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aîné…) L’invitus invitam 136 qui fait le sujet de
Bérénice
, c’est une formule antique interprétée par un « moderne » dans la per
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xagérément « admissible ». « Je n’ai point poussé
Bérénice
jusqu’à se tuer, comme Didon, parce que Bérénice n’ayant pas ici avec
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Bérénice jusqu’à se tuer, comme Didon, parce que
Bérénice
n’ayant pas ici avec Titus les derniers engagements que Didon avait a
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e « puni » Le thème de la mort est écarté dans
Bérénice
par une « censure » morale évidemment chrétienne d’origine. Racine ne
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ron, etc. 136. « Titus, qui aimait passionnément
Bérénice
, et qui même, à ce qu’on croyait, lui avait promis de l’épouser, la r
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mpire. » (Suétone, traduit par Racine, préface de
Bérénice
.) 137. Hippolyte parlant d’Aricie, acte Ier, scène Ire : « Dois-je é
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aîné…) L’invitus invitam 154 qui fait le sujet de
Bérénice
, c’est une formule antique interprétée par un « moderne » dans la per
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xagérément « admissible ». « Je n’ai point poussé
Bérénice
jusqu’à se tuer, comme Didon, parce que Bérénice n’ayant pas ici avec
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Bérénice jusqu’à se tuer, comme Didon, parce que
Bérénice
n’ayant pas ici avec Titus les derniers engagements que Didon avait a
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e « puni » Le thème de la mort est écarté dans
Bérénice
par une « censure » morale évidemment chrétienne d’origine. Racine ne
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ron, etc. 154. « Titus, qui aimait passionnément
Bérénice
, et qui même, à ce qu’on croyait, lui avait promis de l’épouser, la r
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mpire. » (Suétone, traduit par Racine, préface de
Bérénice
.) 155. Hippolyte parlant d’Aricie, acte Ier, scène 1re : « Dois-je é
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aîné…) L’invitus invitam 143 qui fait le sujet de
Bérénice
, c’est une formule antique interprétée par un « moderne » dans la per
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xagérément « admissible ». « Je n’ai point poussé
Bérénice
jusqu’à se tuer, comme Didon, parce que Bérénice n’ayant pas ici avec
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Bérénice jusqu’à se tuer, comme Didon, parce que
Bérénice
n’ayant pas ici avec Titus les derniers engagements que Didon avait a
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e « puni » Le thème de la mort est écarté dans
Bérénice
par une « censure » morale évidemment chrétienne d’origine. Racine ne
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ron, etc. 143. « Titus, qui aimait passionnément
Bérénice
, et qui même, à ce qu’on croyait, lui avait promis de l’épouser, la r
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mpire. » (Suétone, traduit par Racine, préface de
Bérénice
). 144. Hippolyte parlant d’Aricie, acte Ier, scène 1 : « Dois-je épo
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tion. Auguste obligé de choisir entre le trône et
Bérénice
, renvoie la femme. Dans le même cas Windsor abdique, avec l’approbati
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tion. Auguste obligé de choisir entre le trône et
Bérénice
, renvoie la femme. Dans le même cas Windsor abdique, avec l’approbati
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tion. Auguste obligé de choisir entre le trône et
Bérénice
, renvoie la femme. Dans le même cas Windsor abdique, avec l’approbati
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t le plaisir de la tragédie » (Racine, préface de
Bérénice
). Nous avons vu qu’à chaque fois que la société crée de nouveaux obst
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orce, à la Cour même, par le théâtre. Andromaque,
Bérénice
et Phèdre descendent bien moins de l’Antiquité, dont Racine prétend s