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u. L’origine égyptienne du tarot est soutenue par
Etteilla
, dont nous allons parler, par d’Odoucet son premier disciple, et par
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s soutiendrons cette thèse au paragraphe 5. 2.
Etteilla
(1750-1810, environ) Nous lisons le jugement suivant sur Etteilla
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, environ) Nous lisons le jugement suivant sur
Etteilla
dans un petit ouvrage intitulé Le Nouvel Etteilla (Paris 1922) : Cet
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Etteilla dans un petit ouvrage intitulé Le Nouvel
Etteilla
(Paris 1922) : Cet auteur, en rendant justice au génie et à la scien
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à tout, et réciproquement. En voici un exemple :
Etteilla
a placé le Fou à la fin du jeu, c’est-à-dire au nombre 78, et a mis a
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table 21 est aussi 22, ainsi que nous le verrons.
Etteilla
place le Fou sous le nombre 78 qui est enfin notre zéro, et voici son
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e de ce nombre. (Elie Alta, Le Tarot égyptien, ou
Etteilla
restitué, Vichy, 1922.) On peut juger d’après ce texte (et son conte
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uger d’après ce texte (et son contexte) que selon
Etteilla
et son disciple Elie Alta, l’un corrigeant l’autre. 0 = 78 = (77) = 2
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de plus d’une façon. A) Pays. Citons Elie Alta :
Etteilla
a composé un jeu dans lequel les figures des arcanes majeurs ont été
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ont pas droit d’entrée en France. Quant à celui d’
Etteilla
, on le trouve partout. (E. Alta, op. cit., p. 27). B) Dessin. La plu
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l’exemple des lettres. D’après Elie Alta (et donc
Etteilla
), « les Égyptiens ont attaché à chaque carte des 22 atouts majeurs un
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cane 0 a) Interprétation d’Elie Alta d’après
Etteilla
: Le grelot de la Folie s’adapte indistinctement à tous les annea
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ne 10 a) Interprétation d’Elie Alta, d’après
Etteilla
: La lettre Iod se rapporte à la plupart des idées du nombre 10.
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(volume VIII) : Du jeu des tarots, Paris, 1781.
Etteilla
: Manière de se récréer avec le jeu de cartes nommées tarots, Amsterd