1 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
1 e rase couverte de ruines pulvérisées. Le rôle de Churchill est de faire la guerre. Mais il ne pourra pas la gagner réellement s’
2 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
2 u rien. Où sont les chefs à la taille du danger ? Churchill  ? Mais il se refuse à définir la juste paix que les peuples attendent
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
3 u rien. Où sont les chefs à la taille du danger ? Churchill  ? Mais il se refuse à définir la juste paix que les peuples attendent
4 1948, Articles divers (1948-1950). Pourquoi l’Europe ? (25 décembre 1948)
4 n faire la paix, mais à une condition : c’est que M. Churchill n’en soit pas ! « S’il en est, nous ne marchons pas, saute la bombe e
5 et périsse le monde : ça nous fait moins peur que Churchill … » Ces petites natures récitent la leçon du jour. C’est qu’ils ont ou
6 . Ils oublient que Staline lui-même s’est allié à Churchill pour battre Hitler. C’est un fait qu’on n’aime pas rappeler dans leur
7 ommes libres à tous égards dans nos rapports avec Churchill , mais qu’ils ne le sont peut-être pas autant dans leurs rapports avec
5 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
8 faciliter « l’union » des États de l’Europe, que Churchill avait réclamée dans son grand discours de Zurich. C’est de ces deux i
9 eure, nous avons traversé la salle en procession, Churchill et sa femme conduisant. Il y avait des fleurs partout, et des fanfare
10 soufflé mon voisin. Mariage de qui ? Peut-être de Churchill et de la gauche continentale ? Ou des vieux hommes d’État et des géné
11 ans la résolution économique du Congrès. 6. Sauf Churchill . 7. Mais il faudrait deux députés au lieu d’un par million d’habitan
6 1949, Articles divers (1948-1950). Commencer par l’Europe (février 1949)
12 n faire la paix, mais à une condition : c’est que M. Churchill n’en soit pas ! « S’il en est, nous ne marchons pas, saute la bombe e
13 et périsse le monde : ça nous fait moins peur que Churchill … » Ces petites natures récitent la leçon du jour. C’est qu’ils ont ou
14 . Ils oublient que Staline lui-même s’est allié à Churchill pour battre Hitler. C’est un fait qu’on n’aime pas rappeler dans leur
15 ommes libres à tous égards dans nos rapports avec Churchill , mais qu’ils ne le sont peut-être pas autant dans leurs rapports avec
7 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
16 nt fédéraliste Il y eut Sully, qu’aime à citer Churchill  : il rêvait d’une coalition. Il y eut Montesquieu, premier critique d
17 ciliter cette « union » des États de l’Europe que Churchill avait réclamée dans son grand discours de Zurich. C’est de ces deux i
18 parmi lesquels des ex-Premiers ministres tels que Churchill , Ramadier, Reynaud et van Zeeland, soixante ministres et anciens mini
8 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Découverte de l’Europe (octobre 1949)
19 ales. (Et pour ma part, je m’explique mal comment M. Churchill peut à la fois lutter pour l’union de l’Europe et déclarer qu’on ne t
20 n premier lieu à l’action décisive du Mouvement : Churchill et Spaak n’ont pas manqué de le souligner, pour s’en féliciter, bien
9 1950, Articles divers (1948-1950). Un gage à Jean Paulhan ! (avril 1950)
21 é à le confondre avec celui de Benda, ou celui de Churchill pendant qu’on y est, dites-nous donc ce que vous proposez. Car je ne
10 1950, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Europe unie et neutralité suisse (novembre-décembre 1950)
22 défense de l’Europe, la situation est différente. M. Churchill a parlé à Strasbourg de créer une armée européenne. M. Pleven a fait
11 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
23 l’Europe vient d’accorder son patronage officiel. M. Winston Churchill a proposé, devant l’Assemblée de Strasbourg, la création d’une armée
12 1952, Articles divers (1951-1956). Prototype T.E.L. (janvier 1952)
24 expériences de l’homme d’action. Mais on sait que Churchill le destinait à des fonctions militaires importantes, que la guerre l’
13 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Habeas Animam (été 1955)
25 ritable et du seul réalisme, dans une époque dont Churchill pouvait dire prophétiquement, au milieu de la guerre : « The empires
14 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La Suisse et l’Europe après 1945 (avril 1957)
26 e réunit à La Haye en 1948, sous la présidence de M. Churchill . Il demanda la convocation d’une Assemblée parlementaire européenne.
15 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la fabrication des nouvelles et des faits (février 1958)
27 ope est né le 1er septembre 1946 d’un discours de Churchill , à Zurich. En vérité, Churchill s’était borné à conseiller l’union de
28 d’un discours de Churchill, à Zurich. En vérité, Churchill s’était borné à conseiller l’union de la France et de l’Allemagne, l’
16 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
29 ce nom ? Cette union de l’Europe que réclamaient Churchill et les fédéralistes issus de la Résistance, dès les congrès de Montre
17 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
30 il va devenir le Deputy Prime Minister du cabinet Churchill . Durant toutes ces années, voyageant sans cesse entre le Mexique et l
31 s les 48 heures soit assuré, et qu’il puisse voir Churchill dès le lendemain. Ils arrivent le soir même à l’hôtel Dorchester. L’
32 L’évacuation des troupes polonaises arrangée avec Churchill , grâce à ce kidnapping du général en chef, commença deux jours plus t
33 fois de plus la Pologne. Cependant, soutenus par Churchill en personne, Sikorski et Retinger, se battant sur deux fronts, abouti
34 ans le bureau de M. Eden. À la surprise générale, Churchill fit son entrée au moment où les discours officiels allaient être écha
35 », adhérèrent au United Europe Movement fondé par Churchill à la suite de son fameux discours de Zurich, et à sa contrepartie sur
36 prirent part. Parmi eux, Duncan Sandys, gendre de Churchill , et Retinger. Au lendemain du discours d’introduction que j’avais pro
37 eterre et de Belgique, qu’effrayait la stature de Churchill , président d’honneur du congrès. (Finalement, tous vinrent à La Haye,
18 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
38 ve rejoint Briand et la Société des Nations, puis Churchill et le congrès de La Haye et les grands débats de notre temps. Le G
39 elle aussi, une grande action morale bien que ni Churchill ni Roosevelt n’aient jamais pu produire son texte : elle n’existait q
19 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
40 de, l’autre à tenter de le dominer. Précurseur de Churchill lançant le slogan du « rideau de fer », il écrit : Au-delà de la Vis
20 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
41 en nous le représenter sous la figure trapue d’un Churchill , avec son grand front. Il est vraisemblable que Churchill eût agi ave
42 l, avec son grand front. Il est vraisemblable que Churchill eût agi avec la même astuce et la même audace qui permirent à Ulysse
21 1962, Articles divers (1957-1962). La culture et l’union de l’Europe (avril 1962)
43 xe siècle, jusqu’à Coudenhove-Kalergi, Briand et Churchill , de nos jours, — depuis six siècles donc, les meilleurs esprits et le
22 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
44 e à Victor Hugo en passant par Goethe, de Sully à Churchill en passant par Montesquieu, Rousseau et Saint-Simon, et de Leibniz à
45 William Penn et de l’abbé de Saint-Pierre jusqu’à Churchill . Du Réveil universel de Comenius29, fondateur de la pédagogie moderne
46 rintemps suivant, des états généraux de l’Europe. Churchill vient de faire à Zurich son célèbre discours appelant à l’union tous
23 1963, Preuves, articles (1951–1968). Une journée des dupes et un nouveau départ (mars 1963)
47 soit peu imaginatif, voire sérieux. Ni Monnet, ni Churchill , ni Erhard, ni Spaak lui-même. Logiquement, c’est de Gaulle qui devra
24 1963, Articles divers (1963-1969). Orientations vers une Europe fédérale (10 mai 1963)
48 entendre la Voix de l’Europe (comme le demandait Churchill dès 1948 au Congrès de l’Europe à La Haye6). Le fait que leur fédérat
25 1963, Articles divers (1963-1969). Aspects fédéralistes dans les plans et projets d’union européenne du Moyen Âge à nos jours (1963)
49 sont, notons-le, les plus illustres de l’époque : Churchill , De Gasperi, Léon Blum, Paul Reynaud, Robert Schuman, Adenauer, Paul-
26 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 4. La responsabilité culturelle de l’Église
50 er, drawn up during World War Il by Roosevelt and Churchill , the United Nations Declaration of Human Rights, and the statements f
27 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
51 e rase couverte de ruines pulvérisées. Le rôle de Churchill est de faire la guerre. Mais il ne pourra pas la gagner réellement s’
28 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
52 établit son quartier général. C’est en Suisse que Churchill choisit de parler de l’Europe, et que la même année 1946, les premièr
29 1964, Articles divers (1963-1969). L’idée européenne en Suisse (1964)
53 états généraux de l’Europe sous la présidence de Churchill , — dont le discours appelant les peuples du continent à former « une
54 établit son quartier général. C’est en Suisse que Churchill choisit de parler de l’Europe, et que la même année 1946, les premièr
30 1965, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). L’Europe et le monde [Introduction] (février 1965)
55 nouvelle guerre franco-allemande : le discours de Churchill à Zurich, en 1946, le dit expressément. Et tout cela conduisit à la c
31 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La Suisse, dans l’avenir européen
56 établit son quartier général. C’est en Suisse que Churchill choisit de parler de l’Europe, et que la même année, 1946, les premiè
32 1967, Articles divers (1963-1969). Au-delà des nations (1967)
57 e la Grande-Bretagne et de la France proposée par Churchill en juin 1940) autrement dit : ce n’est jamais qu’une concession doulo
33 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
58 e la Grande-Bretagne et de la France proposée par Churchill en juin 1940), autrement dit : ce n’est jamais qu’une concession doul
34 1968, Articles divers (1963-1969). Vingt ans après La Haye : où en est l’Europe ? (mai 1968)
59 it (4 h 30 du matin le 6 mai, par exemple). Quand Churchill se rassit après son discours inaugural, toute la salle se leva pour u
60 du qu’au terme du congrès, tous les participants, Churchill en tête, signeraient le document, qui circulerait ensuite dans toute
61 rope n’a pas progressé d’un centimètre depuis que Churchill (en 1946 à Zurich) parlait de son urgence dramatique. La preuve est f
35 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
62 n vont : sur une photo prise à La Haye, autour de Churchill qui se rassied après son discours inaugural, en essuyant une larme de
63 e conservateur qui représente ici le mouvement de Churchill . Il déclare d’entrée de jeu que l’action pour unir l’Europe doit s’ap
64 mariage de raison entre la France et l’Allemagne. Churchill avait fondé tôt après l’United Europe Movement, que son gendre Duncan
65 nférence de notables sous l’égide prestigieuse de Churchill . On convint de chercher un accord entre militants et ministres. Le 11
66 e sous le signe d’une union vaguement définie par Churchill , au lieu de convoquer les états généraux, n’est-ce pas risquer de per
67 ts-Unis d’Europe (qui refusait de collaborer avec Churchill ), et l’Union parlementaire de Coudenhove (qui avait tenu un important
68 ons démantelées par l’attrait que le « congrès de Churchill  » ne manquerait pas d’exercer sur beaucoup de responsables impatients
69 lle époque ? Dans un rêve ? Que se passe-t-il ? «  Churchill , tout près de moi, parle dans un micro, et la voix me revient de la s
70 eurs, nous avons traversé la salle en procession, Churchill et sa femme conduisant. Il y avait des fleurs partout, et des fanfare
71 in, Lord Layton. « Mariage de qui ? Non certes de Churchill et du Labour, mais peut-être des vieux hommes d’État et des génératio
72 ropéen, dont on ne décrivait pas les compétences. Churchill avait parlé d’un « Council of Europe », dont on ne savait pas bien s’
73 re où je lirais ce texte, tous les congressistes, Churchill en tête, signeraient le document, lequel circulerait ensuite dans tou
74 ière de la section économique prenait fin. Je vis Churchill debout devant le micro, les mains sur les revers de sa redingote. Par
75 vais repris ma place à la tribune, juste derrière Churchill , qui faisait basculer son fauteuil, et je l’entendais dire à haute vo
36 1968, Articles divers (1963-1969). De l’État-nation aux régions fédérées (1968)
76 e la Grande-Bretagne et de la France proposée par Churchill en juin 1940), autrement dit : ce n’est jamais qu’une concession doul
37 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe et le sens de la vie (25-26 avril 1970)
77 s près de vingt-cinq ans qu’on nous déclare, avec Churchill — dans son fameux discours de Zurich — qu’il n’y a pas une minute à p
38 1970, Le Cheminement des esprits. Historique — Le mouvement européen
78 nt fédéraliste Il y eut Sully, qu’aime à citer Churchill  : il rêvait d’une coalition. Il y eut Montesquieu, premier critique d
79 ciliter cette « union » des États de l’Europe que Churchill avait réclamée dans son grand discours de Zurich. C’est de ces deux i
80 délégués, parmi lesquels des ex-Premiers tels que Churchill , Ramadier, Reynaud et van Zeeland, soixante ministres et anciens mini
39 1970, Le Cheminement des esprits. Historique — Naissance d’une Fondation
81 ritable et du seul réalisme, dans une époque dont Churchill pouvait dire prophétiquement, au milieu de la guerre : The empires of
40 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Sur la fabrication des nouvelles et des faits
82 ope est né le 1er septembre 1946 d’un discours de Churchill , à Zurich. En vérité, Churchill s’était borné à conseiller l’union de
83 d’un discours de Churchill, à Zurich. En vérité, Churchill s’était borné à conseiller l’union de la France et de l’Allemagne, l’
41 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
84 printemps suivant des états généraux de l’Europe. Churchill vient de faire à Zurich son célèbre discours appelant à l’union tous
85 s de discours insistant, dès le premier (celui de Churchill à Zurich), sur l’urgence vitale de l’affaire ; et un progrès de fait
42 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
86 is près de vingt-cinq ans qu’on nous déclare avec Churchill , dans le fameux discours de Zurich, qu’il n’y a pas une minute à perd
43 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
87 e la Grande-Bretagne et de la France proposée par Churchill en juin 1940), autrement dit : ce n’est jamais qu’une concession doul
44 1970, L’Un et le Divers ou la Cité européenne. II. La Cité européenne
88 s près de vingt‑cinq ans qu’on nous déclare, avec Churchill dans son fameux discours de Zurich — qu’il n’y a pas une minute à per
45 1971, Articles divers (1970-1973). L’Amour et l’Europe : L’Express va plus loin… avec D. de Rougemont (12 avril 1971)
89 s, cela ne se fera pas avec un nationaliste comme Churchill  : il est dangereux. » Une Europe d’États-nations visant à la puissanc
90 édéraliste, nous sommes entrés en opposition avec Churchill , qui, lui, voulait des « États-Unis » d’Europe en vue de créer une pu
46 1971, Articles divers (1970-1973). L’héritage culturel de l’Europe (1971)
91 base, sont compatibles ; d’autres non. Einstein, Churchill , C. G. Jung, Picasso peuvent très bien se détester, ils sont dans le
47 1972, Articles divers (1970-1973). Autopsie d’un cas : Denis de Rougemont (15 mars 1972)
92 réunis, à La Haye, en 1948, sous la présidence de Churchill . Ce fut un très grand congrès qui, au fond, a tout créé. C’est le gra
93 uvoir faire un bout de chemin avec des gens comme Churchill et utiliser son énorme popularité pour lancer l’idée de l’Europe. Nou
48 1972, Articles divers (1970-1973). Le sort de l’an 2000 se joue dans nos écoles (mars 1972)
94 unit le congrès de La Haye, sous la présidence de Churchill , en mai 1948, il paraissait urgent de faire l’Europe pour empêcher le
49 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Stratégie de l’Europe des régions (printemps 1974)
95 onder « une sorte de confédération » comme disait Churchill à Zurich, sur la base des États-nations souverains — et qu’ensuite on
50 1974, Articles divers (1974-1977). L’Europe des régions (juin-juillet 1974)
96 des “pères de l’Europe“, Denis de Rougemont. Avec Churchill , Robert Schumann, Jean Monnet et Konrad Adenauer, Denis de Rougemont,
51 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. II. Les débuts de la Fondation européenne de la culture
97 ritable et du seul réalisme, dans une époque dont Churchill pouvait dire prophétiquement, au milieu de la guerre : « The empires
52 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
98 unit le congrès de La Haye, sous la présidence de Churchill , en mai 1948, il paraissait urgent de faire l’Europe pour empêcher le
53 1977, Articles divers (1974-1977). Les débuts de la construction européenne (1977)
99 ojets politiques plus ou moins pragmatiques, dont Churchill sera le porte-parole le plus prestigieux, Schuman et Spaak les artisa
100 diplomatie occidentale ; rappelons le discours de Churchill à Zurich, le 16 septembre 1946, et les appels réitérés du général de
101 ndances s’affrontent : celle des unionistes (à la Churchill ) qui demandent des mesures « d’union plus étroite » ne limitant en ri
102 Duncan Sandys, jeune ancien ministre et gendre de Churchill , et le secrétaire général, Joseph Retinger. Sous leur conduite, une d
54 1978, Articles divers (1978-1981). Pleine page sur Denis de Rougemont (14-15 mai 1978)
103 u premier congrès européen de La Haye que présida Churchill . J’en étais le rapporteur et j’ai proposé de faire l’Europe par la cu
55 1978, Articles divers (1978-1981). De l’Europe des États coalisés à l’Europe des peuples fédérés (mai 1978)
104 pas que l’on pourra faire, éclate le discours de Churchill à l’Université de Zurich, le 19 septembre 1946. D’un trait génial, Ch
105 Zurich, le 19 septembre 1946. D’un trait génial, Churchill va ramener la conjoncture la plus complexe et angoissante à une seule
106 notables politiques et industriels patronnés par Churchill . Et c’est ce « compromis historique » qui va se réaliser au début de
107 e manière de reformer la « famille » dont parlait Churchill , que d’en exclure pour des motifs purement économiques, les pays scan
56 1978, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (hiver 1978)
108 on step by step ou « pas à pas » comme le voulait Churchill , mais « avec des bottes de sept lieues ! »12 Il s’agissait alors, pou
57 1979, Articles divers (1978-1981). Considérations sur une charte culturelle européenne : mémorandum (17 décembre 1979)
109 s a definition of culture. 32. Motif invoqué par Churchill dans son discours de Zurich (1946) puis par Jean Monnet, Robert Schum
58 1979, Cadmos, articles (1978–1986). L’Europe comme invention de la culture (automne 1979)
110 i 1948 à La Haye, sous la présidence d’honneur de Churchill , d’ailleurs présent et très souvent actif. On m’a chargé d’organiser
59 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Introduction
111 Haye (mai 1948), sous la présidence d’honneur de Churchill , qui est présent et actif. Elles proposent la création d’un Conseil d
60 1980, Articles divers (1978-1981). L’Europe, invention culturelle (1980)
112 i 1948 à La Haye, sous la présidence d’honneur de Churchill , d’ailleurs présent et très souvent actif. On m’a chargé d’organiser
61 1984, Articles divers (1982-1985). L’Europe et les intellectuels (1984)
113 opéen, et salué par un message très chaleureux de Churchill . Vous voilà devenu organisateur, sinon administrateur, d’un projet bi
62 1984, Articles divers (1982-1985). Informatique, société, sagesse (1984)
114 ai 1948 se tient à La Haye, sous la présidence de Churchill , le premier Congrès de l’Europe et ce congrès se termine par la procl
63 1985, Cadmos, articles (1978–1986). Trente-cinq ans d’attentes déçues, mais d’espoir invaincu : le Conseil de l’Europe (été 1985)
115 grès avait réuni, sous la présidence d’honneur de Churchill , 800 délégués des pays de l’Europe de l’Ouest et observateurs des pay
116 sations étaient alors : United Europe (fondée par Churchill ), le Comité pour l’Europe unie (Raoul Dautry et René Courtin), la Lig
117 ncien ministre anglais des Armements et gendre de Churchill , et le Secrétaire général, le Polonais Joseph Retinger, qui avait été
64 1986, Articles divers (1982-1985). L’Europe des consciences (1986)
118 ope réuni à La Haye en 1948 sous la présidence de Churchill , ce texte de trois pages a décidé de ma carrière professionnelle et n