1 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
1 au monde entier. À la fin de la guerre de 14-18, Clemenceau disait, paraît-il : « Les Alliés seraient disposés à faire la paix av
2 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
2 Empire, de la Commune, des Jules, de Delcassé, de Clemenceau , du Front populaire, de Vichy, des 26 ministères de la Quatrième, et
3 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
3 250 000 exemplaires, sensationnel pour l’époque. ( Clemenceau lui-même lui consacre un article.) Négociations secrètes avec l’Au
4 de Boni. Il obtient des encouragements verbaux de Clemenceau et d’Asquith qui l’autorisent à explorer les chances d’une paix sépar
5 de se conclure. Le projet sera donc abandonné, et Clemenceau plus tard pourra nier effrontément, devant la Chambre française, qu’i
6 s difficultés. Georges Mandel, qui est l’homme de Clemenceau , répand sur lui des bruits fâcheux. Lord Northcliffe, « qui avait des
4 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Un pays traditionnellement neutre »
7 rd, op. cit., p. 207-210 et passim. 41. En 1917, Clemenceau disait : « Les Alliés voudraient bien faire la paix, mais la Gazette
5 1975, Articles divers (1974-1977). Au-delà de la société industrielle (1975)
8 es autorités scientifiques. » Deux ans plus tard, Clemenceau écrira dans son journal : « Dangereuse, puante, inconfortable, ridicu
6 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
9 ouper la tête quand cela se présente. (Louis XVI, Clemenceau , de Gaulle et, sous forme anodine, les « crises ministérielles ».) Ch
7 1981, Articles divers (1978-1981). Guy de Pourtalès l’Européen [préface] (1981)
10 ncore sans doute, le frère d’un officier suisse ! Clemenceau , lui dit-on, risque fort d’être interpellé à la Chambre sur ce sujet…