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sais-je : le salut n’est pas là, ou là, à Rome, à
Athènes
, à Moscou, dans cette doctrine, dans ces œuvres, à droite, à gauche,
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u’il connaissait par Plotin, Proclus et l’école d’
Athènes
— un continuateur de Zoroastre. Son néo-platonisme était par ailleurs
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u’il connaissait par Plotin, Proclus et l’école d’
Athènes
— un continuateur de Zoroastre. Son néo-platonisme était par ailleurs
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u’il connaissait par Plotin, Proclus et l’école d’
Athènes
— un continuateur de Zoroastre. Son néo-platonisme était par ailleurs
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e démontrer dans un roman intitulé Appartements d’
Athènes
(l’a-t-on publié en français ?). Nous avons en commun, d’autre part,
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el « au dieu inconnu », que saint Paul admirait à
Athènes
, mais j’ai tout lieu de croire qu’il existe à New York. Serait-ce cet
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e démontrer dans un roman intitulé Appartements d’
Athènes
: le « bon Allemand », dit-il, est le plus dangereux. Nous avons en c
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e démontrer dans un roman intitulé Appartements d’
Athènes
: le « bon Allemand », dit-il, est le plus dangereux. Nous avons en c
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tel « au dieu inconnu » que saint Paul admirait à
Athènes
, mais j’ai tout lieu de croire qu’il existe à New York. Serait-ce cet
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e vous le sachiez ou non, vous êtes les députés d’
Athènes
, de Rome et de Jérusalem. Les députés de la conscience la plus inquiè
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u’un qui ne se sent pas le député de Mozart, ni d’
Athènes
, ni de Rome, ni de rien à vrai dire de ce qu’a pu signifier le nom d’
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s trois pôles peuvent être appelés symboliquement
Athènes
, Rome et Jérusalem. Athènes, c’est la découverte de l’individu, de l’
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ppelés symboliquement Athènes, Rome et Jérusalem.
Athènes
, c’est la découverte de l’individu, de l’homme distingué du troupeau,
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Après vingt siècles de combinaisons et d’analyse,
Athènes
, Rome, et Jérusalem, cela s’appelle aujourd’hui l’individualisme, le
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sophique ou historique tendant à prouver qu’entre
Athènes
, Rome et Jérusalem, il y avait, dès le départ, un drame, ou plutôt tr
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mée la synthèse hautement instable et créatrice d’
Athènes
, de Rome et de Jérusalem, n’ait cependant pas présenté certains des c
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quelques éléments décisifs, qui ne sont nés ni d’
Athènes
, ni de Rome, ni de Jérusalem, ni de leurs combinaisons ? Il y a d’abo
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e vous le sachiez ou non, vous êtes les députés d’
Athènes
, de Rome et de Jérusalem. Les députés de la conscience la plus inquiè
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u’un qui ne se sent pas le député de Mozart, ni d’
Athènes
, ni de Rome, ni de rien à vrai dire de ce qu’a pu signifier le nom d’
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geur pouvait la traverser de Madrid à Berlin ou d’
Athènes
à Stockholm sans souci de « devises » ni de passeport : la carte de v
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re civilisation au confluent des courants issus d’
Athènes
, de Rome et du Proche-Orient ; son expansion dans le monde entier ; l
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re civilisation au confluent des courants issus d’
Athènes
, de Rome et du Proche-Orient ; son expansion dans le monde entier ; l
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. Incarnation, dialectique, ecclesia — Jérusalem,
Athènes
, Rome — ces trois mots inconnus de l’Orient, ces trois noms chargés d
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ou de l’Europe elle-même, par ses trois sources :
Athènes
, Rome et Jérusalem, proposée et illustrée par Paul Valéry. Cette défi
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ible que nous résultons, nous autres Européens, d’
Athènes
, de Rome et de Jérusalem, dans cette mesure qu’Athènes a été l’origin
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es, de Rome et de Jérusalem, dans cette mesure qu’
Athènes
a été l’origine de ce que nous appelons la raison, le sens critique e
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scension comme Jésus-Christ […] et c’est ainsi qu’
Athènes
, Rome et Paris sont pléiades. Lois immenses. La Grèce s’est transfigu
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t nos sensibilités et par nos formes de pensée, d’
Athènes
, de Rome et de Jérusalem, et derrière ces trois villes illustres, du
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ant nos sentiments et par nos formes de pensée, d’
Athènes
, de Rome et de Jérusalem, et derrière ces trois villes illustres, du
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notre culture par ses trois sources principales,
Athènes
, Rome et Jérusalem, dont Valéry fera la fortune au xxe siècle. Mais
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rise que ses coutusmes, à la façon de ces niais d’
Athènes
, qui estimoient la Lune de leur pays meilleure que celle des autres.
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eur, se groupent autour de lui, et c’est ainsi qu’
Athènes
, Rome et Paris sont pléiades. Lois immenses. La Grèce s’est transfigu
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ent fatal et sublime, ô ma patrie, et, de même qu’
Athènes
est devenue la Grèce, de même que Rome est devenue la chrétienté, toi
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ut guère la nation au sens où nous la comprenons.
Athènes
, Sparte, Sidon, Tyr sont de petits centres d’admirable patriotisme ;
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ues de l’Occident : l’Antiquité proche-orientale,
Athènes
, Rome et Jérusalem, les Germains et les Celtes, et enfin les Arabes.
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ne — est un trait qu’on ne rencontre nulle part à
Athènes
. Âme grecque et intelligence romaine — voilà ce que c’est. Telle est
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ssance, ou à ce qu’étaient les grandes familles d’
Athènes
qui faisaient édifier un temple sur l’Acropole ou à Delphes ? Quel es
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née de la synthèse difficile et jamais achevée d’
Athènes
, de Rome, de Jérusalem, de traditions germaniques, d’apports arabes e
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religion dominante, lesquelles nous sont venues d’
Athènes
et de Jérusalem à travers Rome et son empire, englobant avec les Médi
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ses [propres] coutumes, à la façon de ces niais d’
Athènes
, qui estimaient la Lune de leur pays meilleure que celle des autres »
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e, quand nous ne cessons d’écrire qu’avec Rome et
Athènes
ils sont les éléments fondamentaux de notre culture, à nous opposer m
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te fédérale, alors qu’un député de Stockholm ou d’
Athènes
est à quelques heures de Strasbourg, et encore plus près de Bruxelles
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te fédérale, alors qu’un député de Stockholm ou d’
Athènes
est à quelques heures de Strasbourg, et encore plus près de Bruxelles
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dorienne — Cap Sounion, Olympie, temples ruinés d’
Athènes
, « fierté du monde qui n’est plus »27 — le poète se retournera vers s
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est pas tout. Avec les trois sources classiques d’
Athènes
, de Rome et de Jérusalem, viennent confluer dans le haut Moyen Âge la
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est pas tout. Avec les trois sources classiques d’
Athènes
, de Rome et de Jérusalem, viennent confluer dans le haut Moyen Âge la
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nt en exil. 4. Exceptions : en Grèce, l’Agence d’
Athènes
est semi-officielle mais elle distribue les dépêches d’agences étrang
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ulture européenne, il y a trois éléments communs,
Athènes
, Rome, et Jérusalem, qui ont été conjugués pendant les premiers siècl
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ilisation au confluent des trois courants issus d’
Athènes
, de Rome, et de Jérusalem ; son expansion dans le monde entier ; l’ex
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d’Édimbourg à Spolète, de Bergen à Bordeaux et d’
Athènes
à Stockholm, toute l’Europe en été vibre et chante, danse ou déploie
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x-huit pays, et que ses plus grands axes joignent
Athènes
à Édimbourg, Grenade à Varsovie… ⁂ Au carrefour de ces axes, dans un
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née de la synthèse difficile et jamais achevée d’
Athènes
, de Rome, de Jérusalem, de traditions germaniques, d’apports arabes e
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et orientaux, mais surtout qui ferait oublier qu’
Athènes
, Rome et Jérusalem nous ont légué autant ou plus d’éléments de tensio
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ucianistes, bouddhistes, ou sans croyance aucune…
Athènes
, Rome et Jérusalem, la papauté et le Saint-Empire, la Table ronde du
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ités aussi divers et contrastés que l’avaient été
Athènes
et Sparte. Cependant, même là, le plus souvent, et toujours dans les
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est pas tout. Avec les trois sources classiques d’
Athènes
, de Rome et de Jérusalem, viennent confluer dans le haut Moyen Âge la
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e nous puissions nous entendre entre Stockholm et
Athènes
, Édimbourg et Sofia, Varsovie et Madrid. C’est oublier que toutes nos
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, le secret de son dynamisme. Aux trois sources d’
Athènes
, Rome et Jérusalem, toujours citées, mais dont on ne dira jamais asse
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e nous puissions nous entendre entre Stockholm et
Athènes
, Édimbourg et Sofia, Varsovie et Madrid. C’est oublier que toutes (sa
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, de Grenade à Riga, d’Édimbourg à Istanbul, et d’
Athènes
à Stockholm, rues à piétons et place centrale — piazza, plaza, praça,
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e Paul Valéry sur les trois sources de l’Europe :
Athènes
, Rome et Jérusalem, ou encore : Aristote, Platon et Euclide, Moïse et
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s chanteurs. Et l’an prochain, ce sera sans doute
Athènes
. Ou Helsinki ? Nous sommes très loin, dans nos débats, des affronteme
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d’Édimbourg à Spolète, de Bergen à Bordeaux et d’
Athènes
à Stockholm, toute l’Europe en été vibre et chante, danse ou déploie
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ays d’Europe et que ses plus grands axes joignent
Athènes
à Édimbourg, Grenade à Helsinki. À partir de 1957, des festivals qui,
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ces européennes, de Grenade à Riga, d’Édimbourg à
Athènes
, et de Palerme à Stockholm, la place centrale — piazza, plaza, praça,
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s, de Grenade à Riga, d’Édimbourg à Bucarest et d’
Athènes
à Stockholm, rues à piétons et place centrale — piazza, plaza, praça,
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résultante millénaire des influences combinées d’
Athènes
, de Rome et de Jérusalem, puis des Germains et puis des Celtes, puis
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aison imprévisible de trois traditions inégales :
Athènes
, Rome et Jérusalem. Tradition hellénique : la Grèce de Delphes et de
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n hellénique : la Grèce de Delphes et de Délos, d’
Athènes
, de Thèbes et de Lacédémone, mais aussi de l’Archipel et de l’Ionie d
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’est pas tout. Avec les trois sources classiques,
Athènes
, Rome, Jérusalem, viennent confluer dès le haut Moyen Âge la source g
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naires, à partir de ce que symbolisent les noms d’
Athènes
, de Rome et de Jérusalem, mais aussi des communautés germaniques et d
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naires, à partir de ce que symbolisent les noms d’
Athènes
, de Rome et de Jérusalem, mais aussi des communautés germaniques et d
73
é, non plus, de quelque convergence miraculeuse d’
Athènes
, de Rome et de Jérusalem révélant une sorte d’idée platonicienne de l
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du continent des Pyrénées à la Volga et d’Oslo à
Athènes
. L’Anti-Europe va-t-elle tout écraser ? L’effort des groupes personna
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é, non plus, de quelque convergence miraculeuse d’
Athènes
, de Rome et de Jérusalem révélant une sorte d’idée platonicienne de l
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du continent des Pyrénées à la Volga et d’Oslo à
Athènes
. L’anti-Europe va-t-elle tout écraser ? L’effort des groupes personna
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t, de Varsovie à Lisbonne, Gibraltar, Brindisi et
Athènes
, ils se trouveraient terriblement dilués, n’est-ce pas ? Si, à ce mo
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déclare que tout homme profondément influencé par
Athènes
et par Rome est un Européen : les Celtes et les Germains manquent à c
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siècles, à partir de sources au moins diverses :
Athènes
, Rome et Jérusalem, bien sûr, mais aussi les apports germaniques, cel
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a résumé dans la formule : Tout ce qui descend d’
Athènes
, de Rome et de Jérusalem est authentiquement européen. À ces trois so
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qui a subi profondément les influences de Rome, d’
Athènes
et de Jérusalem. » Ce qui voulait dire : institutions de l’Empire rom
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revue Europe (1/2 1984) au lendemain de l’échec d’
Athènes
: Les citoyens ne peuvent comprendre que les États membres et leurs
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qui a été touché ou formé par ces trois sources :
Athènes
, Rome et Jérusalem, autrement dit, la philosophie grecque, les instit
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ntré en quoi Rome était au fond incompatible avec
Athènes
et encore plus avec Jérusalem. Mais ce n’est pas tout. Il y a en plus
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mait qu’est européen tout ce qui a été marqué par
Athènes
, Rome et Jérusalem. On cite toujours ces trois premières sources de l
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e l’Europe sur l’unité culturelle des Européens —
Athènes
, Rome, Jérusalem, bien sûr, mais aussi les Germains et les Celtes, qu
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ranéenne, qui serait née de la triple influence d’
Athènes
, de Rome et de Jérusalem. Je regrette que nous n’ayons pas eu l’occas
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surtout depuis les « échecs » subis par la CEE à
Athènes
et à Bruxelles — le mot un peu désabusé de Jean Monnet à la fin d’une
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des valeurs communes qui nous viennent de Rome, d’
Athènes
, de Jérusalem, de la Germanie, des Celtes et plus tard des Arabes, et
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rois sources classiques de la culture européenne,
Athènes
, Rome et Jérusalem, viennent confluer dans le haut Moyen Âge la sourc
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eut se fonder une union européenne. Aux apports d’
Athènes
, de Rome, de Jérusalem soulignés par Paul Valéry, Denis de Rougemont
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appelait « européen » tout ce qui a été formé par
Athènes
, Rome et Jérusalem. À ces trois sources, s’ajoutent la source celte (
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les différences entre les valeurs qui viennent d’
Athènes
, de Jérusalem, de la grande plaine du Nord, car elles sont partiellem
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vie siècle, au moment où les trois traditions —
Athènes
, Rome et Jérusalem — se sont confondues dans un même grand débat qui