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Julien Benda
, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)bc Ce n’est plus l’heure de ve
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r seulement la beauté de l’effort désintéressé de
Julien Benda
, et l’obligation où nous sommes tous désormais de répondre pour nous-
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ure. Je suis loin de partager toutes les idées de
M. Benda
, sur le plan philosophique en particulier, où je me sens bien plus pr
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n plus près de M. Gabriel Marcel, qu’il attaque. (
M. Benda
trahit à son tour quand il tire argument contre une thèse de M. Marce
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». Et quand cela serait ! dirons-nous, — avec le
Benda
qui ne trahit pas.) D’autre part, de plus impertinents que moi ne man
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énomène exactement aussi vieux que le monde. Mais
M. Benda
distinguera, et ils seront confondus. Car il y a un sophiste en M. Be
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t ils seront confondus. Car il y a un sophiste en
M. Benda
, un polémiste qui joue de la raison ratiocinante tout comme si elle n
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c’est l’impossible. Mais justement, la gloire de
M. Benda
sera d’avoir soutenu que l’humanité a besoin qu’on lui demande l’impo
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pur. « Noms de clowns qui me viennent l’esprit :
Julien Benda
… », écrit Aragon. Et Daudet nous apprend que « le petit Benda est un
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rit Aragon. Et Daudet nous apprend que « le petit
Benda
est un fameux serin ». Mais ces affirmations sont exactement celles q
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e ces auteurs. Ce qu’on ne viendra pas disputer à
M. Benda
, c’est son dur amour de la vérité tout court. Celle-là même qui paraî
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M. Daniel Halévy (décembre 1927) et la réponse de
M. Benda
(janvier 1928). bc. « Julien Benda : La Fin de l’Éternel (NRF) », Bi
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et la réponse de M. Benda (janvier 1928). bc. «
Julien Benda
: La Fin de l’Éternel (NRF) », Bibliothèque universelle et Revue de G
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helle à cette « Trahison des clercs » décrite par
M. Julien Benda
. Notre époque paiera cher ce crime contre la civilisation. Elle ne cr
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helle à cette « Trahison des clercs » décrite par
M. Julien Benda
. Notre époque paiera cher ce crime contre la civilisation. Elle ne cr
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en est fait, les clercs ont trahi, et les cris de
M. Benda
sont couverts par la rumeur de la place. Dans toute la jeune générati
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téressé, cela signifierait pour les clercs, selon
M. Benda
, la fin de l’esprit. Et pour nous, cela signifie : le renouveau, le s
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rsonnelle, d’action éthique. Il n’a pas échappé à
M. Benda
que « le clerc moderne » (en tant qu’il se montre préoccupé des consé
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encore, le clerc moderne est protestant », ajoute
M. Benda
, qui, en fait de protestants, ne connaît guère que Renouvier, son maî
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erve de l’adhésion conformiste que j’ai dite. 3.
M. Benda
dirait qu’il préfère garder la chambre. S’il était moine, on le compr
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s théories d’action que proposent les incroyants.
Benda
est plus honnête, dans sa théorie de l’inaction. Tous les autres calc
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s théories d’action que proposent les incroyants.
Benda
est plus honnête, dans sa théorie de l’inaction. Tous les autres calc
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Sur l’esprit incarné (février 1936)x
M. Julien Benda
écrit dans le numéro de janvier de la NRF la phrase suivante : « La r
24
e théologie et un peu de logique, je demanderai à
M. Benda
: 1° si les « docteurs » nationalistes qu’il attaque ont jamais préte
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devienne synonyme de trahison intéressée ; 4° si
M. Benda
conçoit que l’opposition esprit pur contre esprit asservi (aux intérê
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huit ans que sa Trahison des Clercs est apparue,
M. Benda
s’y applique pourtant non sans bonheur, curieusement suivi sur ce poi
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e du parfait disciple d’Érasme que se trouve être
M. Benda
. Érasme dit le vrai, puis se lave les mains, et refuse d’endosser les
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les ont trahi l’Évangile. Un philosophe français,
M. Julien Benda
, a dit que les clercs ont trahi. Les clercs, n’est-ce pas, ce sont le
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l’instituteur citât Ernest Lavisse, ou le pasteur
M. Benda
. Il est généralement admis en France qu’un orateur dit un tas de chos
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M. Benda
nous « cherche », mais ne nous trouve pas (juillet 1937)aj M. Bend
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he », mais ne nous trouve pas (juillet 1937)aj
M. Benda
décrivait l’autre jour à l’Union pour la vérité, une « querelle des g
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la lutte et de la vie dangereuse : en conclusion,
M. Benda
fit observer que les anciens étaient « intellectuels », et que les je
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de Bergson, qui tous, bien qu’« heureux » (selon
Benda
) ont défendu les thèses que M. Benda attribue à notre jeunesse « malh
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eureux » (selon Benda) ont défendu les thèses que
M. Benda
attribue à notre jeunesse « malheureuse », — M. Benda refusa de répon
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enda attribue à notre jeunesse « malheureuse », —
M. Benda
refusa de répondre. La génération des anciens, des heureux, des intel
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ens, des heureux, des intellectuels riches, c’est
M. Benda
, et personne d’autre. Et lorsqu’un autre fit observer, en mathématici
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de scientifique, et que toute pensée est un acte,
M. Benda
répliqua qu’il ne s’agissait pas du tout de cela, et que la pensée de
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orte », matériellement, bien entendu. Après quoi,
M. Benda
apprit à l’assistance que ses livres se vendent très bien. Enfin Deni
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dénonça le sophisme sur lequel repose l’œuvre de
M. Benda
, œuvre, en dépit des prétentions de son auteur, purement polémique et
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nsée « asservie » à l’action, carence ou simonie,
M. Benda
ou Barrès. La jeunesse personnaliste, déclara notre ami, repousse l’u
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, pour les jeunes, équivaut à gagner de l’argent,
M. Benda
est auprès de nous un grand penseur, mais M. Dekobra est notre maître
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éant. Soyons sérieux : la majorité des traits que
M. Benda
attribue à la jeunesse, convient en fait à la génération des « ancien
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« anciens ». À cette erreur totale sur les faits,
M. Benda
ajoute une erreur non moins grave d’interprétation, lorsqu’il rattach
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» purement et simplement ce qui est. Au surplus,
M. Benda
se trompe quand il croit juger de Sirius. Il est encore en pleine aff
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sa cause ; et pensée qui refuse de payer. aj. «
M. Benda
nous “cherche” mais ne nous trouve pas », Esprit, Paris, n° 58, juill
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s ont trahi l’Évangile. « Un philosophe français,
M. Julien Benda
, a dit que les clercs ont trahi. Les clercs, n’est-ce pas, ce sont le
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instituteur citât Ernest Lavisse ; ou le pasteur,
M. Benda
. Il est généralement admis en France qu’un orateur dit un tas de chos
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encore le clerc moderne est protestant », ajoute
M. Benda
qui, en fait de protestant, ne connaît guère que Renouvier. 48. Jean
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êt, émotion, conférence à l’Union pour la Vérité.
Benda
: id. article ? Renéville : préfère les deux marxistes, les autres :
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es ont trahi l’Évangile. “Un philosophe français,
M. Julien Benda
, a dit que les clercs ont trahi. Les clercs, n’est-ce pas, ce sont le
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instituteur citât Ernest Lavisse ; ou le pasteur,
M. Benda
. Il est généralement admis en France qu’un orateur dit un tas de chos
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ment (surtout de l’écrivain, contre les thèses de
Julien Benda
) se voyait à tel point vulgarisée que j’éprouvai le besoin de publier
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listes, c’est Guéhenno, c’est Jaspers, et surtout
Benda
qu’il faut interroger ; que le fédéralisme est contre les patries (ma
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ne erreur vraiment embarrassante, vous choisissez
Julien Benda
, qui est à peu près aussi fédéraliste que vous êtes stalinien ou moi
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déclaré. Voyez donc la page 60 : « Je reproche à
Benda
de confondre union et unification, de vouloir effacer les diversités
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ité, formule suisse) étant à l’opposé de celle de
Benda
(qui veut l’unification, formule jacobine) vous déclarez que la secon
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e « projet des fédéralistes » plus fidèlement que
M. Benda
. Mais quoi, cette lettre est inutile, si l’on a décidé d’appeler « fé
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d vous aurez renoncé à le confondre avec celui de
Benda
, ou celui de Churchill pendant qu’on y est, dites-nous donc ce que vo
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proprement scandaleux, et visiblement fabriqués.
Benda
déclarait, au contraire : « Le malheur pour cette thèse est que les f
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onscience d’elle-même ? Le seul fait qu’Ortega et
Benda
posent ces questions — l’un à la veille, l’autre au lendemain de la D
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ère polémique, et moins désabusée que provocante,
Julien Benda
ne fait pas autre chose quand il accuse l’Europe d’inconscience : c’e
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uropéenne remplacée par sa réelle unité ? 275.
Julien Benda
, in L’Esprit européen, Conférence des Rencontres internationales de G
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traits de discours prononcés à cette occasion par
Julien Benda
et par Karl Jaspers : ils s’attachaient à définir la conscience que l
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éen » dans le monde bouleversé de l’après-guerre.
Julien Benda
, Georges Bernanos, Francesco Flora, Jean Guéhenno, Karl Jaspers, Geor
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et communistes, poètes et philosophes. Il y a là
Benda
, Bernanos, Flora, Guéhenno, Jaspers, Lukacs, Rougemont, Salis et Spen
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où l’on put voir Bernanos dialoguer avec Jaspers,
Julien Benda
avec Georg Lukacs, spectacle peu croyable en ce lendemain de la guerr
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et communistes, poètes et philosophes. Il y a là
Benda
, Bernanos, Flora, Guéhenno, Jaspers, Lukacs, Rougemont, Salis et Spen
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strait que transcendant de Léon Brunschwicg ou de
Julien Benda
; nul projet politique ; pas la moindre proposition ni de doctrine ni
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l Jaspers, des Français comme Georges Bernanos et
Julien Benda
, des Italiens, des Anglais, un grand philosophe marxiste hongrois, Ge
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les autres conférenciers, tels que Karl Jaspers,
Julien Benda
, Georges Bernanos, Stephen Spender et même le grand philosophe marxis
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entre autres, pour la France, Georges Bernanos et
Julien Benda
, pour l’Allemagne le philosophe Karl Jaspers, le philosophe marxiste