1
d’un brasier. Pour les causes de l’incendie, voir
Dostoïevski
. M. Walpole, lui, commence son roman quelques mois avant que n’éclate
2
à laquelle on ne peut trouver d’analogie que chez
Dostoïevski
. Kierkegaard d’ailleurs ne peut être placé qu’à côté du poète russe.
3
ce souveraine. C’est cela qui donne aux romans de
Dostoïevski
ou d’Émily Brontë ces prolongements poétiques, ces perspectives boule
4
de correction, dans les démarches de l’esprit. Et
Dostoïevski
, dont on peut dire qu’il pensait par péchés et remords. Ainsi pensère
5
aux anarchistes, koulaks, admirateurs attardés de
Dostoïevski
, petites « personnalités », rouspéteurs et autres surréalistes, empêc
6
te descente aux enfers de notre âme fait songer à
Dostoïevski
. Dans La Répétition 4, on trouvera confondus le poète, le philosophe,
7
avoir abolies dans le monde. C’est l’irruption de
Dostoïevski
dans la bourgeoisie bien-pensante. Le pittoresque, le pathétique de l
8
tienne. ⁂ On a comparé Kierkegaard à Nietzsche, à
Dostoïevski
, à Pascal. Lui-même ne s’est jamais comparé qu’aux grands modèles apo
9
se, auquel on ne peut trouver d’analogie que chez
Dostoïevski
. Kierkegaard, d’ailleurs, ne peut être placé qu’à côté du poète russe
10
un jugement de l’homme ; ainsi Pascal, Nietzsche,
Dostoïevski
. On pourrait en citer quelques autres. Qu’ont-ils donc de commun, gén
11
i ressemble peut-être à la pitié énigmatique d’un
Dostoïevski
. Ici tout le visage de Kierkegaard se recompose. Et l’on voit que son
12
s démontrer, ce qui n’est pas trop difficile, que
Dostoïevski
et Tolstoï sont plus protestants qu’on ne croit. Le reste est évident
14
sur le secret dernier du message d’un romancier :
Dostoïevski
. Prenons-y garde, une nouvelle constellation monte au zénith de notre
15
n par l’Autre, n’est-ce point encore la vision de
Dostoïevski
? Ses héros ne viennent-ils pas à nous comme de grands questionneurs,
16
arle Édouard Thurneysen dans son essai intitulé :
Dostoïevski
ou les confins de l’homme. Le grand succès qu’a remporté ce petit liv
17
us nettement encore que Berdiaev dans L’Esprit de
Dostoïevski
, le professeur de Bâle a su l’envisager dans une perspective chrétien
18
aotique, morbide. Ce que nous avons cherché dans
Dostoïevski
, c’est la réponse à cette question : qu’est-ce qu’un homme ? Et cette
19
de sa vie, la question de Dieu. Tous les héros de
Dostoïevski
apparaissent malades, comme blessés d’une atteinte profonde, portant
20
e qu’il fallait entendre par le protestantisme de
Dostoïevski
. Je ne saurais mieux répondre qu’en renvoyant au livre de M. Thurneys
21
que » de l’homme illustrée par les personnages de
Dostoïevski
, commentée sur le plan théologique par Karl Barth, et sur le plan d’u
22
h, traduit par P. Maury (Éditions « Je sers »). –
Dostoïevski
ou les confins de l’homme, par Édouard Thurneysen, traduit par P. Mau
23
Maury (Éditions « Je sers »). i. « Kierkegaard,
Dostoïevski
, Barth », Les Nouvelles littéraires, Paris, n° 645, 23 février 1935,
24
. À preuve Balzac, Stendhal, Baudelaire, Rimbaud,
Dostoïevski
, Nietzsche, Rilke, Hamsun. Quant à Victor Hugo et à Tolstoï, qui para
25
ne saurait être comparée qu’à celle de Pascal, de
Dostoïevski
et de Nietzsche. Aujourd’hui Kierkegaard est cité par tout le monde.
26
es poètes, Kierkegaard, Schopenhauer, Baudelaire,
Dostoïevski
, Rimbaud et Nietzsche… Si nous disons qu’ils furent les plus grands d
27
udra plus les confondre. Il y a Pascal et Goethe,
Dostoïevski
et Kierkegaard, — il y a aussi les fins lettrés, les bons esprits, le
28
es poètes, Kierkegaard, Schopenhauer, Baudelaire,
Dostoïevski
, Rimbaud et Nietzsche… Si nous disons qu’ils furent les plus grands d
29
udra plus les confondre. Il y a Pascal et Goethe,
Dostoïevski
et Kierkegaard, — il y a aussi les fins lettrés, les bons esprits, le
30
Il me semble que seuls les romanciers chrétiens —
Dostoïevski
, Lagerlöf ou Ramuz — ont su prendre la vie des hommes « quelconques »
31
’un affranchissement qui consiste à « expliquer »
Dostoïevski
par le haut mal, et Nietzsche par la syphilis. Curieuse manière de li
32
’un affranchissement qui consiste à « expliquer »
Dostoïevski
par le haut mal, et Nietzsche par la syphilis. Curieuse manière de li
33
’un affranchissement qui consiste à « expliquer »
Dostoïevski
par le haut mal, et Nietzsche par la syphilis. Curieuse manière de li
34
tienne. ⁂ On a comparé Kierkegaard à Nietzsche, à
Dostoïevski
, à Pascal. Lui-même ne s’est jamais comparé qu’aux grands modèles apo
35
se, auquel on ne peut trouver d’analogie que chez
Dostoïevski
. Kierkegaard, d’ailleurs, ne peut être placé qu’à côté du poète russe
36
; concession, la pitié parfois presque sadique de
Dostoïevski
. Oui, même ceux-là. Même ces deux-là qui sont allés si loin dans la p
37
un jugement de l’homme ; ainsi Pascal, Nietzsche,
Dostoïevski
. On pourrait en citer quelques autres. Qu’ont-ils donc de commun, gén
38
i ressemble peut-être à la pitié énigmatique d’un
Dostoïevski
. Ici tout le visage de Kierkegaard se recompose. Et l’on voit que son
39
udra plus les confondre. Il y a Pascal et Goethe,
Dostoïevski
et Kierkegaard, — il y a aussi les fins lettrés, les bons esprits, le
40
phie existentielle dans la lignée de Kierkegaard,
Dostoïevski
, Karl Barth et Martin Heidegger, non sans références à Calvin pour la
41
Il me semble que seuls les romanciers chrétiens —
Dostoïevski
, Lagerlöf ou Ramuz — ont su prendre la vie des hommes « quelconques »
42
ns, le succès en Europe occidentale de Tolstoï et
Dostoïevsky
devrait être mis au crédit des sombres desseins du tsarisme ? Et, de
43
le, quand je l’interroge sur ses maîtres, me cite
Dostoïevsky
, Flaubert et Kierkegaard, là où un jeune Français citerait sans doute
44
hui, ne se pose pas. Que nous le voulions ou non,
Dostoïevski
ou non, il nous faut faire l’Europe sans la Russie, sans cette Byzanc
45
s européennes, de noms plus européens que ceux de
Dostoïevski
et de Tolstoï, et l’esprit dans lequel un Tourgueniev ou un Tchékhov
46
y évade d’elle-même, c’est qu’elle s’y retrouve.
Dostoïevski
: « Nous autres Russes avons deux patries, l’Europe et notre Russie.
47
éveloppées par l’Europe. » Sa dernière espérance,
Dostoïevski
(Journal d’un écrivain) la place dans un messianisme russe, « mais qu
48
ent exercée par des bureaucrates, si elle conduit
Dostoïevski
en Sibérie, Tchaadaïev dans un asile de fous, et les penseurs politiq
49
alités révolutionnaires. Tourguéniev, Gontcharov,
Dostoïevski
, Tolstoï n’ont pas échappé à la vigilance de cette seconde censure ;
50
ion de l’œuvre de Gogol, de Tolstoï et surtout de
Dostoïevski
, qui en révèle pour la première fois la signification et la portée »,
51
nt général de l’horizon… Le temps était venu où
Dostoïevski
et Tolstoï, Tourguéniev et Tchékhov allaient jouer un rôle actif dans
52
tes avec mépris. Mais idée russe aussi : Tolstoï,
Dostoïevski
(qu’on republie précisément en URSS) l’auraient sans doute comprise e
53
es, comme pour Musset et Maupassant, Edgar Poe et
Dostoïevski
, et autres névrosés professionnels, le Double est synonyme de reflet
54
ue de la vie. 72. Silone : Le Pain et le vin. 73.
Dostoïevski
: L’Idiot. 74. — Les Frères Karamazov. 75. Kierkegaard : Post-scriptu
55
es de Nietzsche, de Rimbaud, de Kierkegaard et de
Dostoïevski
. Il est remarquable que ce siècle n’ait retenu du précédent que les g
56
t leur Dieu. Nietzsche au seuil du délire mental,
Dostoïevski
devant la potence, au petit matin sibérien. C’est devant une autre tr
57
sie en est capable. Et c’est aussi ce que pensera
Dostoïevski
, et ce qu’il exprimera cent fois dans son Journal d’un écrivain, gaze
58
rs sur l’Europe : de Kierkegaard à Nietzsche et à
Dostoïevski
, de Tocqueville à Jacob Burckhardt, de Donoso Cortés à Georges Sorel,
59
derlin et Keats, Mozart et Rubens, Shakespeare et
Dostoïevski
seraient impensables en tant que Suisses. Une certaine démesure, un g
60
ur en venir à citer longuement le témoin capital,
Dostoïevski
. A. Opinions européennes sur la Russie, de Voltaire à Karl Marx
61
ler que par son propre nom : Civilisation. C.
Dostoïevski
et la mission de la Russie Toutes ces contradictions, apparentes o
62
tourmentées comme ses nuages, dans les œuvres de
Dostoïevski
. À la question de savoir si la Russie appartient ou non à l’Europe, p
63
uropéens, non pas Staline, seraient responsables.
Dostoïevski
ne ferait-il pas partie du trésor culturel de l’Europe ? Voyons ce qu
64
oici quelques brefs extraits. L’idée constante de
Dostoïevski
est celle de la mission de l’orthodoxie, en laquelle seule …la face
65
féliciter d’être tout à fait des Européens !235
Dostoïevski
pense d’ailleurs que la Russie, tout en n’étant pas d’Europe sera bie
66
uropéens s’obstinent à nier. Cette dualité, selon
Dostoïevski
, ne s’effacera qu’au jour où l’humanité tout entière sera réunie dans
67
mble bien qu’ils s’acheminent »… Dans ses romans,
Dostoïevski
reprend ces mêmes « idées » — ou plutôt prophéties — mais les expose
68
rages — contemporains du Journal d’un écrivain de
Dostoïevski
! — sont à la gloire de la civilisation et du génie chrétien de l’Eur
69
de cette évolution, Jacob Burckhardt, mais aussi
Dostoïevski
, Ernest Renan mais aussi Nietzsche, prédisent le pire. Nietzsche écri
70
ent la place de l’inquiétude métaphysique chez un
Dostoïevski
et un Kafka ou de l’arrière-plan de compétition sociale chez un Balza
71
es de Nietzsche, de Rimbaud, de Kierkegaard et de
Dostoïevski
. Il est remarquable que ce siècle n’ait retenu du précédent que les g
72
erlin ou Racine, Mozart ou Rubens, Shakespeare ou
Dostoïevski
seraient impensables en tant que Suisses. Une certaine démesure, un g
73
erlin ou Racine, Mozart ou Rubens, Shakespeare ou
Dostoïevski
seraient impensables en tant que Suisses. Une certaine démesure, un g
74
is des manifestes politiques : ainsi Lénine. Mais
Dostoïevski
l’a détestée : « Tout ici est hideux, putréfié, hors de prix. » En 18
75
ent la place de l’inquiétude métaphysique chez un
Dostoïevski
ou un Kafka, des passions dévastatrices chez les Brontë et chez Thoma
76
rs sur l’Europe : de Kierkegaard à Nietzsche et à
Dostoïevski
, de Tocqueville à Jacob Burckhardt et de Donoso Cortès à Georges Sore
77
raiment grands : Kierkegaard, Nietzsche, Rimbaud,
Dostoïevski
. Quant à la philosophie, de Bergson aux divers existentialismes chrét
78
rs sur l’Europe : de Kierkegaard à Nietzsche et à
Dostoïevski
, de Tocqueville à Jacob Burckhardt et de Donoso Cortés à Georges Sore
79
raiment grands : Kierkegaard, Nietzsche, Rimbaud,
Dostoïevski
, auxquels on peut ajouter Hölderlin, Baudelaire et Leopardi chez les
80
tsyne, dans la descendance du plus grand de tous,
Dostoïevski
. 3. Quant au prophète, que certains nomment l’utopiste, c’est toute l
81
bjurgations des Pascal, Kierkegaard, Nietzsche et
Dostoïevski
. Mais pourrons-nous longtemps encore ignorer la question en la réputa
82
oudhon, de Jacob Burckhardt, d’Ernest Renan et de
Dostoïevski
donnent une juste idée de la profondeur et de l’universalité de l’idé
83
oudhon, de Jacob Burckhardt, d’Ernest Renan et de
Dostoïevski
donnent une juste idée de la profondeur et de l’universalité de l’idé
84
moindre allusion. Je ne sais pas s’il a jamais lu
Dostoïevski
, j’en doute parfois. La source slave, à partir du xixe , a été consid
85
derlin ou Dante, Mozart ou Rubens, Shakespeare ou
Dostoïevski
ne seraient guère pensables en tant que Suisses. Une certaine démesur
86
sses aussi avec leurs grands romanciers, Tolstoï,
Dostoïevski
, et leurs grands musiciens. Il y a toute une évolution qui est commu
87
x hommes qu’il devait absolument lire, l’un était
Dostoïevski
, l’autre Kierkegaard. Que serait-il arrivé si Nietzsche n’était pas d