1 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
1 aîné…) L’invitus invitam 136 qui fait le sujet de Bérénice , c’est une formule antique interprétée par un « moderne » dans la per
2 xagérément « admissible ». « Je n’ai point poussé Bérénice jusqu’à se tuer, comme Didon, parce que Bérénice n’ayant pas ici avec
3 Bérénice jusqu’à se tuer, comme Didon, parce que Bérénice n’ayant pas ici avec Titus les derniers engagements que Didon avait a
4 e « puni » Le thème de la mort est écarté dans Bérénice par une « censure » morale évidemment chrétienne d’origine. Racine ne
5 ron, etc. 136. « Titus, qui aimait passionnément Bérénice , et qui même, à ce qu’on croyait, lui avait promis de l’épouser, la r
6 mpire. » (Suétone, traduit par Racine, préface de Bérénice .) 137. Hippolyte parlant d’Aricie, acte Ier, scène Ire : « Dois-je é
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
7 aîné…) L’invitus invitam 154 qui fait le sujet de Bérénice , c’est une formule antique interprétée par un « moderne » dans la per
8 xagérément « admissible ». « Je n’ai point poussé Bérénice jusqu’à se tuer, comme Didon, parce que Bérénice n’ayant pas ici avec
9 Bérénice jusqu’à se tuer, comme Didon, parce que Bérénice n’ayant pas ici avec Titus les derniers engagements que Didon avait a
10 e « puni » Le thème de la mort est écarté dans Bérénice par une « censure » morale évidemment chrétienne d’origine. Racine ne
11 ron, etc. 154. « Titus, qui aimait passionnément Bérénice , et qui même, à ce qu’on croyait, lui avait promis de l’épouser, la r
12 mpire. » (Suétone, traduit par Racine, préface de Bérénice .) 155. Hippolyte parlant d’Aricie, acte Ier, scène 1re : « Dois-je é
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
13 aîné…) L’invitus invitam 143 qui fait le sujet de Bérénice , c’est une formule antique interprétée par un « moderne » dans la per
14 xagérément « admissible ». « Je n’ai point poussé Bérénice jusqu’à se tuer, comme Didon, parce que Bérénice n’ayant pas ici avec
15 Bérénice jusqu’à se tuer, comme Didon, parce que Bérénice n’ayant pas ici avec Titus les derniers engagements que Didon avait a
16 e « puni » Le thème de la mort est écarté dans Bérénice par une « censure » morale évidemment chrétienne d’origine. Racine ne
17 ron, etc. 143. « Titus, qui aimait passionnément Bérénice , et qui même, à ce qu’on croyait, lui avait promis de l’épouser, la r
18 mpire. » (Suétone, traduit par Racine, préface de Bérénice ). 144. Hippolyte parlant d’Aricie, acte Ier, scène 1 : « Dois-je épo
4 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
19 tion. Auguste obligé de choisir entre le trône et Bérénice , renvoie la femme. Dans le même cas Windsor abdique, avec l’approbati
5 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
20 tion. Auguste obligé de choisir entre le trône et Bérénice , renvoie la femme. Dans le même cas Windsor abdique, avec l’approbati
6 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
21 tion. Auguste obligé de choisir entre le trône et Bérénice , renvoie la femme. Dans le même cas Windsor abdique, avec l’approbati
7 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
22 t le plaisir de la tragédie » (Racine, préface de Bérénice ). Nous avons vu qu’à chaque fois que la société crée de nouveaux obst
23 orce, à la Cour même, par le théâtre. Andromaque, Bérénice et Phèdre descendent bien moins de l’Antiquité, dont Racine prétend s