1 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Julien Benda, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)
1 Julien Benda , La Fin de l’Éternel (novembre 1929)bc Ce n’est plus l’heure de ve
2 r seulement la beauté de l’effort désintéressé de Julien Benda , et l’obligation où nous sommes tous désormais de répondre pour nous-
3 ure. Je suis loin de partager toutes les idées de M. Benda , sur le plan philosophique en particulier, où je me sens bien plus pr
4 n plus près de M. Gabriel Marcel, qu’il attaque. ( M. Benda trahit à son tour quand il tire argument contre une thèse de M. Marce
5  ». Et quand cela serait ! dirons-nous, — avec le Benda qui ne trahit pas.) D’autre part, de plus impertinents que moi ne man
6 énomène exactement aussi vieux que le monde. Mais M. Benda distinguera, et ils seront confondus. Car il y a un sophiste en M. Be
7 t ils seront confondus. Car il y a un sophiste en M. Benda , un polémiste qui joue de la raison ratiocinante tout comme si elle n
8 c’est l’impossible. Mais justement, la gloire de M. Benda sera d’avoir soutenu que l’humanité a besoin qu’on lui demande l’impo
9 pur. « Noms de clowns qui me viennent l’esprit : Julien Benda … », écrit Aragon. Et Daudet nous apprend que « le petit Benda est un
10 rit Aragon. Et Daudet nous apprend que « le petit Benda est un fameux serin ». Mais ces affirmations sont exactement celles q
11 e ces auteurs. Ce qu’on ne viendra pas disputer à M. Benda , c’est son dur amour de la vérité tout court. Celle-là même qui paraî
12 M. Daniel Halévy (décembre 1927) et la réponse de M. Benda (janvier 1928). bc. « Julien Benda : La Fin de l’Éternel (NRF) », Bi
13 et la réponse de M. Benda (janvier 1928). bc. «  Julien Benda  : La Fin de l’Éternel (NRF) », Bibliothèque universelle et Revue de G
2 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
14 helle à cette « Trahison des clercs » décrite par M. Julien Benda . Notre époque paiera cher ce crime contre la civilisation. Elle ne cr
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
15 helle à cette « Trahison des clercs » décrite par M. Julien Benda . Notre époque paiera cher ce crime contre la civilisation. Elle ne cr
4 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
16 en est fait, les clercs ont trahi, et les cris de M. Benda sont couverts par la rumeur de la place. Dans toute la jeune générati
17 téressé, cela signifierait pour les clercs, selon M. Benda , la fin de l’esprit. Et pour nous, cela signifie : le renouveau, le s
18 rsonnelle, d’action éthique. Il n’a pas échappé à M. Benda que « le clerc moderne » (en tant qu’il se montre préoccupé des consé
5 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
19 encore, le clerc moderne est protestant », ajoute M. Benda , qui, en fait de protestants, ne connaît guère que Renouvier, son maî
6 1934, Politique de la personne. Introduction — L’engagement politique
20 erve de l’adhésion conformiste que j’ai dite. 3. M. Benda dirait qu’il préfère garder la chambre. S’il était moine, on le compr
7 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
21 s théories d’action que proposent les incroyants. Benda est plus honnête, dans sa théorie de l’inaction. Tous les autres calc
8 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
22 s théories d’action que proposent les incroyants. Benda est plus honnête, dans sa théorie de l’inaction. Tous les autres calc
9 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sur l’esprit incarné (février 1936)
23 Sur l’esprit incarné (février 1936)x M. Julien Benda écrit dans le numéro de janvier de la NRF la phrase suivante : « La r
24 e théologie et un peu de logique, je demanderai à M. Benda  : 1° si les « docteurs » nationalistes qu’il attaque ont jamais préte
25 devienne synonyme de trahison intéressée ; 4° si M. Benda conçoit que l’opposition esprit pur contre esprit asservi (aux intérê
26 huit ans que sa Trahison des Clercs est apparue, M. Benda s’y applique pourtant non sans bonheur, curieusement suivi sur ce poi
10 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
27 e du parfait disciple d’Érasme que se trouve être M. Benda . Érasme dit le vrai, puis se lave les mains, et refuse d’endosser les
11 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
28 les ont trahi l’Évangile. Un philosophe français, M. Julien Benda , a dit que les clercs ont trahi. Les clercs, n’est-ce pas, ce sont le
29 l’instituteur citât Ernest Lavisse, ou le pasteur M. Benda . Il est généralement admis en France qu’un orateur dit un tas de chos
12 1937, Esprit, articles (1932–1962). M. Benda nous « cherche », mais ne nous trouve pas (juillet 1937)
30 M. Benda nous « cherche », mais ne nous trouve pas (juillet 1937)aj M. Bend
31 he », mais ne nous trouve pas (juillet 1937)aj M. Benda décrivait l’autre jour à l’Union pour la vérité, une « querelle des g
32 la lutte et de la vie dangereuse : en conclusion, M. Benda fit observer que les anciens étaient « intellectuels », et que les je
33 de Bergson, qui tous, bien qu’« heureux » (selon Benda ) ont défendu les thèses que M. Benda attribue à notre jeunesse « malh
34 eureux » (selon Benda) ont défendu les thèses que M. Benda attribue à notre jeunesse « malheureuse », — M. Benda refusa de répon
35 enda attribue à notre jeunesse « malheureuse », —  M. Benda refusa de répondre. La génération des anciens, des heureux, des intel
36 ens, des heureux, des intellectuels riches, c’est M. Benda , et personne d’autre. Et lorsqu’un autre fit observer, en mathématici
37 de scientifique, et que toute pensée est un acte, M. Benda répliqua qu’il ne s’agissait pas du tout de cela, et que la pensée de
38 orte », matériellement, bien entendu. Après quoi, M. Benda apprit à l’assistance que ses livres se vendent très bien. Enfin Deni
39 dénonça le sophisme sur lequel repose l’œuvre de M. Benda , œuvre, en dépit des prétentions de son auteur, purement polémique et
40 nsée « asservie » à l’action, carence ou simonie, M. Benda ou Barrès. La jeunesse personnaliste, déclara notre ami, repousse l’u
41 , pour les jeunes, équivaut à gagner de l’argent, M. Benda est auprès de nous un grand penseur, mais M. Dekobra est notre maître
42 éant. Soyons sérieux : la majorité des traits que M. Benda attribue à la jeunesse, convient en fait à la génération des « ancien
43 « anciens ». À cette erreur totale sur les faits, M. Benda ajoute une erreur non moins grave d’interprétation, lorsqu’il rattach
44  » purement et simplement ce qui est. Au surplus, M. Benda se trompe quand il croit juger de Sirius. Il est encore en pleine aff
45 sa cause ; et pensée qui refuse de payer. aj. «  M. Benda nous “cherche” mais ne nous trouve pas », Esprit, Paris, n° 58, juill
13 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
46 s ont trahi l’Évangile. « Un philosophe français, M. Julien Benda , a dit que les clercs ont trahi. Les clercs, n’est-ce pas, ce sont le
47 instituteur citât Ernest Lavisse ; ou le pasteur, M. Benda . Il est généralement admis en France qu’un orateur dit un tas de chos
14 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
48 encore le clerc moderne est protestant », ajoute M. Benda qui, en fait de protestant, ne connaît guère que Renouvier. 48. Jean
15 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
49 êt, émotion, conférence à l’Union pour la Vérité. Benda  : id. article ? Renéville : préfère les deux marxistes, les autres :
16 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
50 es ont trahi l’Évangile. “Un philosophe français, M. Julien Benda , a dit que les clercs ont trahi. Les clercs, n’est-ce pas, ce sont le
51 instituteur citât Ernest Lavisse ; ou le pasteur, M. Benda . Il est généralement admis en France qu’un orateur dit un tas de chos
17 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
52 ment (surtout de l’écrivain, contre les thèses de Julien Benda ) se voyait à tel point vulgarisée que j’éprouvai le besoin de publier
18 1950, Articles divers (1948-1950). Un gage à Jean Paulhan ! (avril 1950)
53 listes, c’est Guéhenno, c’est Jaspers, et surtout Benda qu’il faut interroger ; que le fédéralisme est contre les patries (ma
54 ne erreur vraiment embarrassante, vous choisissez Julien Benda , qui est à peu près aussi fédéraliste que vous êtes stalinien ou moi
55 déclaré. Voyez donc la page 60 : « Je reproche à Benda de confondre union et unification, de vouloir effacer les diversités
56 ité, formule suisse) étant à l’opposé de celle de Benda (qui veut l’unification, formule jacobine) vous déclarez que la secon
57 e « projet des fédéralistes » plus fidèlement que M. Benda . Mais quoi, cette lettre est inutile, si l’on a décidé d’appeler « fé
58 d vous aurez renoncé à le confondre avec celui de Benda , ou celui de Churchill pendant qu’on y est, dites-nous donc ce que vo
19 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
59 proprement scandaleux, et visiblement fabriqués. Benda déclarait, au contraire : « Le malheur pour cette thèse est que les f
20 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — Crépuscule ou nouvelle aurore ?
60 onscience d’elle-même ? Le seul fait qu’Ortega et Benda posent ces questions — l’un à la veille, l’autre au lendemain de la D
61 ère polémique, et moins désabusée que provocante, Julien Benda ne fait pas autre chose quand il accuse l’Europe d’inconscience : c’e
62 uropéenne remplacée par sa réelle unité ? 275. Julien Benda , in L’Esprit européen, Conférence des Rencontres internationales de G
21 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
63 traits de discours prononcés à cette occasion par Julien Benda et par Karl Jaspers : ils s’attachaient à définir la conscience que l
22 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
64 éen » dans le monde bouleversé de l’après-guerre. Julien Benda , Georges Bernanos, Francesco Flora, Jean Guéhenno, Karl Jaspers, Geor
23 1979, Cadmos, articles (1978–1986). L’Europe comme invention de la culture (automne 1979)
65 et communistes, poètes et philosophes. Il y a là Benda , Bernanos, Flora, Guéhenno, Jaspers, Lukacs, Rougemont, Salis et Spen
24 1980, Cadmos, articles (1978–1986). Madame de Staël et « l’esprit européen » (été 1980)
66 où l’on put voir Bernanos dialoguer avec Jaspers, Julien Benda avec Georg Lukacs, spectacle peu croyable en ce lendemain de la guerr
25 1980, Articles divers (1978-1981). L’Europe, invention culturelle (1980)
67 et communistes, poètes et philosophes. Il y a là Benda , Bernanos, Flora, Guéhenno, Jaspers, Lukacs, Rougemont, Salis et Spen
26 1981, Cadmos, articles (1978–1986). Un falsificateur vu de près (été 1981)
68 strait que transcendant de Léon Brunschwicg ou de Julien Benda  ; nul projet politique ; pas la moindre proposition ni de doctrine ni
27 1984, Articles divers (1982-1985). Autour de l’Avenir est notre affaire : conclusions (1984)
69 l Jaspers, des Français comme Georges Bernanos et Julien Benda , des Italiens, des Anglais, un grand philosophe marxiste hongrois, Ge
28 1984, Articles divers (1982-1985). L’Europe et les intellectuels (1984)
70 les autres conférenciers, tels que Karl Jaspers, Julien Benda , Georges Bernanos, Stephen Spender et même le grand philosophe marxis
29 1986, Cadmos, articles (1978–1986). Denis de Rougemont tel qu’en lui-même… [Entretien] (printemps 1986)
71 entre autres, pour la France, Georges Bernanos et Julien Benda , pour l’Allemagne le philosophe Karl Jaspers, le philosophe marxiste