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litiques et spirituels, nous les trouvons chez un
Charles-Quint
, chez un Philippe II d’Espagne, et en France dans le parti des Guise,
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litiques et spirituels, nous les trouvons chez un
Charles-Quint
, chez un Philippe II d’Espagne, et en France dans le parti des Guise,
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litiques et spirituels, nous les trouvons chez un
Charles-Quint
, chez un Philippe II d’Espagne, et en France dans le parti des Guise,
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ticle Europe, la représente ainsi en l’honneur de
Charles-Quint
: « L’Espagne était la tête de cette femme ; le col, les provinces de
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ticle Europe, la représente ainsi en l’honneur de
Charles-Quint
: « L’Espagne était la tête de cette femme ; le col, les provinces de
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et l’échec de la grandiose tentative impériale de
Charles-Quint
. Leurs répercussions sur « l’image de l’Europe » ont été diverses et
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e jamais de se traduire en une grandiose réalité.
Charles-Quint
, à son avènement, se trouve être à la fois le maître des Allemagnes,
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ambitions des grands monarques, de Charlemagne à
Charles-Quint
en passant par Othon III et Frédéric II, et qui, pour Dante, fondait
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ésentation que Christian Wechel en aurait faite à
Charles-Quint
. Ch. supra p. 43. 76. Seule exception, à notre connaissance : Tommas
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tutio Principis Christiani, 1515, dédiée au jeune
Charles-Quint
, dont il venait d’être nommé conseiller, Érasme écrivait, non sans un
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ntelligibles ». Dans la Préface à son Histoire de
Charles-Quint
(1769), Robertson déclare expressément qu’il entend « borner l’étude
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ourquoi il a entrepris de présenter l’histoire de
Charles-Quint
, car, écrit-il : Il est une époque, avant laquelle chaque Pays, n’ay
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j’ai entrepris d’écrire l’Histoire de l’empereur
Charles-Quint
. Ce fut pendant son règne que les Puissances de l’Europe formèrent un
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bilité qu’on n’aurait pu l’attendre… Le siècle de
Charles-Quint
peut donc être regardé comme la période à laquelle l’état politique d
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. W. Robertson : Histoire du règne de l’empereur
Charles-Quint
. Tableau des progrès de la Société en Europe, depuis la destruction d
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y réussir d’une manière durable. Ce que n’ont pu
Charles-Quint
, Louis XIV, Napoléon Ier, personne probablement ne le pourra dans l’a
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ons universalistes des Hohenstaufen, plus tard de
Charles-Quint
, ne font que précipiter la volonté de sécession de la France, de l’Au
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re est même mise à l’Index par Paul IV en 1559. «
Charles-Quint
sur son lit de mort doit solliciter de l’Inquisition la permission de