1 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, Les Conquérants (décembre 1928)
1 ntemporain l’absurdité de ses ambitions. Écoutons Garine , l’un de ces chefs (c’est lui qui parle au nom de l’auteur, je pense)
2 x l’a vécue, avant de la décrire ; et cet aveu de Garine est décisif : « La Révolution… tout ce qui n’est pas elle est pire qu
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
3 ion communiste en Chine, et la figure centrale de Garine , anarchiste par goût de l’expérience, conférait à tout le livre un ca
4 irectement autobiographique. La philosophie de ce Garine , en effet, ressemblait singulièrement à celle que M. Malraux venait j
5 prête des caractéristiques qui le rapprochent du Garine des Conquérants : « hostilité à l’égard des valeurs établies…, goût d
6 C’est peut-être qu’il n’y en a pas. Perken, comme Garine , est de ces êtres qui agissent par désespoir, parce que l’action, à t
7 sur le destin de l’homme. Chez Perken comme chez Garine , même héroïsme dépourvu d’idéal, même ardeur épuisante à vivre contre
8 ssent au travers des actions et des discours d’un Garine , d’un Perken, les traits d’une individualité morale qui n’est sans do