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aphies romancées. Lawrence, Faulkner, aujourd’hui
Caldwell
. On parlait autrefois de gauloiserie. Il faudra dire désormais : amér
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i pourrait être écrit tout exprès pour l’œuvre de
Caldwell
: On aime à opposer l’esprit gaulois aux conventions de l’amour cour
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aux romanciers anglo-américains, un Lawrence, un
Caldwell
, un Faulkner. (Céline me paraît bien plus sain : il rit.) Voici ce qu
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ations d’affaires, etc. 161. Scène d’un roman de
Caldwell
intitulé La Route au tabac. 162. On connaît la phrase d’un officier
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leurit dans l’entre-deux-guerres, un Lawrence, un
Caldwell
, et leurs imitateurs. Voici ce que nous disaient ces hommes : « Nous
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ations d’affaires, etc. 179. Scène d’un roman de
Caldwell
intitulé la Route au tabac. 180. On connaît la phrase d’un officier
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leurit dans l’entre-deux-guerres, un Lawrence, un
Caldwell
, un Miller et leurs imitateurs. Voici ce que nous disaient ces hommes
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à la voie divinisante. 166. Scène d’un roman de
Caldwell
intitulé la Route au tabac. 167. On connaît la phrase d’un officier
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eil à San Francisco. Steinbeck dans le Sud-Ouest.
Caldwell
à Miami ou dans l’Ouest. Faulkner et James Cain en Californie. Aldous