1 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe est d’abord une culture (30 juin 1962)
1 ries ». (Par malheur, l’auteur de ce mot d’ordre, M. Debré , ne pensait qu’à l’Europe des États, qui est tout à fait autre chose.
2 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
2 s comme Mendès-France, Pleven, Giscard d’Estaing, Debré . Au-delà de ce considérable effort d’imagination passionnée, de reche
3 1968, Articles divers (1963-1969). De l’État-nation aux régions fédérées (1968)
3 es hommes politiques comme Mendès-France, Pleven, Debré . Parmi les titres caractéristiques, je citerai : Décoloniser la provi
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte, suite et fin
4 thèses fort précises et bien propres à choquer le Debré qui sommeille en chaque citoyen : on vous demandait si vous accepteri
5 et d’abord le Premier. Contre ? Duclos, Sartre, Debré , le fond des provinces poujadistes, les vieilles châtelaines anglopho
6 à cause de l’État-nation, que défend Duclos comme Debré , et sur lequel Sartre est muet. Si l’on entend tenir compte des condi
5 1971, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Dépolitiser la politique (printemps 1971)
7 l’indépendance nationale » avec autant de feu que Debré . Et si la « Diane française » d’Aragon reste moins efficace que Dérou
6 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Les grandes béances de l’histoire (printemps 1974)
8 une souveraineté ni un fief, ni un État.) À quoi M. Michel Debré fait écho quelques jours plus tard en déclarant : Briser les nations
7 1974, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). La révolte des régions : l’État-nation contre l’Europe (mars 1974)
9 ir sur un système médiéval… », déclare à son tour M. Michel Debré . Ceux qui parlent de régions sont « des imbéciles ignorant l’histoire
8 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — L’autogestion politique
10 t-neuf en 1976. Quant au Moyen Âge, MM. Pompidou, Debré et Marchais s’imaginent qu’il suffit d’évoquer son spectre hideux pou
9 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
11 tir l’avenir sur un système médiéval », renchérit M. Michel Debré . Quant au secrétaire général du parti gaulliste il traite « d’imbécil
12 rent-ils le cauchemar ? 188. Selon les termes de M. Debré , alors ministre de la Guerre, lors d’une interview télévisée. Les deu
10 1978, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (hiver 1978)
13 d, mais aussi l’Europe des régions vilipendée par M. Debré , cependant que J. Chirac départageait… Oui, « pour parler d’Europe,
14 Mitterrand, entre ces deux-là et Marchais, entre Debré et Giscard, ou Lecanuet et Chirac, l’Europe ne serait même pas mentio
15 i va traiter des vrais problèmes ? S’avance alors M. Michel Debré . III. Sur un « livre infâme » Depuis trente ans, M. Debré a bea
16 II. Sur un « livre infâme » Depuis trente ans, M. Debré a beaucoup parlé de l’Europe, il a même écrit un ouvrage proposant de
17 sa vraie nature de « complot contre la France ». M. Debré est fermement persuadé que les fédéralistes européens ne pensent qu’à
18 sérieux les propos de l’ancien Premier ministre.) M. Debré poursuit : « Son dernier livre est dédicacé (sic) à tous les peuples
19 plus, comme tout serait simple ! » On notera que M. Debré n’a pas cité le titre du livre qu’il se borne à désigner comme mon « 
20 ignifiant ». Mais il est clair qu’il y avait chez Debré tout autre chose que l’intention d’insulter un auteur mal pensant : c
21 nts) la Bretagne, l’Occitanie, la Provence, etc., Debré et ses amis s’imaginent, c’est normal, que l’Europe va faire de même
22 29. 14. Nous citons ici les notes du discours de M. Debré , distribuées aux journalistes lors du congrès du RPR à Paris, le 12 n
11 1979, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Le fédéralisme helvétique dans l’Europe d’aujourd’hui (24-25 juin 1979)
23 de droite, qui s’imaginent, comme MM. Marchais et Debré , que le fédéralisme interne conduirait au séparatisme, tandis que la
12 1979, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (printemps 1979)
24 orges Pompidou à Jacques Chirac et de Lipkowski à Debré , ils n’ont cessé de clamer, depuis dix ans, leur rejet indigné des ré
25 e que les principaux ténors de la doctrine — dont M. Debré est le plus souvent et le plus volontiers cité par Jouve — n’ont cess
13 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Introduction
26 nde » (ex-président du Conseil Édouard Daladier). Debré et Marchais dénoncent aujourd’hui le « danger politique de l’axe Pari
14 1982, Articles divers (1982-1985). La peur d’être libre… (printemps-été 1982)
27 nçais moyen, mais qui n’en a aucune idée exacte : Debré a traité mon livre de « livre infâme » ! Pour conclure, je vais vous
15 1984, Cadmos, articles (1978–1986). L’État-nation contre l’Europe : Notes pour une histoire des concepts (printemps 1984)
28  ». On croirait entendre Marchais… ou Chirac ; ou Debré … aujourd’hui78. Le terme de « Souveraineté » évoquait sous l’Ancien R
29 ies. » (Discours de Bourges, 8 mai 1979). Le même Debré écrit encore : « Ou bien la nation française existe une et souveraine
16 1988, Inédits (extraits de cours). État-nation
30 er à la télévision française en décembre 1966 par M. Michel Debré . À une question d’un journaliste qui lui demandait pourquoi il s’étai
31 imple province ». Si nous commentons la phrase de Debré , ceci revient à dire que des nationalistes de son type d’esprit redou