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e duc riait sous une table, complètement ivre, et
Bettina
lui disait à l’oreille : « Mon chéri, si j’aime la comtesse ? Mais tu
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ît comme une chose si douce et si grande… »11 Et
Bettina
terminant sa lettre sur Hölderlin : « Ce piano dont il a cassé les co
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mat, — j’avais rêvé sur ce passage de l’émouvante
Bettina
, rêvé sans doute assez profondément pour qu’aujourd’hui le hasard qui
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puis pas parler de lui, ici à Francfort, écrivait
Bettina
, car aussitôt l’on se met à raconter les choses les plus affreuses su
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donner le coup de pied de l’âne… Écoutons plutôt
Bettina
— la vérité est plus humaine, est plus divine, quand c’est une telle
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aît comme une chose si douce et si grande…14 » Et
Bettina
terminant sa lettre sur Hölderlin : « Ce piano dont il a cassé les co
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mat, — j’avais rêvé sur ce passage de l’émouvante
Bettina
, rêvé sans doute assez profondément pour qu’aujourd’hui le hasard qui
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puis pas parler de lui, ici à Francfort, écrivait
Bettina
, car aussitôt l’on se met à raconter les choses les plus affreuses su
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donner le coup de pied de l’âne… Écoutons plutôt
Bettina
— la vérité est plus humaine, est plus divine, quand c’est une telle
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ît comme une chose si douce et si grande… »13 Et
Bettina
terminant sa lettre sur Hölderlin : « Ce piano dont il a cassé les co
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mat, — j’avais rêvé sur ce passage de l’émouvante
Bettina
, rêvé sans doute assez profondément pour qu’aujourd’hui le hasard qui
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puis pas parler de lui, ici à Francfort, écrivait
Bettina
, car aussitôt l’on se met à raconter les choses les plus affreuses su
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donner le coup de pied de l’âne… Écoutons plutôt
Bettina
— la vérité est plus humaine, est plus divine quand c’est une telle f
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aît comme une chose si douce et si grande…10 » Et
Bettina
terminant sa lettre sur Hölderlin : « Ce piano dont il a cassé les co
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mat, — j’avais rêvé sur ce passage de l’émouvante
Bettina
, rêvé sans doute assez profondément pour qu’aujourd’hui le hasard qui
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puis pas parler de lui, ici à Francfort, écrivait
Bettina
, car aussitôt l’on se met à raconter les choses les plus affreuses su
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donner le coup de pied de l’âne… Écoutons plutôt
Bettina
— la vérité est plus humaine, est plus divine, quand c’est une telle