1 1947, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (5 décembre 1947)
1 Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (5 décembre 1947)g Voici le raisonnement qu’a
2 onnement qu’a tenu devant la cour le bouillant Me Duperrier  : — Rougemont s’est mis au service d’une propagande étrangère, comme
3 d’un lion du désert, et Malherbe d’avoir consolé Duperrier — celui qui a perdu son procès. La seule question sérieuse qui se pos
4 xactement le contraire d’Oltramare à Paris. Si Me Duperrier ne sent pas la différence, essayons de l’éclairer par une fable. Supp
5 fait emprisonner, puis juger sommairement, et Me Duperrier se voit chargé d’office de ma défense. Que va-t-il dire ? Il n’hésite
6 ille et on le pend d’office. Fin de la douleur de Duperrier . Mais voilà !… les Américains ont gagné la guerre. La Suisse subsiste
7 sclaves honteux de vivre. g. « Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu », Gazette de Lausanne, Lausanne, n° 287, 5 décem
8 de singulière manière au procès Oltramare par Me Duperrier , Denis de Rougemont répond sur le ton de la plaisanterie dans le dern
2 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (décembre 1947)
9 Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (décembre 1947)j Ta douleur, du Périer, sera
10 comptes rendus de la plaidoirie prononcée par Me Duperrier lors du procès de son client Georges Oltramare. Ainsi dans la Gazett
11 te de Lausanne  : Un rapprochement surprenant Me Duperrier , brandissant le livre de Denis de Rougemont, Journal des deux mondes
12 ai l’honneur, M. le procureur général, s’écrie Me Duperrier , de me faire ici le dénonciateur de Denis de Rougemont. et dans la F
13 érisme ». Qui croire ? Ainsi donc, selon Me Duperrier , j’ai passé le temps de la guerre à « mettre en danger la sécurité de
14 nt mal, qui devons-nous croire ? Remarquez que Me Duperrier , en me dénonçant devant un tribunal, a brandi ses preuves : mon Journ
15 onnement qu’a tenu devant la cour le bouillant Me Duperrier  : — Rougemont s’est mis au service d’une propagande étrangère, comme
16 d’un lion du désert, et Malherbe d’avoir consolé Duperrier — celui qui a perdu son procès. La seule question sérieuse qui se pos
17 xactement le contraire d’Oltramare à Paris. Si Me Duperrier ne sent pas la différence, essayons de l’éclairer par une fable. F
18 fait emprisonner, puis juger sommairement, et Me Duperrier se voit chargé d’office de ma défense. Que va-t-il dire ? Il n’hésite
19 ille et on le pend d’office. Fin de la douleur de Duperrier . Mais voilà… Les Américains ont gagné la guerre. La Suisse subs
20 re, le 20 novembre 1947. j. « Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu », Bulletin de la Guilde du livre, Lausanne, n° 1