguste excluait la Bretagne, l’
Alsace
, le Languedoc, la Provence, la Bourgogne et la Champagne. C’était tou
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e Languedoc, ni la Provence, ni la Bretagne, ni l’
Alsace
, ni la Lorraine, ni la Bourgogne, ni les Flandres, et c’était tout de
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ndées par le général Sikorski, se sont battues en
Alsace
et en Norvège jusqu’au printemps de 1940. La division de Norvège vien
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lement : elle s’accroît de la Franche-Comté, de l’
Alsace
et du Tyrol. La République de Belgique se compose de la Belgique et d
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mandie, la Bretagne, la Bourgogne, la Lorraine, l’
Alsace
, toutes nos provinces se sont fondues dans la France. Un jour viendra
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nt même la Catalogne, en ont aussi fait partie. L’
Alsace
est maintenant un pays germanique de langue et de race ; mais, avant
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s, avant d’être envahie par la race germanique, l’
Alsace
était un pays celtique, ainsi qu’une partie de l’Allemagne du Sud. No
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la Somme, aux craies de Champagne, aux granits d’
Alsace
, — l’Hamlet européen regarde des millions de spectres. Mais il est un
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mandie, la Bretagne, la Bourgogne, la Lorraine, l’
Alsace
, toutes nos provinces se sont fondues dans la France. Un jour viendra
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iiie siècle, au profit d’un troisième larron. En
Alsace
et en Argovie, aux alentours de l’an mille, une famille dont le nom p
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antons entre eux et avec les cités et ligues de l’
Alsace
, de la Souabe, de la Savoie, de la Lombardie, etc. Mais il faut rappe
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e sa victoire, Léopold de Habsbourg — landgrave d’
Alsace
et petit-fils de Rodolphe Ier — lève une armée et marche contre Schwy
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helvétique » augmentée de la Franche-Comté, de l’
Alsace
et du Tyrol. William Penn, dans son Essay towards the Present and Fut
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vant Philippe-Auguste « excluait » la Bretagne, l’
Alsace
, le Languedoc, la Provence, la Bourgogne et la Champagne. C’était tou
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de Galles, de la Catalogne, de l’Occitanie, de l’
Alsace
, etc. Or, les États-nations français, espagnol et anglais, qui insist
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inguistiques du Sud-Tyrol et du Val d’Aoste, de l’
Alsace
, de la grande Occitanie ou du petit Jura bernois ; les révoltes ethni
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les minorités germanophones de la Belgique, de l’
Alsace
, de la Transylvanie, de la Slovénie, des pays baltes et de la région
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les minorités germanophones de la Belgique, de l’
Alsace
, de la Transylvanie, de la Slovénie, de la Pologne, des pays baltes e
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et formation technique, mass médias. Langues. En
Alsace
, après la fin de la guerre et de l’occupation nazie, l’enseignement d
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dernière guerre « l’enseignement de l’allemand en
Alsace
a été organisé de façon à être pour ainsi dire inefficace. Ici et là,
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ande mais seulement de la TV italienne. Quant à l’
Alsace
: « nombreux sont ceux qui désireraient que les émissions locales de
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les minorités germanophones de la Belgique, de l’
Alsace
, du Schleswig, de la Transylvanie, de la Slovénie, de la Pologne, des
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ionales. (Ex. : il ne s’agit pas de savoir si « l’
Alsace
va basculer dans l’orbite économique allemande », mais comment elle p
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de la culture occidentale. 110. Henri Schwamm,
Alsace
, Éd. Rencontre, Lausanne, 1968. 111. F. R. Allemann, « L’Alsace rég
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ontre, Lausanne, 1968. 111. F. R. Allemann, « L’
Alsace
région charnière de l’Europe », Preuves , Paris, février 1964. 112.
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inguistiques du Sud-Tyrol et du Val d’Aoste, de l’
Alsace
, de la grande Occitanie, ou du petit Jura (encore bernois) ; les révo
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germanophones de la Belgique, du Luxembourg, de l’
Alsace
, de l’Italie, de la Transylvanie, de la Slovénie, des pays baltes et
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les problèmes linguistiques du Sud-Tyrol et de l’
Alsace
, de la grande Occitanie ou du petit Jura bernois ; les révoltes ethni
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rontière nationale : Nord à Belgique, Lorraine et
Alsace
à RFA, Rhône-Alpes à Suisse et Italie, etc., jusqu’à « Normandie aux
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sait : le Nord avec la Belgique, la Lorraine et l’
Alsace
avec l’Allemagne, la Franche-Comté avec la Suisse, Rhône-Alpes avec l
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et qu’on nomme calvados en Normandie, pflümli en
Alsace
, et sliwovicz en Croatie. Citoyen d’honneur de cette communauté, depu
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ir aux régions des pays voisins, la Lorraine et l’
Alsace
à l’Allemagne, Rhône-Alpes à la Suisse et à l’Italie, la Provence à l
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d’énergie sont très chers, de la Bretagne ou de l’
Alsace
à Paris : pourquoi ne pas en faire l’économie ? Et si la Seine ne vau
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oncitoyens de la région ont occupé Markolsheim en
Alsace
et occupent encore Wyhl au pays de Bade, en décidant de reprendre en
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ne comme en Euskadi, comme en Occitanie, comme en
Alsace
, et même dans le Jura naguère bernois. De la notion très composite d’
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comme l’a fait l’État français en Bretagne et en
Alsace
, ni celui de l’imposer — et encore moins celui de réunir des territoi
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comme fit l’État nazi annexant les Sudètes puis l’
Alsace
avec un œil sur la Suisse alémanique. Si le petit État national se ra
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kur, n° 274, Munich, 1971. 175. Pour la France :
Alsace
, Flandres, Bretagne, Pays basque, Roussillon catalan, Limousin, Toulo
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Valdotains — pas dupes ! L’allemand est brimé en
Alsace
, où une loi de 1946 interdit l’enseignement de cette langue (pourtant
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quitaine, Albigeois, Toulousain, Provence, Corse,
Alsace
, Lorraine et Flandres — se retourne naturellement en haine contre l’E
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s de Paris, dans les langues usitées en Bretagne,
Alsace
, Corse, Roussillon et Pays basque. Elle considère que « l’emploi du f
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anie, Bretagne, pays de Galles, Écosse, Flandres,
Alsace
, Corse, Sud Tyrol, etc. Ce sont les plus évidentes, les plus pittores
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l’État : le Nord à la Belgique, la Lorraine et l’
Alsace
à la RFA, Rhône-Alpes à la Suisse, la Provence à l’Italie, le Langued
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e Alsace-Brisgau ; Regio Basiliensis (Bâle, Bade,
Alsace
). La région lémano-alpine, étudiée par l’Institut universitaire d’étu
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anie, Bretagne, pays de Galles, Écosse, Flandres,
Alsace
, Corse, Sud Tyrol, etc. Ce sont les plus évidentes, les plus pittores
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alogne, Occitanie, Corse, Sud Tyrol, Val d’Aoste,
Alsace
, Flandres, Jura. Leurs doléances et revendications sont toujours les
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, le Roussillon catalan, la Provence, la Corse, l’
Alsace
; — en Grande-Bretagne : l’Écosse, le pays de Galles, la Cornouaille,
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e Alsace-Brisgau ; Regio basiliensis (Bâle, Bade,
Alsace
). La région lémano-alpine, étudiée par l’Institut universitaire d’étu
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: ethnique (Bretagne, Pays basque), linguistique (
Alsace
), culturelle (Occitanie), géographique-écologique (lémano-alpine), éc
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utres par la tradition linguistique, ethnique : l’
Alsace
. Les régions doivent se superposer de toutes sortes de manières, libr
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me la bretonne, la provençale ou l’allemande de l’
Alsace
et de la Lorraine, pratiquement interdites par les lois de la « Répub
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çais, en dépit de l’édit de Villers-Cotterêts : l’
Alsace
, les Flandres, la Bretagne, les régions basques, les régions catalane