1 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
1 gique, de l’histoire et des méthodes critiques de M. Goguel  ? 3. Si notre civilisation chrétienne n’est pas détruite par le bolch
2 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
2 Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)b L’œuvre de M. Maurice Goguel, directeur à l’École
3 thode de M. Goguel (novembre 1934)b L’œuvre de M. Maurice Goguel , directeur à l’École des hautes études, est déjà fort importante et f
4 e public. On se souvient de l’ouvrage décisif que M. Goguel publia contre les thèses de M. Couchoud3. Plus récemment, il nous don
5 ance à la résurrection de Jésus ? C’est ainsi que M. Goguel définit l’objet de sa recherche, en insistant sur le fait que la desc
6 u trop ambitieuse. Car l’hypothèse de travail que M. Goguel adopte au départ revêt bel et bien la forme d’une explication de caus
7 s. L’Histoire est-elle cause ou effet de la foi ? M. Goguel incline vers l’effet. Suivons-le dans sa déduction. Dans une première
8 urs des évangiles, enfin chez les premiers pères, M. Goguel met en lumière une évolution constante dans le sens prévu par son hyp
9 à la plus grande exigence critique. À vrai dire, M. Goguel ne paraît pas s’être beaucoup préoccupé de justifier sa méthode. Il n
10 dictoire ou invraisemblable ; mais, d’autre part, M. Goguel récuse beaucoup de passages pour la raison qu’ils s’expliquent trop b
11 on psychologique, et c’est là le second obstacle. M. Goguel tire des arguments, pour lui décisifs, de certaines « vraisemblances 
12 nnel ? Quand on compare les résultats obtenus par M. Goguel , avec le texte biblique intégral, on est frappé de voir que le récit
13 n voit mieux encore le préjugé moderne qui pousse M. Goguel à les décolorer. Et l’on se demande ce qui subsisterait de ses conclu
14 gique l’inauthenticité probable d’un professeur.) M. Goguel ne fait-il pas comme les premiers croyants — et avec la même bonne fo
15 ue ? Je sens bien la gravité de ce reproche. Mais M. Goguel semble d’avance l’avoir minimisé, en réduisant toute son œuvre aux pr
16 pourrait être la devise de l’école illustrée par M. Goguel . Il répondra que c’est au bénéfice du vrai. Mais il faudrait alors dé
17 rant à chaque page l’ingéniosité et la science de M. Goguel , on se sent parfois gêné par l’anachronisme évident de ses jugements
18 ors qu’elles s’enfuient épouvantées, au verset 8, M. Goguel déduit incontinent que le premier de ces versets a été ajouté après c
19 éthode, il reste que les conclusions négatives de M. Goguel sont loin d’être aussi ruineuses pour la foi que beaucoup de croyants
20 minicé à propos de Calvinc. La seconde, c’est que M. Goguel , loin d’attaquer les dogmes, ne démolit que les preuves matérielles d
21 leur critique la relativité des articles de foi, M. Goguel cherche à débarrasser la foi de la relativité des preuves historiques
22 du Dieu mort et ressuscité, en particulier). Pour M. Maurice Goguel , la foi a déformé l’Histoire. Que l’on réforme cette histoire, cela n
23 ez Payot. 4. Chez Payot. b. « Sur la méthode de M. Goguel  », Le Semeur, Paris, n° 1, novembre 1934, p. 29-35. Il s’agit d’une n