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rope, mais qu’elle passa seulement de Phénicie en
Crète
et de Crète en Lycie.2 Hérodote. Europe fut d’abord une déesse, l’u
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u’elle passa seulement de Phénicie en Crète et de
Crète
en Lycie.2 Hérodote. Europe fut d’abord une déesse, l’une des trois
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l’enlève aux rives de l’Asie pour la conduire en
Crète
, où elle deviendra reine, et mère des rois de la dynastie de Minos. D
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endue marine, sous l’aspect d’un taureau. Mais la
Crète
te recevra bientôt ; elle m’a nourri moi-même ; c’est là que se céléb
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t dit était chose accomplie. Déjà apparaissait la
Crète
; par un nouveau changement, Zeus reprenait sa figure ; il détacha la
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nes, un Zeus solaire contemporain du déclin de la
Crète
et de son culte de la Grande Mère, éclaire et reflète à la fois la na
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flots. Mais dès qu’elle eut atteint la puissante
Crète
aux Cent villes : « Ô mon père, dit-elle, ô nom de fille que j’ai tra
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cienne représente la vie du siècle, tandis que la
Crète
serait la vie contemplative. Le rapt d’Europe symbolise à ses yeux le
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rs. Sitôt méditerranéen, le mythe Europe passe en
Crète
. Il y devient le symbole de toute une civilisation intermédiaire entr
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ses richesses, État maritime et colonisateur, la
Crète
des Minos répand le culte d’Europe associé à celui de Zeus dans le mo
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se répandre peu à peu dans l’Hellade entière. De
Crète
, il prend trois directions : vers Corinthe, la Thessalie, puis, à tra
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, qui rappelle une très ancienne occupation de la
Crète
par les Hellènes, a été tiré d’images pré-helléniques de la Prêtresse
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st aussi la déesse des Philistins, peuple venu de
Crète
en Palestine vers 1200 av. J.-C. Vertigineuse réfraction des symboles
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ois de Minos, de Dracon et de Solon, venues de la
Crète
et de l’Égypte ancienne par la Grèce, ce sont le Décalogue et les Béa
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itive, comme dans le cas des Doriens détrônant la
Crète
, ou des Germains submergeant Rome, soit plus audacieuse et prestigieu
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rope, mais qu’elle passa seulement de Phénicie en
Crète
et de Crète en Lycie.4 Hérodote Europe fut d’abord une déesse, l’u
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u’elle passa seulement de Phénicie en Crète et de
Crète
en Lycie.4 Hérodote Europe fut d’abord une déesse, l’une des trois
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l’enlève aux rives de l’Asie pour la conduire en
Crète
, où elle deviendra reine, et mère des rois de la dynastie de Minos. D
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endue marine, sous l’aspect d’un taureau. Mais la
Crète
te recevra bientôt ; elle m’a nourri moi-même ; c’est là que se céléb
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t dit était chose accomplie. Déjà apparaissait la
Crète
; par un nouveau changement, Zeus reprenait sa figure ; il détacha la
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les Hébreux de la mer. Or, Keret est le nom de la
Crète
; les Keretites que mentionne le prophète Sophonie (II, 5) sont des C
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Phénicie » des Grecs. Il a son siège en Kaphtor (
Crète
) et il est aussi le grand dieu d’Edom, qui est le même nom qu’Adam, q
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nes, un Zeus solaire contemporain du déclin de la
Crète
et de son culte de la Grande Mère, éclaire et reflète à la fois la na
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flots. Mais dès qu’elle eut atteint la puissante
Crète
aux cent villes : « Ô mon père, dit-elle, ô nom de fille que j’ai tra
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cienne représente la vie du siècle, tandis que la
Crète
serait la vie contemplative. Le rapt d’Europe symbolise à ses yeux le
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rs. Sitôt méditerranéen, le mythe Europe passe en
Crète
. Il y devient le symbole de toute une civilisation intermédiaire entr
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ses richesses, État maritime et colonisateur, la
Crète
des Minos répand le culte d’Europe associé à celui de Zeus dans le mo
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se répandre peu à peu dans l’Hellade entière. De
Crète
, il prend trois directions : vers Corinthe, la Thessalie, puis, à tra
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Tyr, avait envoyé à la recherche : de Phénicie en
Crète
, en Béotie, en Illyrie, Cadmos avait marché vers cette terre du soir,
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médiocres et finir, après avoir cru la trouver en
Crète
, puis en Italie, par la restreindre à la péninsule espagnole ? Encor
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es de l’archéologie confirment cette date. Par la
Crète
, l’alphabet nous vient des Phéniciens ; ceux-ci colonisèrent la Béoti
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us, qui rappelle une très longue occupation de la
Crète
par les Hellènes, a été tiré d’images préhelléniques de la Prêtresse
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st aussi la déesse des Philistins, peuple venu de
Crète
en Palestine vers 1200 av. J.-C. (Ishtar = Esther = Astarté.) Vertigi
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ière significative sur la position centrale de la
Crète
, où Zeus avait fait Europe reine : Il n’y a au monde aucune partie q
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, en Égypte et en Phénicie et de là transférés en
Crète
d’abord — où la princesse Europe engendra une dynastie, les Minoens —
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, en Égypte et en Phénicie et de là transférés en
Crète
d’abord — où la princesse Europe engendra une dynastie, les Minoens —
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ois de Minos, de Dracon et de Solon, venues de la
Crète
et de l’Égypte ancienne par la Grèce, ce sont le Décalogue et les Béa
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s primitive et plus brutale, Doriens détrônant la
Crète
, Germains investissant la Gaule et l’Ibérie romaines, ou les quelques
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tions que nous continuons. — Égypte, Mésopotamie,
Crète
, Grèce, Rome, Jérusalem, christianisme, Celtes, Germains, Arabes, Sla
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ois de Minos, de Dracon et de Solon, venues de la
Crète
et de l’Égypte ancienne par la Grèce, ce sont le Décalogue et les Béa
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s primitive et plus brutale, Doriens détrônant la
Crète
, Germains investissant la Gaule et l’Ibérie romaines, ou les quelques
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cesse de Tyr en Palestine, que Zeus fait reine en
Crète
, cependant que son frère Cadmus fondera Thèbes en Béotie. Puis appara
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détacher, après que la civilisation minoenne — de
Crète
— ait été transmise à Mycènes, dans le Péloponnèse. Le mythe de l’enl
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yr. Europe est enlevée à Tyr. Elle est emmenée en
Crète
, où se fait la première grande civilisation, à mi-chemin entre l’Orie
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emin entre l’Orient et ce qui sera l’Occident. De
Crète
, la civilisation se transmet à Mycènes. Sociologiquement, ce passage