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a pensée d’un Herder, d’un Kant, d’un Gentz, d’un
Baader
, d’un Schlegel ou d’un Jakob Burckhardt — et je cite à dessein ceux d
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e de romantiques catholicisants, Novalis, Görres,
Baader
et Adam Müller ; et un groupe de philosophes aux vues profondes, syst
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t Novalis lui-même : Schlegel, Schelling, Görres,
Baader
, Adam Müller, Clemens Brentano… Presque seuls, Fichte et Hegel resten
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ence même à se faire jour, dès cette époque, chez
Baader
et plusieurs de ses contemporains : les premiers slavophiles ne furen
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xixe , c’est le tour des philosophes allemands :
Baader
, Görres, Hegel, et Schelling surtout. Sur cet arrière-plan très compl
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cela n’en reste pas moins vrai : c’est la bande à
Baader
, aujourd’hui, qui a repris le rôle évident et trompeur du diable à l’
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du diable à l’œuvre parmi nous. Mais attention :
Baader
et les Palestiniens ne sont-ils pas plutôt victimes du diable que dia
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osophes romantiques allemands, Fichte, Schelling,
Baader
, Görres, les frères Schlegel, dont l’européocentrisme ne le cède en r
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osophes romantiques allemands, Fichte, Schelling,
Baader
, Görres, les frères Schlegel, dont l’européocentrisme ne le cède en r