1
que — tu vas l’entendre à toutes les terrasses de
Debrecen
. Debrecen est une sorte de ville indescriptible, à demi mêlée aux sab
2
as l’entendre à toutes les terrasses de Debrecen.
Debrecen
est une sorte de ville indescriptible, à demi mêlée aux sables de la
3
e chars à bœufs parmi les trams. Les habitants de
Debrecen
se plaignent de n’avoir pas ce faux confort que nous n’avons qu’au pr
4
nfort que nous n’avons qu’au prix de tout ce qu’à
Debrecen
je viens admirer. On aime les Hongrois comme on aime l’enfance : or l
5
e de maisons basses, les dernières de la ville de
Debrecen
, au bord de la Grande Plaine encore rougeâtre de soleil couchant. J’y
6
que — tu vas l’entendre à toutes les terrasses de
Debrecen
. Debrecen est une sorte de grande ville indescriptible, à demi mêlée
7
as l’entendre à toutes les terrasses de Debrecen.
Debrecen
est une sorte de grande ville indescriptible, à demi mêlée aux sables
8
e chars à bœufs parmi les trams. Les habitants de
Debrecen
se plaignent de n’avoir pas ce faux confort que nous n’avons qu’au pr
9
nfort que nous n’avons qu’au prix de tout ce qu’à
Debrecen
je viens admirer. On aime les Hongrois comme on aime l’enfance : or l
10
e de maisons basses, les dernières de la ville de
Debrecen
, au bord de la Grande Plaine encore rougeâtre de soleil couchant. J’y
11
que — tu vas l’entendre à toutes les terrasses de
Debrecen
. Debrecen est une sorte de grande ville indescriptible, à demi mêlée
12
as l’entendre à toutes les terrasses de Debrecen.
Debrecen
est une sorte de grande ville indescriptible, à demi mêlée aux sables
13
e chars à bœufs parmi les trams. Les habitants de
Debrecen
se plaignent de n’avoir pas ce faux confort que nous n’avons qu’au pr
14
nfort que nous n’avons qu’au prix de tout ce qu’à
Debrecen
je viens admirer. On aime les Hongrois comme on aime l’enfance : or l
15
e de maisons basses, les dernières de la ville de
Debrecen
, au bord de la Grande Plaine encore rougeâtre de soleil couchant. J’y
16
que — tu vas l’entendre à toutes les terrasses de
Debrecen
. Debrecen est une sorte de ville indescriptible, à demi mêlée aux sab
17
as l’entendre à toutes les terrasses de Debrecen.
Debrecen
est une sorte de ville indescriptible, à demi mêlée aux sables de la
18
e chars à bœufs parmi les trams. Les habitants de
Debrecen
se plaignent de n’avoir pas ce faux confort que nous n’avons qu’au pr
19
nfort que nous n’avons qu’au prix de tout ce qu’à
Debrecen
je viens admirer. On aime les Hongrois comme on aime l’enfance : or l
20
e de maisons basses, les dernières de la ville de
Debrecen
, au bord de la Grande Plaine encore rougeâtre de soleil couchant. J’y