1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hugh Walpole, La Cité secrète (décembre 1925)
1 d’un brasier. Pour les causes de l’incendie, voir Dostoïevski . M. Walpole, lui, commence son roman quelques mois avant que n’éclate
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
2 à laquelle on ne peut trouver d’analogie que chez Dostoïevski . Kierkegaard d’ailleurs ne peut être placé qu’à côté du poète russe.
3 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
3 ce souveraine. C’est cela qui donne aux romans de Dostoïevski ou d’Émily Brontë ces prolongements poétiques, ces perspectives boule
4 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
4 de correction, dans les démarches de l’esprit. Et Dostoïevski , dont on peut dire qu’il pensait par péchés et remords. Ainsi pensère
5 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Deuxième Jour de la Création, par Ilya Ehrenbourg (décembre 1933)
5 aux anarchistes, koulaks, admirateurs attardés de Dostoïevski , petites « personnalités », rouspéteurs et autres surréalistes, empêc
6 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
6 te descente aux enfers de notre âme fait songer à Dostoïevski . Dans La Répétition 4, on trouvera confondus le poète, le philosophe,
7 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
7 avoir abolies dans le monde. C’est l’irruption de Dostoïevski dans la bourgeoisie bien-pensante. Le pittoresque, le pathétique de l
8 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
8 tienne. ⁂ On a comparé Kierkegaard à Nietzsche, à Dostoïevski , à Pascal. Lui-même ne s’est jamais comparé qu’aux grands modèles apo
9 se, auquel on ne peut trouver d’analogie que chez Dostoïevski . Kierkegaard, d’ailleurs, ne peut être placé qu’à côté du poète russe
9 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
10 un jugement de l’homme ; ainsi Pascal, Nietzsche, Dostoïevski . On pourrait en citer quelques autres. Qu’ont-ils donc de commun, gén
11 i ressemble peut-être à la pitié énigmatique d’un Dostoïevski . Ici tout le visage de Kierkegaard se recompose. Et l’on voit que son
10 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
12 s démontrer, ce qui n’est pas trop difficile, que Dostoïevski et Tolstoï sont plus protestants qu’on ne croit. Le reste est évident
11 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
13 Kierkegaard, Dostoïevski , Barth (23 février 1935)i Voici trois petits livres qui nous vienn
14 sur le secret dernier du message d’un romancier : Dostoïevski . Prenons-y garde, une nouvelle constellation monte au zénith de notre
15 n par l’Autre, n’est-ce point encore la vision de Dostoïevski  ? Ses héros ne viennent-ils pas à nous comme de grands questionneurs,
16 arle Édouard Thurneysen dans son essai intitulé : Dostoïevski ou les confins de l’homme. Le grand succès qu’a remporté ce petit liv
17 us nettement encore que Berdiaev dans L’Esprit de Dostoïevski , le professeur de Bâle a su l’envisager dans une perspective chrétien
18 aotique, morbide. Ce que nous avons cherché dans Dostoïevski , c’est la réponse à cette question : qu’est-ce qu’un homme ? Et cette
19 de sa vie, la question de Dieu. Tous les héros de Dostoïevski  apparaissent malades, comme blessés d’une atteinte profonde, portant
20 e qu’il fallait entendre par le protestantisme de Dostoïevski . Je ne saurais mieux répondre qu’en renvoyant au livre de M. Thurneys
21 que » de l’homme illustrée par les personnages de Dostoïevski , commentée sur le plan théologique par Karl Barth, et sur le plan d’u
22 h, traduit par P. Maury (Éditions « Je sers »). –  Dostoïevski ou les confins de l’homme, par Édouard Thurneysen, traduit par P. Mau
23 Maury (Éditions « Je sers »). i. « Kierkegaard, Dostoïevski , Barth », Les Nouvelles littéraires, Paris, n° 645, 23 février 1935,
12 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Précisions utiles sur l’industrie des navets (mars 1936)
24 . À preuve Balzac, Stendhal, Baudelaire, Rimbaud, Dostoïevski , Nietzsche, Rilke, Hamsun. Quant à Victor Hugo et à Tolstoï, qui para
13 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
25 ne saurait être comparée qu’à celle de Pascal, de Dostoïevski et de Nietzsche. Aujourd’hui Kierkegaard est cité par tout le monde.
14 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Tentatives de restauration d’une commune mesure
26 es poètes, Kierkegaard, Schopenhauer, Baudelaire, Dostoïevski , Rimbaud et Nietzsche… Si nous disons qu’ils furent les plus grands d
15 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
27 udra plus les confondre. Il y a Pascal et Goethe, Dostoïevski et Kierkegaard, — il y a aussi les fins lettrés, les bons esprits, le
16 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Tentatives de restauration d’une commune mesure
28 es poètes, Kierkegaard, Schopenhauer, Baudelaire, Dostoïevski , Rimbaud et Nietzsche… Si nous disons qu’ils furent les plus grands d
17 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
29 udra plus les confondre. Il y a Pascal et Goethe, Dostoïevski et Kierkegaard, — il y a aussi les fins lettrés, les bons esprits, le
18 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
30 Il me semble que seuls les romanciers chrétiens —  Dostoïevski , Lagerlöf ou Ramuz — ont su prendre la vie des hommes « quelconques »
19 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
31 ’un affranchissement qui consiste à « expliquer » Dostoïevski par le haut mal, et Nietzsche par la syphilis. Curieuse manière de li
20 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
32 ’un affranchissement qui consiste à « expliquer » Dostoïevski par le haut mal, et Nietzsche par la syphilis. Curieuse manière de li
21 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
33 ’un affranchissement qui consiste à « expliquer » Dostoïevski par le haut mal, et Nietzsche par la syphilis. Curieuse manière de li
22 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
34 tienne. ⁂ On a comparé Kierkegaard à Nietzsche, à Dostoïevski , à Pascal. Lui-même ne s’est jamais comparé qu’aux grands modèles apo
35 se, auquel on ne peut trouver d’analogie que chez Dostoïevski . Kierkegaard, d’ailleurs, ne peut être placé qu’à côté du poète russe
36 ; concession, la pitié parfois presque sadique de Dostoïevski . Oui, même ceux-là. Même ces deux-là qui sont allés si loin dans la p
37 un jugement de l’homme ; ainsi Pascal, Nietzsche, Dostoïevski . On pourrait en citer quelques autres. Qu’ont-ils donc de commun, gén
38 i ressemble peut-être à la pitié énigmatique d’un Dostoïevski . Ici tout le visage de Kierkegaard se recompose. Et l’on voit que son
23 1946, Articles divers (1941-1946). Penser avec les mains (janvier 1946)
39 udra plus les confondre. Il y a Pascal et Goethe, Dostoïevski et Kierkegaard, — il y a aussi les fins lettrés, les bons esprits, le
24 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
40 phie existentielle dans la lignée de Kierkegaard, Dostoïevski , Karl Barth et Martin Heidegger, non sans références à Calvin pour la
25 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
41 Il me semble que seuls les romanciers chrétiens —  Dostoïevski , Lagerlöf ou Ramuz — ont su prendre la vie des hommes « quelconques »
26 1947, Articles divers (1946-1948). La balance n’est pas égale entre les États-Unis et l’URSS (8 novembre 1947)
42 ns, le succès en Europe occidentale de Tolstoï et Dostoïevsky devrait être mis au crédit des sombres desseins du tsarisme ? Et, de
27 1947, Articles divers (1946-1948). Préface à Le Cœur est un chasseur solitaire de Carson McCullers (1947)
43 le, quand je l’interroge sur ses maîtres, me cite Dostoïevsky , Flaubert et Kierkegaard, là où un jeune Français citerait sans doute
28 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
44 hui, ne se pose pas. Que nous le voulions ou non, Dostoïevski ou non, il nous faut faire l’Europe sans la Russie, sans cette Byzanc
29 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
45 s européennes, de noms plus européens que ceux de Dostoïevski et de Tolstoï, et l’esprit dans lequel un Tourgueniev ou un Tchékhov
46 y évade d’elle-même, c’est qu’elle s’y retrouve. Dostoïevski  : « Nous autres Russes avons deux patries, l’Europe et notre Russie. 
47 éveloppées par l’Europe. » Sa dernière espérance, Dostoïevski (Journal d’un écrivain) la place dans un messianisme russe, « mais qu
48 ent exercée par des bureaucrates, si elle conduit Dostoïevski en Sibérie, Tchaadaïev dans un asile de fous, et les penseurs politiq
49 alités révolutionnaires. Tourguéniev, Gontcharov, Dostoïevski , Tolstoï n’ont pas échappé à la vigilance de cette seconde censure ;
50 ion de l’œuvre de Gogol, de Tolstoï et surtout de Dostoïevski , qui en révèle pour la première fois la signification et la portée »,
51 nt général de l’horizon… Le temps était venu où Dostoïevski et Tolstoï, Tourguéniev et Tchékhov allaient jouer un rôle actif dans
30 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
52 tes avec mépris. Mais idée russe aussi : Tolstoï, Dostoïevski (qu’on republie précisément en URSS) l’auraient sans doute comprise e
31 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur le rêve des sciences (décembre 1956)
53 es, comme pour Musset et Maupassant, Edgar Poe et Dostoïevski , et autres névrosés professionnels, le Double est synonyme de reflet
32 1956, Articles divers (1951-1956). Réponse à l’enquête « Pour une bibliothèque idéale » (1956)
54 ue de la vie. 72. Silone : Le Pain et le vin. 73. Dostoïevski  : L’Idiot. 74. — Les Frères Karamazov. 75. Kierkegaard : Post-scriptu
33 1957, Articles divers (1957-1962). La fin du pessimisme (juin 1957)
55 es de Nietzsche, de Rimbaud, de Kierkegaard et de Dostoïevski . Il est remarquable que ce siècle n’ait retenu du précédent que les g
34 1958, Journal de Genève, articles (1926–1982). Hommage à Pasternak (31 octobre 1958)
56 t leur Dieu. Nietzsche au seuil du délire mental, Dostoïevski devant la potence, au petit matin sibérien. C’est devant une autre tr
35 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
57 sie en est capable. Et c’est aussi ce que pensera Dostoïevski , et ce qu’il exprimera cent fois dans son Journal d’un écrivain, gaze
36 1960, Articles divers (1957-1962). Éclipse ou disparition d’une civilisation ? (1960)
58 rs sur l’Europe : de Kierkegaard à Nietzsche et à Dostoïevski , de Tocqueville à Jacob Burckhardt, de Donoso Cortés à Georges Sorel,
37 1961, Articles divers (1957-1962). Nos meilleurs esprits (1961)
59 derlin et Keats, Mozart et Rubens, Shakespeare et Dostoïevski seraient impensables en tant que Suisses. Une certaine démesure, un g
38 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
60 ur en venir à citer longuement le témoin capital, Dostoïevski . A. Opinions européennes sur la Russie, de Voltaire à Karl Marx
61 ler que par son propre nom : Civilisation. C. Dostoïevski et la mission de la Russie Toutes ces contradictions, apparentes o
62 tourmentées comme ses nuages, dans les œuvres de Dostoïevski . À la question de savoir si la Russie appartient ou non à l’Europe, p
63 uropéens, non pas Staline, seraient responsables. Dostoïevski ne ferait-il pas partie du trésor culturel de l’Europe ? Voyons ce qu
64 oici quelques brefs extraits. L’idée constante de Dostoïevski est celle de la mission de l’orthodoxie, en laquelle seule …la face
65 féliciter d’être tout à fait des Européens !235 Dostoïevski pense d’ailleurs que la Russie, tout en n’étant pas d’Europe sera bie
66 uropéens s’obstinent à nier. Cette dualité, selon Dostoïevski , ne s’effacera qu’au jour où l’humanité tout entière sera réunie dans
67 mble bien qu’ils s’acheminent »… Dans ses romans, Dostoïevski reprend ces mêmes « idées » — ou plutôt prophéties — mais les expose
39 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
68 rages — contemporains du Journal d’un écrivain de Dostoïevski  ! — sont à la gloire de la civilisation et du génie chrétien de l’Eur
40 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
69 de cette évolution, Jacob Burckhardt, mais aussi Dostoïevski , Ernest Renan mais aussi Nietzsche, prédisent le pire. Nietzsche écri
41 1963, Articles divers (1963-1969). Apport à la civilisation occidentale (janvier 1963)
70 ent la place de l’inquiétude métaphysique chez un Dostoïevski et un Kafka ou de l’arrière-plan de compétition sociale chez un Balza
42 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
71 es de Nietzsche, de Rimbaud, de Kierkegaard et de Dostoïevski . Il est remarquable que ce siècle n’ait retenu du précédent que les g
43 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
72 erlin ou Racine, Mozart ou Rubens, Shakespeare ou Dostoïevski seraient impensables en tant que Suisses. Une certaine démesure, un g
44 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
73 erlin ou Racine, Mozart ou Rubens, Shakespeare ou Dostoïevski seraient impensables en tant que Suisses. Une certaine démesure, un g
74 is des manifestes politiques : ainsi Lénine. Mais Dostoïevski l’a détestée : « Tout ici est hideux, putréfié, hors de prix. » En 18
75 ent la place de l’inquiétude métaphysique chez un Dostoïevski ou un Kafka, des passions dévastatrices chez les Brontë et chez Thoma
45 1970, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les prophètes de la décadence (24 septembre 1970)
76 rs sur l’Europe : de Kierkegaard à Nietzsche et à Dostoïevski , de Tocqueville à Jacob Burckhardt et de Donoso Cortès à Georges Sore
46 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — L’Europe contestée par elle-même
77 raiment grands : Kierkegaard, Nietzsche, Rimbaud, Dostoïevski . Quant à la philosophie, de Bergson aux divers existentialismes chrét
47 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
78 rs sur l’Europe : de Kierkegaard à Nietzsche et à Dostoïevski , de Tocqueville à Jacob Burckhardt et de Donoso Cortés à Georges Sore
48 1973, Responsabilité de l’écrivain dans la société européenne d’aujourd’hui (1973). Quelques exemples d’engagements, du Moyen Âge jusqu’à nous
79 raiment grands : Kierkegaard, Nietzsche, Rimbaud, Dostoïevski , auxquels on peut ajouter Hölderlin, Baudelaire et Leopardi chez les
49 1973, Responsabilité de l’écrivain dans la société européenne d’aujourd’hui (1973). Le ludion, le contestataire et le prophète
80 tsyne, dans la descendance du plus grand de tous, Dostoïevski . 3. Quant au prophète, que certains nomment l’utopiste, c’est toute l
50 1977, L’Avenir est notre affaire. Introduction. Crise de l’avenir
81 bjurgations des Pascal, Kierkegaard, Nietzsche et Dostoïevski . Mais pourrons-nous longtemps encore ignorer la question en la réputa
51 1979, Cadmos, articles (1978–1986). L’Europe comme invention de la culture (automne 1979)
82 oudhon, de Jacob Burckhardt, d’Ernest Renan et de Dostoïevski donnent une juste idée de la profondeur et de l’universalité de l’idé
52 1980, Articles divers (1978-1981). L’Europe, invention culturelle (1980)
83 oudhon, de Jacob Burckhardt, d’Ernest Renan et de Dostoïevski donnent une juste idée de la profondeur et de l’universalité de l’idé
53 1984, Cadmos, articles (1978–1986). Conclusions (été-automne 1984)
84 moindre allusion. Je ne sais pas s’il a jamais lu Dostoïevski , j’en doute parfois. La source slave, à partir du xixe , a été consid
54 1985, Articles divers (1982-1985). Vocation culturelle de la Suisse en Europe (septembre 1985)
85 derlin ou Dante, Mozart ou Rubens, Shakespeare ou Dostoïevski ne seraient guère pensables en tant que Suisses. Une certaine démesur
55 1986, Cadmos, articles (1978–1986). Denis de Rougemont tel qu’en lui-même… [Entretien] (printemps 1986)
86 sses aussi avec leurs grands romanciers, Tolstoï, Dostoïevski , et leurs grands musiciens. Il y a toute une évolution qui est commu
56 1986, Articles divers (1982-1985). Interview avec Denis de Rougemont (1986)
87 x hommes qu’il devait absolument lire, l’un était Dostoïevski , l’autre Kierkegaard. Que serait-il arrivé si Nietzsche n’était pas d