1 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
1 que — tu vas l’entendre à toutes les terrasses de Debrecen . Debrecen est une sorte de ville indescriptible, à demi mêlée aux sab
2 as l’entendre à toutes les terrasses de Debrecen. Debrecen est une sorte de ville indescriptible, à demi mêlée aux sables de la
3 e chars à bœufs parmi les trams. Les habitants de Debrecen se plaignent de n’avoir pas ce faux confort que nous n’avons qu’au pr
4 nfort que nous n’avons qu’au prix de tout ce qu’à Debrecen je viens admirer. On aime les Hongrois comme on aime l’enfance : or l
5 e de maisons basses, les dernières de la ville de Debrecen , au bord de la Grande Plaine encore rougeâtre de soleil couchant. J’y
2 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
6 que — tu vas l’entendre à toutes les terrasses de Debrecen . Debrecen est une sorte de grande ville indescriptible, à demi mêlée
7 as l’entendre à toutes les terrasses de Debrecen. Debrecen est une sorte de grande ville indescriptible, à demi mêlée aux sables
8 e chars à bœufs parmi les trams. Les habitants de Debrecen se plaignent de n’avoir pas ce faux confort que nous n’avons qu’au pr
9 nfort que nous n’avons qu’au prix de tout ce qu’à Debrecen je viens admirer. On aime les Hongrois comme on aime l’enfance : or l
10 e de maisons basses, les dernières de la ville de Debrecen , au bord de la Grande Plaine encore rougeâtre de soleil couchant. J’y
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
11 que — tu vas l’entendre à toutes les terrasses de Debrecen . Debrecen est une sorte de grande ville indescriptible, à demi mêlée
12 as l’entendre à toutes les terrasses de Debrecen. Debrecen est une sorte de grande ville indescriptible, à demi mêlée aux sables
13 e chars à bœufs parmi les trams. Les habitants de Debrecen se plaignent de n’avoir pas ce faux confort que nous n’avons qu’au pr
14 nfort que nous n’avons qu’au prix de tout ce qu’à Debrecen je viens admirer. On aime les Hongrois comme on aime l’enfance : or l
15 e de maisons basses, les dernières de la ville de Debrecen , au bord de la Grande Plaine encore rougeâtre de soleil couchant. J’y
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
16 que — tu vas l’entendre à toutes les terrasses de Debrecen . Debrecen est une sorte de ville indescriptible, à demi mêlée aux sab
17 as l’entendre à toutes les terrasses de Debrecen. Debrecen est une sorte de ville indescriptible, à demi mêlée aux sables de la
18 e chars à bœufs parmi les trams. Les habitants de Debrecen se plaignent de n’avoir pas ce faux confort que nous n’avons qu’au pr
19 nfort que nous n’avons qu’au prix de tout ce qu’à Debrecen je viens admirer. On aime les Hongrois comme on aime l’enfance : or l
20 e de maisons basses, les dernières de la ville de Debrecen , au bord de la Grande Plaine encore rougeâtre de soleil couchant. J’y