1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Les Appels de l’Orient (septembre 1925)
1 utuelle l’adoucira. Il y a ceux qui à la suite de Claudel estiment que la question ne se pose pas, puisque nous sommes chrétien
2 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Rolland de Renéville, Rimbaud le voyant (août 1929)
2 de sectaire contre l’interprétation proposée par Claudel et Isabelle Rimbaud ? Si Claudel s’est montré partial en faisant de R
3 ion proposée par Claudel et Isabelle Rimbaud ? Si Claudel s’est montré partial en faisant de Rimbaud, « mystique à l’état sauva
3 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
4 e la critique. Trois ou quatre grands écrivains — Claudel , Gide, Valéry… — suffisent à nous rassurer sur la valeur littéraire d
4 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
5 suivre la filiation, jusqu’au Soulier de Satin de Claudel  : ce serait une sorte de généalogie du réalisme poétique. 1. Obscur
5 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
6 cision et de verve, Cingria est un phénomène dont Claudel , Max Jacob et Ramuz ont su voir et dire l’importance, et dont je me c
6 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
7 é qu’un homme incarne. Qui le connaît en France ? Claudel , quelques revues protestantes en ont parlé. C’est tout. Nos grands jo
8 boles qui appartiennent au génie japonais tel que Claudel nous l’a décrit, mais auquel le génie chrétien ajoute une dimension h
7 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
9 critique se tait sur Edschmid, l’Académie refuse Claudel . État de l’élite française en 1935. Petits signes révélateurs d’une d
8 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
10 me et un corps ». Aujourd’hui, c’est un Rilke, un Claudel , un Ramuz qui détiennent les simples par quoi nous guérirons du plato
9 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
11 re. Racine avait un millier d’auditeurs ; Valéry, Claudel , Gide, Péguy n’ont guère eu davantage de lecteurs durant la période d
10 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
12 s mains (décembre 1936)aa De l’Art poétique de Claudel , qui domine de son poids les écritures du siècle, je retiendrai d’abo
13 le. Ou bien c’est l’ornement de nos loisirs. Mais Claudel dit : l’art poétique est art de faire. Un gémissement célèbre, chez l
14 que, on a tiré quelques rayons d’in-octavos. Mais Claudel  : « Vivre, c’est connaître », « Se connaître, c’est faire naître avec
15 ni de la même poésie ni de la même connaissance. Claudel choisit, contre le sens banal, le sens qu’indiquent les étymologies.
16  » Cette phrase de la Logique de Port-Royal, dont Claudel , s’il est réaliste, doit récuser la principale40, peut néanmoins serv
17 série de contraventions dans l’impunité générale. Claudel montre partout son parti pris, qui est de s’en tenir aux origines, et
18 celle-là de permettre à nos pensées de circuler. Claudel se donne un règlement, et il observe les signaux. Les autres (voyez l
19 la pensée et la main. Cependant que l’effort d’un Claudel , restituant à chaque mot son sens le plus poignant, par là même le pl
20 on, notre péché, contre laquelle toute l’œuvre de Claudel se soulève à l’appel de la Joie. Le monde qu’interprète l’Art poétiqu
21 tention, partout, qu’il manifeste avec puissance, Claudel répond à la proposition universelle. Qu’on parle alors de procédé, si
22 angage est débrayé. Comment rétablir le contact ? Claudel n’écrira pas : je vais vous expliquer cela clairement, mais : « Tel e
11 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
23 ncien (comme le dit, à peu près, un personnage de Claudel ). Du nouveau qui ne soit pas création absolue et imprévisible, mais d
12 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
24 re. Racine avait un millier d’auditeurs ; Valéry, Claudel , Gide, Péguy n’ont guère eu davantage de lecteurs durant la période d
13 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
25 fin du xixe siècle. Par contre l’Art poétique de Claudel n’est pas sérieux. Ainsi l’on met en doute à l’Université le sérieux
14 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
26 pose de poursuivre (sic) cette collection. » 94. Claudel (Art poétique, Connaissance de l’Est), le Péguy des pamphlets, Ramuz
15 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
27 ncien (comme le dit, à peu près, un personnage de Claudel ). Du nouveau qui ne soit pas création absolue et imprévisible, mais d
16 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
28 re. Racine avait un millier d’auditeurs ; Valéry, Claudel , Gide, Péguy n’ont guère eu davantage de lecteurs durant la période d
17 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
29 fin du xixe siècle. Par contre l’Art poétique de Claudel n’est pas sérieux. Ainsi l’on met en doute à l’Université le sérieux
18 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
30 pose de poursuivre (sic) cette collection. » 97. Claudel (Art poétique, Connaissance de l’Est), le Péguy des pamphlets, Ramuz
19 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
31 que présentent les recherches d’un Valéry ou d’un Claudel avec celles d’un Novalis, par exemple. Ce serait l’occasion de révise
20 1937, Esprit, articles (1932–1962). M. Benda nous « cherche », mais ne nous trouve pas (juillet 1937)
32 lle de Barrès, de Maurras, de Sorel, de Péguy, de Claudel , de Rolland, de Bergson, qui tous, bien qu’« heureux » (selon Benda)
21 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
33 de passions. Trop difficile quand elle est belle ( Claudel ne peut pas devenir populaire). Tristement bourgeoise et fausse, quan
22 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
34 nération d’avant le régime. Ils connaissent Gide, Claudel , Giraudoux, mieux que moi. L’un d’eux me présente un travail sur les
23 1939, Articles divers (1938-1940). Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident (juin 1939)
35 ar principe aux lettres de lecteurs : un Gide, un Claudel … Ils sont rares. Restent les médecins de famille : ce n’est pas nouve
24 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
36 ’avons perçue de nos jours, dans le dialecte d’un Claudel , parfois même dans celui de tel surréaliste. Mais notre monde est-il
25 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
37 eloppa au siècle dernier. « Je l’ai souvent dit à Claudel  : Ce qui me retient [d’entrer dans l’église], ce n’est pas la libre p
26 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
38 s notre monde démesuré ? Un Valéry, un Gide ou un Claudel ont quelques milliers de lecteurs, tandis que la presse du soir et la
27 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Hommage à C. F. Ramuz (mai 1940)
39 ia, le peintre Auberjonois, Ansermet, Stravinsky. Claudel y touche de près. Cocteau y a des souvenirs, Maritain des amitiés. Po
28 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
40 s notre monde démesuré ? Un Valéry, un Gide ou un Claudel ont quelques milliers de lecteurs, tandis que la presse du soir et la
29 1944, Les Personnes du drame. Introduction
41 sujet de cet ouvrage : « L’homme étant donné, dit Claudel , pour inventer une raison commune à des termes infiniment distants et
30 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
42 eloppa au siècle dernier. « Je l’ai souvent dit à Claudel  : — Ce qui me retient (d’entrer dans l’Église), ce n’est pas la libre
31 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
43 l’Histoire. 77. Avant Ramuz je ne vois guère que Claudel pour avoir conduit consciemment ce travail d’« autorisation » (Art po
32 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — L’Art poétique de Claudel
44 L’Art poétique de Claudel La création tout entière est un discours adressé à la créature au
45 (Paraphrase du Psaume 19.) De l’Art poétique de Claudel , qui domine toute son œuvre ultérieure, je retiendrai d’abord deux mo
46 le. Ou bien c’est l’ornement de nos loisirs. Mais Claudel dit : l’art poétique est art de faire. Un gémissement célèbre, chez l
47 que, on a tiré quelques rayons d’in-octavos. Mais Claudel  : « Vivre c’est connaître », « Se connaître, c’est faire naître avec
48 i de la même poésie ni de la même connaissance. ⁂ Claudel choisit, contre le sens banal, le sens qu’indiquent les étymologies.
49 ». Cette phrase de la Logique de Port-Royal, dont Claudel s’il est réaliste doit récuser la principale82, peut néanmoins servir
50 série de contraventions dans l’impunité générale. Claudel montre partout son parti pris, qui est de s’en tenir aux origines, et
51 celle-là de permettre à nos pensées de circuler. Claudel se donne un règlement, et il observe les signaux. Les autres (voyez l
52 angage est débrayé. Comment rétablir le contact ? Claudel n’écrira pas : je vais vous expliquer cela clairement, mais : « Tel e
53 le style du livre de Job. Cependant cet effort de Claudel , restituant à chaque mot son sens le plus poignant, par là même le pl
54 on, notre péché, contre laquelle toute l’œuvre de Claudel se soulève à l’appel de la Joie. Le monde qu’interprète l’Art poétiqu
55 tention, partout, qu’il manifeste avec puissance, Claudel répond à la proposition universelle. Qu’on parle alors de procédé, si
56 importe de le souligner, précisément à propos de Claudel que sa théologie thomiste entraîne parfois dans de graves équivoques.
33 1946, Articles divers (1941-1946). Réponse à l’enquête « Les travaux des écrivains » (24 août 1946)
57 Goethe, Kierkegaard, Kafka, Luther, Gide, Ramuz, Claudel et les romantiques allemands. Enfin, Doctrine fabuleuse . J’y travai
34 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
58 de passions. Trop difficile quand elle est belle ( Claudel ne peut pas devenir populaire). Tristement bourgeoise et fausse, quan
35 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
59 nération d’avant le régime. Ils connaissent Gide, Claudel , Giraudoux, mieux que moi. L’un d’eux me présente un travail sur Les
36 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
60 nement, dans le grand public, je le répète, Gide, Claudel , Valéry (jamais traduit), Mauriac, Bernanos, Ramuz, Breton, Fargue, P
37 1948, Articles divers (1946-1948). Rencontre avec Denis de Rougemont (janvier 1948)
61 de Kafka, de Kierkegaard, de Luther, de Gide, de Claudel et de Ramuz. Ensuite, il publiera son Journal des deux mondes , des
38 1949, Le Semeur, articles (1933–1949). « Les protestants et l’esthétisme » (février-mars 1949)
62 très connus ; le protestantisme, presque aucun. À Claudel , Bernanos, Mauriac, Graham Greene, Evelyn Waugh, Siegrid Undset, que
63 nt pas produit d’écrivains protestants au sens où Claudel est un écrivain catholique, Eliot un écrivain anglican. Et, pour les
39 1950, Articles divers (1948-1950). Saint-John Perse et l’Amérique (1950)
64 ux ? J’en vois si peu. Dante, John Donne, parfois Claudel , quelques Arabes et Chinois peut-être… k. « Saint-John Perse et l’Am
40 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
65 sage qu’il en faisait me semblait décevant. Là où Claudel prend son élan pour caramboler des symboles, où Valéry se fût polimen
41 1952, Articles divers (1951-1956). Prototype T.E.L. (janvier 1952)
66 ’exilent dans un métier d’errants (Joseph Conrad, Claudel et Saint-John Perse). Et beaucoup se sont vus exilés par le parti qui
42 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en juin 1953 (mai-juin 1953)
67 a besoin de nous, tant pis pour nous », comme dit Claudel . L’idée avance, malgré tout Seules les idées avancent. Et rien
43 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
68 tique à l’état sauvage » — selon l’expression que Claudel appliquait au cas de Rimbaud — vit simplement sur les reflets épars d
44 1956, Articles divers (1951-1956). « Je vivais en ce temps-là… » (janvier 1956)
69 isquait de se trouver tout d’un coup devant Gide, Claudel , ou James Joyce conversant comme de simples humains avec la desservan
70 erre dans l’appartement d’Adrienne ? De l’ancêtre Claudel aux jeunes d’alors, tous ceux qu’elle estimait défilèrent un à un dev
45 1957, Arts, articles (1952-1965). L’ère des loisirs commence (10 avril 1957)
71 tique à l’état sauvage » — selon l’expression que Claudel appliquait au cas de Rimbaud — vit simplement sur les reliefs épars d
46 1957, Articles divers (1957-1962). La fin du pessimisme (juin 1957)
72 définitive fourmilière » ? On pourrait m’objecter Claudel , optimiste de style baroque et fonctionnaire du premier rang ; mais s
47 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
73 tique à l’état sauvage » — selon l’expression que Claudel appliquait au cas Rimbaud — vit simplement sur les reflets épars du d
48 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
74 uivre la filiation, jusqu’au Soulier de satin, de Claudel  : ce serait une sorte de généalogie du réalisme poétique.   Telle fu
49 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes II. Les deux âmes d’André Gide
75 sage qu’il en faisait me semblait décevant. Là où Claudel prend son élan pour caramboler des symboles, où Valéry se fût polimen
50 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — Rudolf Kassner et la grandeur humaine
76 uivre la filiation, jusqu’au Soulier de satin, de Claudel  : ce serait une sorte de généalogie du réalisme poétique. ⁂ Telle fut
51 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
77 éfinitive fourmilière »  ? On pourrait m’objecter Claudel , optimiste de style baroque et fonctionnaire du premier rang ; mais s
52 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
78 (Univers, universitas, selon l’étymologie chère à Claudel , veut dire « version à l’unité »…). Toute l’évolution que j’ai dite c
53 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Université et universalité dans l’Europe d’aujourd’hui (décembre 1964)
79 (Univers, universitas, selon l’étymologie chère à Claudel , veut dire « version à l’unité »…) Toute l’évolution que j’ai dite co
54 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
80 , si l’on veut, la « Danse des Morts » inspirée à Claudel par des fresques de Holbein, Nicolas de Flue est le seul sujet vrai
55 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jean Paulhan (19-20 octobre 1968)
81 L’on m’invita à la table des dieux. Valéry, Gide, Claudel et Saint-John Perse ! Étourdi de bonheur je répondis : Je n’ai pas vi
82 ut l’homme. Et Gide, ce qu’il est. Il suffirait à Claudel de reformer sur les débris d’une société laïque le monde sacral, tel
56 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — L’Europe contestée par elle-même
83 Freud, illustrent la première tendance ; ceux de Claudel , d’Eliot, de Maritain, ainsi que de Karl Barth, la seconde. Le surréa
57 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Université et universalité dans l’Europe d’aujourd’hui
84 univers, universitas, selon l’étymologie chère à Claudel , veut dire « version à l’unité »… Toute l’évolution que j’ai dite con
58 1971, Articles divers (1970-1973). Souvenir d’Honegger et de Nicolas de Flue (1971)
85 crire Jeanne au bûcher et La Danse des morts avec Claudel . De quinze ans son cadet, inconnu du grand public, je ne lui apporte
59 1973, Articles divers (1970-1973). Université et universalité (janvier 1973)
86 universalité (cette « version à l’unité », disait Claudel ), et par suite de ruiner nos possibilités de communication, de langag
60 1977, Articles divers (1974-1977). Souvenir de 1938 (1977)
87 à 46 ans, il vient d’écrire Jeanne au bûcher avec Claudel . De quinze ans son cadet, inconnu du grand public, je ne lui apporte
61 1979, Articles divers (1978-1981). Un foyer de culture (janvier 1979)
88 . Dans le même temps, Paris produit Valéry, Gide, Claudel et Marcel Proust, et baptise « École de Paris » une génération de gra
62 1980, Articles divers (1978-1981). Un précurseur de l’engagement politique (1er mai 1980)
89 il y a aussi des auteurs français comme Rimbaud, Claudel , Gide et même notre Ramuz… Tout auteur vit sur un certain nombre de c
90 auteurs plus proches de nous, d’autre part, comme Claudel par exemple. J’ai été assez heureux de la manière dont Ramuz a réagi
63 1980, Articles divers (1978-1981). Le bilan culturel de la décennie 1970-1980 (1980)
91 ains du niveau de ceux qui l’inaugurent : Valéry, Claudel , Proust, Maeterlinck, Ramuz et le jeune Malraux dans le domaine franç
92 sies, s’appellent dans le désert. Que vient faire Claudel là-dedans ? Pas grand-chose de propre, forcément. Parce que Claudel,
93 ? Pas grand-chose de propre, forcément. Parce que Claudel , pour Daniel Mesguich comme pour tant d’hommes de théâtre de son âge,
64 1983, Articles divers (1982-1985). Réponses à des questions de Marcel Proust et de Michel Moret (1983)
94 Rimbaud. Puis : Valéry, Rilke, Léon-Paul Fargue, Claudel , T. S. Eliot et Saint-John Perse. Le don de la nature que vous aimeri
65 1985, Articles divers (1982-1985). Quelques-uns de mes écrivains : anecdotes (1985)
95 se composait la Nouvelle Revue française (Gide, Claudel , Valéry, Proust, Saint-John Perse…) était assez petit, de plafond bas
96 ssais sur Goethe et Rimbaud, Kierkegaard, Luther, Claudel , Ramuz et les romantiques allemands. Des propos quelque peu obscurs q