1 insi K. bat sa coulpe sur les joues de Thorez, de Duclos et de Togliatti. Le bon vieux drill fait place à la brimade directe,

2 ur les mêmes motifs. Que dis-je ! les Thorez, les Duclos , rédigeant leurs résolutions, ils m’ont l’air encore plus menteurs en

3 ne pouvaient l’être davantage ? Isorni, Mendès et Duclos n’ont pas les mêmes idées sur la démocratie et ne poursuivent pas les

4 rition des spécificités. » 27. H. Brugmans et P. Duclos , Le Fédéralisme contemporain, Paris, 1963, p. 151. i. « L’avenir du

5 s comme les ordinateurs. 40. H. Brugmans et P. Duclos , Le Fédéralisme contemporain, Paris, 1963, p. 151. t. « Pour une déf

6 ition des spécificités. » 22. H. Brugmans et P. Duclos , Le Fédéralisme contemporain, Paris, 1963, p. l51. a. Nous corrigeon

7 lques ministres, et d’abord le Premier. Contre ? Duclos , Sartre, Debré, le fond des provinces poujadistes, les vieilles châte

8 ondu : c’est à cause de l’État-nation, que défend Duclos comme Debré, et sur lequel Sartre est muet. Si l’on entend tenir comp

9 culture en décembre 1964. 4. H. Brugmans et P. Duclos , Le Fédéralisme contemporain, Paris, 1963, p. 151.

10 sacré « Qu’un sang impur abreuve nos sillons ! » Duclos , Séguy et le PC français se font « champions de l’indépendance nation