1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
1 e duc riait sous une table, complètement ivre, et Bettina lui disait à l’oreille : « Mon chéri, si j’aime la comtesse ? Mais tu
2 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
2 ît comme une chose si douce et si grande… »11 Et Bettina terminant sa lettre sur Hölderlin : « Ce piano dont il a cassé les co
3 mat, — j’avais rêvé sur ce passage de l’émouvante Bettina , rêvé sans doute assez profondément pour qu’aujourd’hui le hasard qui
4 puis pas parler de lui, ici à Francfort, écrivait Bettina , car aussitôt l’on se met à raconter les choses les plus affreuses su
5 donner le coup de pied de l’âne… Écoutons plutôt Bettina — la vérité est plus humaine, est plus divine, quand c’est une telle
3 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
6 aît comme une chose si douce et si grande…14 » Et Bettina terminant sa lettre sur Hölderlin : « Ce piano dont il a cassé les co
7 mat, — j’avais rêvé sur ce passage de l’émouvante Bettina , rêvé sans doute assez profondément pour qu’aujourd’hui le hasard qui
8 puis pas parler de lui, ici à Francfort, écrivait Bettina , car aussitôt l’on se met à raconter les choses les plus affreuses su
9 donner le coup de pied de l’âne… Écoutons plutôt Bettina — la vérité est plus humaine, est plus divine, quand c’est une telle
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
10 ît comme une chose si douce et si grande… »13 Et Bettina terminant sa lettre sur Hölderlin : « Ce piano dont il a cassé les co
11 mat, — j’avais rêvé sur ce passage de l’émouvante Bettina , rêvé sans doute assez profondément pour qu’aujourd’hui le hasard qui
12 puis pas parler de lui, ici à Francfort, écrivait Bettina , car aussitôt l’on se met à raconter les choses les plus affreuses su
13 donner le coup de pied de l’âne… Écoutons plutôt Bettina — la vérité est plus humaine, est plus divine quand c’est une telle f
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — La tour de Hölderlin
14 aît comme une chose si douce et si grande…10 » Et Bettina terminant sa lettre sur Hölderlin : « Ce piano dont il a cassé les co
15 mat, — j’avais rêvé sur ce passage de l’émouvante Bettina , rêvé sans doute assez profondément pour qu’aujourd’hui le hasard qui
16 puis pas parler de lui, ici à Francfort, écrivait Bettina , car aussitôt l’on se met à raconter les choses les plus affreuses su
17 donner le coup de pied de l’âne… Écoutons plutôt Bettina — la vérité est plus humaine, est plus divine, quand c’est une telle