1 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
1 u. L’origine égyptienne du tarot est soutenue par Etteilla , dont nous allons parler, par d’Odoucet son premier disciple, et par
2 s soutiendrons cette thèse au paragraphe 5. 2. Etteilla (1750-1810, environ) Nous lisons le jugement suivant sur Etteilla
3 , environ) Nous lisons le jugement suivant sur Etteilla dans un petit ouvrage intitulé Le Nouvel Etteilla (Paris 1922) : Cet
4 Etteilla dans un petit ouvrage intitulé Le Nouvel Etteilla (Paris 1922) : Cet auteur, en rendant justice au génie et à la scien
5 à tout, et réciproquement. En voici un exemple : Etteilla a placé le Fou à la fin du jeu, c’est-à-dire au nombre 78, et a mis a
6 table 21 est aussi 22, ainsi que nous le verrons. Etteilla place le Fou sous le nombre 78 qui est enfin notre zéro, et voici son
7 e de ce nombre. (Elie Alta, Le Tarot égyptien, ou Etteilla restitué, Vichy, 1922.) On peut juger d’après ce texte (et son conte
8 uger d’après ce texte (et son contexte) que selon Etteilla et son disciple Elie Alta, l’un corrigeant l’autre. 0 = 78 = (77) = 2
9 de plus d’une façon. A) Pays. Citons Elie Alta : Etteilla a composé un jeu dans lequel les figures des arcanes majeurs ont été
10 ont pas droit d’entrée en France. Quant à celui d’ Etteilla , on le trouve partout. (E. Alta, op. cit., p. 27). B) Dessin. La plu
11 l’exemple des lettres. D’après Elie Alta (et donc Etteilla ), « les Égyptiens ont attaché à chaque carte des 22 atouts majeurs un
12 cane 0 a) Interprétation d’Elie Alta d’après Etteilla  : Le grelot de la Folie s’adapte indistinctement à tous les annea
13 ne 10 a) Interprétation d’Elie Alta, d’après Etteilla  : La lettre Iod se rapporte à la plupart des idées du nombre 10.
14 (volume VIII) : Du jeu des tarots, Paris, 1781. Etteilla  : Manière de se récréer avec le jeu de cartes nommées tarots, Amsterd