1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
1 nd Ostervald », traducteur de la Bible admiré par Fénelon , auteur de vingt traités sur la morale, la liturgie et la théologie q
2 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
2 oserait encourir la disgrâce de l’Opinion, comme Fénelon avait encouru celle du Roi ? Qui donc oserait, comme cet évêque, s’ad
3 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
3 oserait encourir la disgrâce de l’Opinion, comme Fénelon avait encouru celle du roi ? Qui donc oserait, comme cet évêque, s’ad
4 1948, Suite neuchâteloise. IV
4 nd Ostervald », traducteur de la Bible admiré par Fénelon , auteur de vingt traités sur la morale, la liturgie et la théologie q
5 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Henri Brugmans, Les Origines de la civilisation européenne (septembre 1959)
5 re éducative ou utile, celle d’un Bossuet ou d’un Fénelon , pourvoyeuse de conseils politiques. Car il voit bien que l’on appell
6 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Carlo Curcio, Europa, Storia di un’idea (septembre 1959)
6 ntre Descartes et Vogüé, tandis que Fontenelle et Fénelon figurent sous F, « Saint-Pierre B. » sous S, et « Tocqueville A. » so
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
7 es expéditions. Bossuet n’alla jamais à Rome ; ni Fénelon . Les grands classiques sont stables. Les errants, ce seront Voltaire,