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at dans l’intention — avouée par le conventionnel
Cloots
— de discipliner les esprits ; mêmes tentatives pour instaurer une re
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ulations particulières ou privées ? » Non, estime
Cloots
, bien que « la tolérance soit un mal nécessaire dans les conditions a
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is sûr de moi depuis que je suis sûr du peuple » (
Cloots
). « Je ne puis vivre que si ma foi puissante dans le peuple allemand
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éculations particulières ou privées ? Non, estime
Cloots
, bien que « la tolérance soit un mal nécessaire dans les conditions a
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s sûr de moi depuis que je suis sûr du peuple. » (
Cloots
.) « Je ne puis vivre que si ma foi puissante dans le peuple allemand
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ire sans transition au collectivisme totalitaire.
Cloots
poursuit en effet dans ces termes : De ces données incontestables ré
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ême, fera justice tôt ou tard. Le 21 avril 1792,
Cloots
avait remis à la Convention un ouvrage intitulé la République univers
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totalement « nivelé » par les lois de la Liberté.
Cloots
, lui aussi, est parti de l’idéal cosmopolite. Il s’écrie dans son dis
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ire sans transition au collectivisme totalitaire.
Cloots
poursuit en effet dans ces termes : Nous ne voulons pas d’autre maît
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ême, fera justice tôt ou tard. Le 21 avril 1792,
Cloots
remet à la Convention un ouvrage intitulé La République universelle,
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adoxal — de cette « confédération individuelle »,
Cloots
dépose en conclusion le Projet de décret suivant : La Convention na
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n.148 Mais il ne partage pas les illusions d’un
Cloots
sur l’unité de style néo-romain qu’il faudrait imposer à toute l’huma
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pie devrait être imposée au genre humain, précise
Cloots
, par « la guerre ! la guerre ! cri de tous les patriotes répandus sur
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éologie jacobine — qui atteint son paroxysme avec
Cloots
— va justifier les deux phénomènes majeurs de la Révolution française
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narchique puis révolutionnaire Rousseau jacobins,
Cloots
— des États-nations Tocqueville Proudhon Bakounine Marx — de l’op