1 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
1 litiques et spirituels, nous les trouvons chez un Charles-Quint , chez un Philippe II d’Espagne, et en France dans le parti des Guise,
2 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
2 litiques et spirituels, nous les trouvons chez un Charles-Quint , chez un Philippe II d’Espagne, et en France dans le parti des Guise,
3 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
3 litiques et spirituels, nous les trouvons chez un Charles-Quint , chez un Philippe II d’Espagne, et en France dans le parti des Guise,
4 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VI. Le concept géographique
4 ticle Europe, la représente ainsi en l’honneur de Charles-Quint  : « L’Espagne était la tête de cette femme ; le col, les provinces de
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
5 ticle Europe, la représente ainsi en l’honneur de Charles-Quint  : « L’Espagne était la tête de cette femme ; le col, les provinces de
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
6 et l’échec de la grandiose tentative impériale de Charles-Quint . Leurs répercussions sur « l’image de l’Europe » ont été diverses et
7 e jamais de se traduire en une grandiose réalité. Charles-Quint , à son avènement, se trouve être à la fois le maître des Allemagnes,
8 ambitions des grands monarques, de Charlemagne à Charles-Quint en passant par Othon III et Frédéric II, et qui, pour Dante, fondait
9 ésentation que Christian Wechel en aurait faite à Charles-Quint . Ch. supra p. 43. 76. Seule exception, à notre connaissance : Tommas
10 tutio Principis Christiani, 1515, dédiée au jeune Charles-Quint , dont il venait d’être nommé conseiller, Érasme écrivait, non sans un
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
11 ntelligibles ». Dans la Préface à son Histoire de Charles-Quint (1769), Robertson déclare expressément qu’il entend « borner l’étude
12 ourquoi il a entrepris de présenter l’histoire de Charles-Quint , car, écrit-il : Il est une époque, avant laquelle chaque Pays, n’ay
13 j’ai entrepris d’écrire l’Histoire de l’empereur Charles-Quint . Ce fut pendant son règne que les Puissances de l’Europe formèrent un
14 bilité qu’on n’aurait pu l’attendre… Le siècle de Charles-Quint peut donc être regardé comme la période à laquelle l’état politique d
15 . W. Robertson : Histoire du règne de l’empereur Charles-Quint . Tableau des progrès de la Société en Europe, depuis la destruction d
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
16 y réussir d’une manière durable. Ce que n’ont pu Charles-Quint , Louis XIV, Napoléon Ier, personne probablement ne le pourra dans l’a
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — Crépuscule ou nouvelle aurore ?
17 ons universalistes des Hohenstaufen, plus tard de Charles-Quint , ne font que précipiter la volonté de sécession de la France, de l’Au
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
18 re est même mise à l’Index par Paul IV en 1559. «  Charles-Quint sur son lit de mort doit solliciter de l’Inquisition la permission de