1 1939, L’Amour et l’Occident. Livre premier. Le mythe de Tristan
1 soin d’avoir lu le Tristan de Béroul, ou celui de M. Bédier , ni d’avoir entendu l’opéra de Wagner, pour subir dans la vie quotidi
2 t, sauf exception, sur la concordance établie par M. Joseph Bédier (dans son étude sur le poème de Thomas) entre les cinq versions du xi
3 d’Isolt » (Thomas). 8. Toutefois, dans l’édition Bédier du poème de Thomas (t. I, p. 240), nous lisons que le veneur du roi,
4 tre parce que… » Ici le texte est interrompu ! Et Bédier dit en note : « Passage inintelligible. » Quelle puissance maléfique
2 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
5 (Hubert, II, p. 336.) Ce « son particulier », que Bédier sut faire rendre à sa moderne transcription de la légende, est si net
3 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
6 de Roussillon (composée entre 1150 et 1180 selon Bédier ) contient une épisode d’amour courtois. Elle est écrite dans un diale
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre premier. Le mythe de Tristan
7 soin d’avoir lu le Tristan de Béroul, ou celui de M. Bédier , ni d’avoir entendu l’opéra de Wagner, pour subir dans la vie quotidi
8 t, sauf exception, sur la concordance établie par M. Joseph Bédier (dans son étude sur le poème de Thomas) entre les cinq versions du xi
9 d’Isolt (Thomas). 10. Toutefois, dans l’édition Bédier du poème de Thomas (t. I, p. 240), nous lisons que le veneur du roi,
10 tre parce que… » Ici le texte est interrompu ! Et Bédier dit en note : « Passage inintelligible. » Quelle puissance maléfique
5 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
11 (Hubert, II, p. 336.) Ce « son particulier », que Bédier sut faire rendre à sa moderne transcription de la légende, est si net
12 e sensibilité que la restauration esthétique d’un Bédier . 14.Premières conclusions Compte tenu du changement de registre
6 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre premier. Le mythe de Tristan
13 soin d’avoir lu le Tristan de Béroul, ou celui de M. Bédier , ni d’avoir entendu l’opéra de Wagner, pour subir dans la vie quotidi
14 t, sauf exception, sur la concordance établie par M. Joseph Bédier (dans son étude sur le poème de Thomas) entre les cinq versions du xi
15 d’Isolt » (Thomas). 5. Toutefois, dans l’édition Bédier du poème de Thomas (t. I, p. 240), nous lisons que le veneur du roi,
16 re parce que… ». Ici le texte est interrompu ! Et Bédier dit en note : « Passage inintelligible. » Quelle puissance maléfique
7 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
17 (Hubert, II, p. 336.) Ce « son particulier », que Bédier sut faire rendre à sa moderne transcription de la légende, est si net
18 e sensibilité que la restauration esthétique d’un Bédier . 14.Premières conclusions Compte tenu du changement de registre
8 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
19 de Roussillon (composée entre 1150 et 1180 selon Bédier ) contient un épisode d’amour courtois. Elle est écrite dans un dialec
9 1948, Articles divers (1946-1948). Ce sont les Français qui ont commencé (La querelle des « condensés… ») (14 février 1948)
20 santes, mais utiles à des œuvres d’accès malaisé. Bédier , enfin, restitue un chef-d’œuvre, le continue et le parfait. Ainsi, s
10 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
21 on anachronique, aidées par la version moderne de Bédier , nous font prendre trop facilement pour la touchante histoire d’un am
11 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
22 on anachronique, aidées par la version moderne de Bédier , nous font prendre trop facilement pour la touchante histoire d’un am
12 1973, Articles divers (1970-1973). La Merveilleuse histoire de Tristan et Iseut [préface] (1973)
23 , et les ont recréés dans des styles différents : Bédier classique, Mary baroque ; Bédier ramassé, condensé, pathétique au lyr
24 les différents : Bédier classique, Mary baroque ; Bédier ramassé, condensé, pathétique au lyrisme contenu qui n’éclate malgré
25 e et foisonnant, au détail descriptif savoureux ; Bédier s’inspirant surtout de Béroul, Mary de Thomas ; Bédier « français » c
26 r s’inspirant surtout de Béroul, Mary de Thomas ; Bédier « français » comme on devait l’être aux alentours de 190919 ; Mary ré
27 iques, de modèles plus anciens, perdus pour nous. Bédier et Mary, comme Wagner, sont des auteurs de Tristan, à peu près au mêm
28 t tout traduire d’un poème, sauf la poésie. Après Bédier (qui a provoqué le premier choc révélateur), après André Mary (pour c
29 ristan et finis ses douleurs ! » Il en reste chez Bédier  : « Que m’importe de mourir ! » — chez Mary, rien du tout, ce qui vau
30 e Iseut ! À la quatrième, il a rendu l’esprit. » ( Bédier  : « Il rendit l’âme. ») Mais il y a surtout l’épisode des amants qui
31 ont trouver l’ermite de la forêt de Morois. Selon Bédier , l’ermite leur dit : « Amis ! comme amour vous traque de misère en mi