1 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Hommage à C. F. Ramuz (mai 1940)
1 udois), les deux Cingria, le peintre Auberjonois, Ansermet , Stravinsky. Claudel y touche de près. Cocteau y a des souvenirs, Mar
2 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Les mythes sommeillent… ils vont se réveiller [Entretien] (9-10 février 1963)
2 appelle son animisme. Les musiciens (comme le dit Ansermet ), les peintres, les écrivains refusent de donner forme à l’irrationne
3 1963, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur » (9-10 novembre 1963)
3 as faire de musique. Pas davantage que Descartes, Ansermet ne se fonde sur le dogme, sur la Bible et la Tradition, ni sur quelqu
4 e promesses d’une vie future, et par là même, dit Ansermet , abandonnant notre bas monde à ses fins matérielles, à l’intérêt. C’e
5 ien ce qu’en diraient les barthiens dont je fus : Ansermet , partant de Husserl, réinvente le libéralisme protestant de l’époque
6  Dieu des philosophes et des savants », encore qu’ Ansermet dise très bien que ce n’est pas le Dieu des philosophes qui sera d’un
7 équation d’Einstein — voici qu’il est aussi, pour Ansermet , précisément le « Dieu sensible au cœur », saisi dans la conscience p
8 es uns et les autres auraient tort. Nous devons à Ansermet une tentative unique d’adéquation de l’affectif au spirituel, et d’ap
4 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’absence d’une « culture nationale », facteur du développement intellectuel (26-27 septembre 1971)
9 des de l’esprit Ramuz, Stravinski, Auberjonois et Ansermet écrivent, composent, peignent et dirigent L’Histoire du Soldat, inaug
5 1971, Articles divers (1970-1973). Souvenir d’Honegger et de Nicolas de Flue (1971)
10 l’homme) au monde », pour reprendre une formule d’ Ansermet , « le fondement commun du monde et de ma propre existence » (de ma co
6 1977, Articles divers (1974-1977). Souvenir de 1938 (1977)
11 negger reste en dehors — au-dessus — de ce débat. Ansermet disait des petits chœurs d’anges ou d’enfants de Nicolas de Flüe : «