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r vivre comme je vis ! » Voici les cigognes, dont
Andersen
assure qu’elles parlent en égyptien, « car c’est la langue qu’elles a
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t Søren Kierkegaard. (Féerie du Conte de ma vie d’
Andersen
, où l’on voit ce « poète des poètes » à la sensibilité si authentique
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r vivre comme je vis ! » Voici les cigognes, dont
Andersen
assure qu’elles parlent en égyptien, « car c’est la langue qu’elles a
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me confiner dans cette petite édition cartonnée d’
Andersen
, mais sans cesse des hommes entrent, cherchent une place, ouvrent la
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ris, énervés ? Un cœur viril et bon comme celui d’
Andersen
, un tel cœur ne se fermerait pas devant la haine qui sourd de tant d’
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vivre comme je vis ! » Voici les cigognes, dont
Andersen
assure qu’elles parlent en égyptien, « car c’est la langue qu’elles a
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me confiner dans cette petite édition cartonnée d’
Andersen
, mais sans cesse des hommes entrent, cherchent une place, ouvrent la
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ris, énervés ? Un cœur viril et bon comme celui d’
Andersen
, un tel cœur ne se fermerait pas devant la haine qui sourd de tant d’
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u fond des steppes vers son génie. Et l’on dit qu’
Andersen
écrivit quelques-uns de ses plus beaux contes pendant le séjour qu’il
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rition fait songer aux plus radieuses créations d’
Andersen
. On a fait un succès depuis quelques années à tant de traductions qui
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le et sacre, dix autres scènes enfantines : c’est
Andersen
, en plus grave. À chacun sa réalité : elle dépend du regard qu’on por
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e et l’expression littéraire du mythe : Chamisso,
Andersen
, Hofmannsthal, et bien d’autres imitateurs, dont le moindre n’est pas
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et qui emprunte celle d’une fille du peuple. Mais
Andersen
, comme on pouvait s’y attendre, fait dominer l’aspect « spirituel » d
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rmalité. 38. Dans le conte intitulé « l’Ombre »,
Andersen
raconte comment un philosophe « Venant des froides régions du Nord »
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r vivre comme je vis ! » Voici les cigognes, dont
Andersen
assure qu’elles parlent en égyptien, « car c’est la langue qu’elles a
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me confiner dans cette petite édition cartonnée d’
Andersen
, mais sans cesse des hommes entrent, cherchent une place, ouvrent la
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ris, énervés ? Un cœur viril et bon comme celui d’
Andersen
, un tel cœur ne se fermerait pas devant la haine qui sourd de tant d’
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e et l’expression littéraire du mythe : Chamisso,
Andersen
, Hofmannsthal, et bien d’autres imitateurs, dont le moindre n’est pas
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et qui emprunte celle d’une fille du peuple. Mais
Andersen
, comme on pouvait s’y attendre, fait dominer l’aspect « spirituel » d
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e normalité. 4. Dans le conte intitulé L’Ombre,
Andersen
raconte comment un philosophe « venant des froides régions du nord »
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e sa fenêtre. « Mais dans ces climats chauds, dit
Andersen
, les choses croissent très vite ; et après qu’une semaine eut passé,
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u fond des steppes vers son génie. Et l’on dit qu’
Andersen
écrivit quelques-uns de ses plus beaux contes pendant le séjour qu’il
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ard : Post-scriptum aux riens philosophiques. 76.
Andersen
: Contes. 77. G. Bernanos : Journal d’un curé de campagne. 78. Valer
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, non dépourvu d’un sombre charme pour certains —
Andersen
écrivit au Locle La petite Sirène. Des bataillons de sapins noirs mon