1
nd Ostervald », traducteur de la Bible admiré par
Fénelon
, auteur de vingt traités sur la morale, la liturgie et la théologie q
2
oserait encourir la disgrâce de l’Opinion, comme
Fénelon
avait encouru celle du Roi ? Qui donc oserait, comme cet évêque, s’ad
3
oserait encourir la disgrâce de l’Opinion, comme
Fénelon
avait encouru celle du roi ? Qui donc oserait, comme cet évêque, s’ad
4
nd Ostervald », traducteur de la Bible admiré par
Fénelon
, auteur de vingt traités sur la morale, la liturgie et la théologie q
5
re éducative ou utile, celle d’un Bossuet ou d’un
Fénelon
, pourvoyeuse de conseils politiques. Car il voit bien que l’on appell
6
ntre Descartes et Vogüé, tandis que Fontenelle et
Fénelon
figurent sous F, « Saint-Pierre B. » sous S, et « Tocqueville A. » so
7
es expéditions. Bossuet n’alla jamais à Rome ; ni
Fénelon
. Les grands classiques sont stables. Les errants, ce seront Voltaire,