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au monde entier. À la fin de la guerre de 14-18,
Clemenceau
disait, paraît-il : « Les Alliés seraient disposés à faire la paix av
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Empire, de la Commune, des Jules, de Delcassé, de
Clemenceau
, du Front populaire, de Vichy, des 26 ministères de la Quatrième, et
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250 000 exemplaires, sensationnel pour l’époque. (
Clemenceau
lui-même lui consacre un article.) Négociations secrètes avec l’Au
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de Boni. Il obtient des encouragements verbaux de
Clemenceau
et d’Asquith qui l’autorisent à explorer les chances d’une paix sépar
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de se conclure. Le projet sera donc abandonné, et
Clemenceau
plus tard pourra nier effrontément, devant la Chambre française, qu’i
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s difficultés. Georges Mandel, qui est l’homme de
Clemenceau
, répand sur lui des bruits fâcheux. Lord Northcliffe, « qui avait des
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rd, op. cit., p. 207-210 et passim. 41. En 1917,
Clemenceau
disait : « Les Alliés voudraient bien faire la paix, mais la Gazette
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es autorités scientifiques. » Deux ans plus tard,
Clemenceau
écrira dans son journal : « Dangereuse, puante, inconfortable, ridicu
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ouper la tête quand cela se présente. (Louis XVI,
Clemenceau
, de Gaulle et, sous forme anodine, les « crises ministérielles ».) Ch
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ncore sans doute, le frère d’un officier suisse !
Clemenceau
, lui dit-on, risque fort d’être interpellé à la Chambre sur ce sujet…