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ême ne fut pas remarqué. (Balzac « journaliste »,
Beethoven
« cacophoniste », Baudelaire condamné, Proust « mondain », et Bach in
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ême ne fut pas remarqué. (Balzac « journaliste »,
Beethoven
« cacophoniste », Baudelaire « immoral », Proust « mondain », et Bach
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ême ne fut pas remarqué. (Balzac « journaliste »,
Beethoven
« cacophoniste », Baudelaire condamné, Proust « mondain », et Bach in
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ano sur lequel Schnabel, le meilleur exécutant de
Beethoven
, accompagne parfois Einstein, qui joue du violon. Je me rappelle l’an
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époques révolues. Quand il ne se contente pas de
Beethoven
et de Brahms, il ne découvre pas les talents d’aujourd’hui, mais Purc
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s à la musique occidentale (surtout postérieure à
Beethoven
) qu’au folklore musical dont se réclamait l’idéologie nationaliste de
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’ont finement supposé ? Une cantate peu connue de
Beethoven
, composée pour le congrès de Vienne, s’intitulait pourtant L’Europe e
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». Je songe à des hommes comme Napoléon, Goethe,
Beethoven
, Stendhal, Henri Heine, Schopenhauer. Qu’on ne m’en veuille pas trop
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cette strophe illustre chantée par les chœurs de
Beethoven
: Seid umschlungen, Millionen, Diesen Kuss der ganzen Welt ! Brüder,
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ais n’en doutez pas, l’intelligence et le goût de
Beethoven
passeront plus vite encore ; car celui-là ne fut que le dernier écho
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tout un goût européen vivant depuis des siècles.
Beethoven
est l’intermède entre une vieille âme usée qui s’effrite, et une âme
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a cette même destinée de l’Europe qui chantait en
Beethoven
! Puis ce fut, dans la musique allemande, le tour du romantisme : mou
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urement allemand, et n’était plus ce qu’avait été
Beethoven
, ce qu’avait été Mozart à un plus haut degré, un phénomène européen ;
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». Je songe à des hommes comme Napoléon, Goethe,
Beethoven
, Stendhal, Henri Heine, Schopenhauer. Qu’on ne m’en veuille pas trop
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Je pense à des hommes tels que Napoléon, Goethe,
Beethoven
, Stendhal, Henri Heine, Schopenhauer. Cependant, à côté de ce qui éve
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que et de Kant, de la musique allemande de Bach à
Beethoven
, de la peinture française d’Ingres à Cézanne. Là où une grande pensée
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ait pour mesure Shakespeare ; en musique, Bach ou
Beethoven
; en mathématiques, Newton et Leibniz, et ainsi de suite. Nous admett
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époques révolues. Quand il ne se contente pas de
Beethoven
et de Brahms, il ne découvre pas les talents d’aujourd’hui, mais Purc
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’ont finement supposé ? Une cantate peu connue de
Beethoven
, composée pour le congrès de Vienne, s’intitulait pourtant l’Europe e
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il pense ici à des hommes comme Napoléon, Goethe,
Beethoven
, Stendhal, Schopenhauer, qui sont devenus de plus en plus nationalist
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s”. Je songe à des hommes comme Napoléon, Goethe,
Beethoven
, Stendhal, Henri Heine, Schopenhauer ». Cité dans Vingt-huit siècles