1
l’aventure antique, et dans ce qui fut Rome ou la
Grèce
, revivre sa tradition. Toute son œuvre pourrait se définir : la lutte
2
s tenions de l’Antiquité, et singulièrement de la
Grèce
, le sentiment d’une harmonie nécessaire entre nos gestes et nos pensé
3
s défient là-bas, nous serons colonisés, comme la
Grèce
par Rome. Cessons de loucher avec méfiance vers les empires étrangers
4
s défient là-bas, nous serons colonisés, comme la
Grèce
par Rome. Cessons de loucher avec méfiance vers les empires étrangers
5
s défient là-bas, nous serons colonisés, comme la
Grèce
par Rome. Cessons de loucher avec méfiance vers les empires étrangers
6
t réalisé. Nous voyons qu’en Orient23, et dans la
Grèce
contemporaine de Platon, l’amour humain est très généralement conçu c
7
de même de l’amour. Semblables aux hétaïres de la
Grèce
antique, les courtisanes jouaient un rôle parfois considérable dans l
8
mmunauté primitive, c’est la naissance même de la
Grèce
. Sur le fond indistinct des peuplades indo-germaniques, les Grecs son
9
e morale de celle qui poussa les physiciens de la
Grèce
à créer la notion d’atome, les philosophes à formuler le principe d’i
10
e réaction collective. La victoire de Rome sur la
Grèce
, symboliquement interprétée, c’est la victoire de l’étatisme sur l’in
11
ppareil rigide, devait fatalement triompher d’une
Grèce
que nous dirions « atomisée ». Le vide social créé par l’individualis
12
Car voici le moment décisif de notre histoire. La
Grèce
individualiste a triomphé de la communauté barbare du sang. Mais plus
13
ion quelque peu analogue à celle des débuts de la
Grèce
, en ce sens qu’une révolte de l’individu ne tarde pas à se manifester
14
ques traits qui rappelleront ma description de la
Grèce
individualiste. L’individu de la Renaissance est d’abord un révolté q
15
t réalisé. Nous voyons qu’en Orient26, et dans la
Grèce
contemporaine de Platon, l’amour humain est très généralement conçu c
16
le-même, soit en une pluralité de dieux, comme en
Grèce
, soit en un couple dieu-déesse, comme en Égypte, soit enfin comme dan
17
de même de l’amour. Semblables aux hétaïres de la
Grèce
antique, les courtisanes jouaient un rôle parfois considérable dans l
18
ous voyons qu’en Orient (Appendice 4), et dans la
Grèce
contemporaine de Platon, l’amour humain est très généralement conçu c
19
le-même, soit en une pluralité de dieux, comme en
Grèce
, soit en un couple dieu-déesse, comme en Égypte, soit enfin comme dan
20
de même de l’amour. Semblables aux hétaïres de la
Grèce
antique, les courtisanes jouaient un rôle parfois considérable dans l
21
pôle à l’autre. À l’anarchie individualiste de la
Grèce
répond l’étatisme romain. Au collectivisme sacral du Moyen Âge répond
22
mmunauté primitive, c’est la naissance même de la
Grèce
. Sur le fond indistinct des peuplades indo-germaniques, les Grecs son
23
e morale de celle qui poussa les physiciens de la
Grèce
à créer la notion d’atome, les philosophes à formuler le principe d’i
24
e réaction collective. La victoire de Rome sur la
Grèce
, symboliquement interprétée, c’est la victoire de l’étatisme sur l’in
25
ppareil rigide, devait fatalement triompher d’une
Grèce
que nous dirions « atomisée ». Le vide social créé par l’individualis
26
Car voici le moment décisif de notre histoire. La
Grèce
individualiste a triomphé de la communauté barbare du sang. Mais plus
27
ion quelque peu analogue à celle des débuts de la
Grèce
, en ce sens qu’une révolte de l’individu ne tarde pas à se manifester
28
ques traits qui rappelleront ma description de la
Grèce
individualiste. L’individu de la Renaissance est d’abord un révolté q
29
pôle à l’autre. À l’anarchie individualiste de la
Grèce
répond l’étatisme romain. Au collectivisme sacral du Moyen âge répond
30
mmunauté primitive, c’est la naissance même de la
Grèce
. Sur le fond indistinct des peuplades indo-germaniques, les Grecs son
31
e morale de celle qui poussa les physiciens de la
Grèce
à créer la notion d’atome, les philosophes à formuler le principe d’i
32
e réaction collective. La victoire de Rome sur la
Grèce
, symboliquement interprétée, c’est la victoire de l’étatisme sur l’in
33
ppareil rigide, devait fatalement triompher d’une
Grèce
que nous dirions « atomisée ». Le vide social créé par l’individualis
34
Car voici le moment décisif de notre histoire. La
Grèce
individualiste a triomphé de la communauté barbare du sang. Mais plus
35
ion quelque peu analogue à celle des débuts de la
Grèce
, en ce sens qu’une révolte de l’individu ne tarde pas à se manifester
36
ques traits qui rappelleront ma description de la
Grèce
individualiste. L’individu de la Renaissance est d’abord un révolté q
37
nt le secret du pouvoir. ⁂ De tous les pays de la
Grèce
, les rêveurs de couronnes vinrent contempler l’objet. Ils venaient s’
38
a réaction collective. La victoire de Rome sur la
Grèce
est la première victoire fatale de l’étatisme sur l’individualisme de
39
ours. Et l’esprit périclite, faute de liberté. La
Grèce
individualiste a triomphé de la communauté barbare du sang. Mais plus
40
ient le secret du pouvoir. De tous les pays de la
Grèce
, les rêveurs de couronnes vinrent contempler l’objet. Ils venaient s’
41
physique, géographique d’abord : l’Europe, cette
Grèce
agrandie, est un continent cloisonné, et par nature diversifié, impro
42
physique, géographique d’abord : l’Europe, cette
Grèce
agrandie, est un continent cloisonné, et par nature diversifié, impro
43
ts-Unis d’Europe sont faits, « sont là » ; que la
Grèce
n’en fait pas partie, mais bien « et de toute évidence » les USA ; qu
44
taine de fédéralistes sur cent-un députés.) 3° La
Grèce
fait partie du Conseil de l’Europe, depuis le 11 août 1949, mais les
45
és par les mers et par l’Océan. Elle rappelle une
Grèce
agrandie. Mais voici le caractère problématique de cette presqu’île :
46
roblématique de cette presqu’île : de même que la
Grèce
n’a pas de frontière bien marquée vers le nord, l’Europe s’ouvre vers
47
rte philosophique de l’individu et de l’atome, la
Grèce
; celle qui conçut les droits du citoyen, Rome ; celle, enfin, qui a
48
es Scandinaves, la Grande-Bretagne, l’Irlande, la
Grèce
et la Turquie. Et ce qui reste après toutes ces amputations, vous ave
49
, les Pays scandinaves, l’Espagne, l’Autriche, la
Grèce
et la Turquie, enfin la Suisse, n’aient rien ajouté à ces gloires, ni
50
ou du corps magique collectif. Découverte par la
Grèce
avec l’individu, socialisée par Rome avec le citoyen, consacrée par l
51
er (République fédérale d’Allemagne), Cotsaridas (
Grèce
), Gudmundsson (Islande), Miss Chinneide (Irlande), MM. Piovene (Itali
52
’ils diffèrent profondément de Rome, devant cette
Grèce
agrandie que figure assez bien l’Europe. Une Europe américanisée gagn
53
le-même, soit en une pluralité de dieux, comme en
Grèce
, soit en un couple dieu-déesse, comme en Égypte, soit enfin comme dan
54
considérer ou de l’éprouver. En Orient et dans la
Grèce
contemporaine de Platon, l’amour humain est très généralement conçu c
55
II, comme l’héritière chrétienne de Rome et de la
Grèce
. Chacun sait la fortune que devait connaître cette définition de l’Eu
56
? Si l’on remonte à leurs origines, on trouve la
Grèce
et le christianisme, c’est-à-dire le respect de la vérité objective,
57
bre en tension, unit le meilleur de Rome et de la
Grèce
, elle est aussi menacée, dans le monde du péché, par un double péril
58
aternité humaine ; elle sauvait le meilleur de la
Grèce
et de Rome en opérant l’intégration sans précédent de l’individu libr
59
’ils différent profondément de Rome, devant cette
Grèce
agrandie que figure assez bien l’Europe. Une Europe américanisée gagn
60
lisateurs dont la combinaison fit l’Occident : la
Grèce
, le judaïsme, Rome et la foi chrétienne, les voici revenus à l’œuvre
61
rance. D’autres vont être lancées en Italie et en
Grèce
. Elles visent à former des cadres de responsables, civiquement actifs
62
activement le lancement de quatre expériences en
Grèce
, avec l’appui d’un comité ad hoc en voie de formation sous la conduit
63
tème solaire, pour commencer, le rôle joué par la
Grèce
dans l’Empire romain, par l’Europe dans le Monde d’aujourd’hui. Cette
64
? Si l’on remonte à leurs origines, on trouve la
Grèce
et le christianisme, c’est-à-dire le respect de la vérité objective,
65
ouvoirs de l’homme sur le cosmos. Ajoutons que la
Grèce
antique fournissait à l’Europe naissante les méthodes de pensée néces
66
nces amorcées en milieu populaire (Val d’Aoste et
Grèce
) devaient être suspendues par suite de difficultés imprévisibles au d
67
de l’incinération. (« Champs d’urnes ».) Puis la
Grèce
et l’Italie des Étrusques, quelques siècles plus tard, envoient vers
68
ale, à l’exclusion toutefois de l’Italie et de la
Grèce
, où ils n’ont fait que de rapides incursions (à Rome et à Delphes). L
69
de toute une civilisation intermédiaire entre la
Grèce
et l’Asie. État puissant par son organisation, ses lois, ses arts, se
70
ocié à celui de Zeus dans le monde égéen, dans la
Grèce
continentale. Et voici le moment où le génie grec s’en empare pour le
71
de notre ère, cette tradition indépendante de la
Grèce
: nous l’appellerons le Mythe de Japhet. Selon saint Ambroise (né en
72
son non moins traditionnelle fait de l’Europe une
Grèce
agrandie21 : On a souvent dit que l’Europe était à l’égard de la ter
73
ue l’Europe était à l’égard de la terre ce que la
Grèce
fut jadis à l’égard de l’Europe. La Grèce a le sol médiocrement ferti
74
que la Grèce fut jadis à l’égard de l’Europe. La
Grèce
a le sol médiocrement fertile, la surface variée et coupée, des limit
75
s connues. Mais ce parallèle entre l’Europe et la
Grèce
doit être étendu à des rapports plus nobles que ceux de la nature cor
76
t Occident mystiques par les métaphysiciens de la
Grèce
présocratique, puis de la Perse avicennienne, et enfin par tous les a
77
s, Rome et Paris sont pléiades. Lois immenses. La
Grèce
s’est transfigurée, et est devenue le monde chrétien ; la France se t
78
bre en tension, unit le meilleur de Rome et de la
Grèce
, elle est aussi menacée, dans le monde du péché, par un double péril
79
venues de la Crète et de l’Égypte ancienne par la
Grèce
, ce sont le Décalogue et les Béatitudes, c’est enfin le code de Justi
80
les qu’entrevoyaient les sages de l’Inde et de la
Grèce
, et que Dante dit avoir contemplées au prix de sa vue « consumée » m
81
c et Pipinelis, ambassadeurs de Yougoslavie et de
Grèce
. On les appelait les Trois Mousquetaires, J.H.R. étant naturellement
82
et on les comprend. » (R. Flacelière, l’Amour en
Grèce
, Paris, 1960). Empédocle désigne l’Amour par les mots de philotès (an
83
les qu’entrevoyaient les sages de l’Inde et de la
Grèce
, et que Dante dit avoir contemplées au prix de sa vue « consumée » :
84
é de l’incinération (« Champs d’urnes »). Puis la
Grèce
et l’Italie des Étrusques, quelques siècles plus tard, envoient vers
85
ale, à l’exclusion toutefois de l’Italie et de la
Grèce
, où ils n’ont fait que de rapides incursions (à Rome et à Delphes). L
86
ntre l’Europe et l’Asie, l’une représentée par la
Grèce
indomptable, l’autre par la Perse docile : Songe de la reine, mère
87
ême sang, elles habitaient deux patries, l’une la
Grèce
, dont le sort l’avait lotie, l’autre la terre barbare. Il me semblait
88
de toute une civilisation intermédiaire entre la
Grèce
et l’Asie. État puissant par son organisation, ses lois, ses arts, se
89
ocié à celui de Zeus dans le monde égéen, dans la
Grèce
continentale. Et voici le moment où le génie grec s’en empare pour le
90
de notre ère, cette tradition indépendante de la
Grèce
: nous l’appellerons le Mythe de Japhet. Selon saint Jérôme (346-420)
91
s empires ; et que Javan son petit-fils peupla la
Grèce
en passant en Italie : que c’est de là que les Grecs s’appelèrent Ion
92
tribuait à Cadmus l’introduction de l’alphabet en
Grèce
, et plaçait la venue de Cadmus au début du xve siècle ». Or les trou
93
son non moins traditionnelle fait de l’Europe une
Grèce
agrandie30 : On a souvent dit que l’Europe était à l’égard de la ter
94
ue l’Europe était à l’égard de la terre ce que la
Grèce
fut jadis à l’égard de l’Europe. La Grèce a le sol médiocrement ferti
95
que la Grèce fut jadis à l’égard de l’Europe. La
Grèce
a le sol médiocrement fertile, la surface variée et coupée, des limit
96
s connues. Mais ce parallèle entre l’Europe et la
Grèce
doit être étendu à des rapports plus nobles que ceux de la nature cor
97
e de Thrace qui porta en effet ce nom, ou avec la
Grèce
, comme c’est le cas d’Eschyle ? Mais on s’expliquerait mal qu’ils aie
98
mal qu’ils aient éprouvé le besoin de désigner la
Grèce
par un terme plus général, s’ils n’entendaient vraiment parler que d’
99
siècles plus tard, il apparaît clairement que la
Grèce
n’est qu’une « petite partie » de l’Europe. Cicéron (Pro Flacco, XXVI
100
l’Europe. Cicéron (Pro Flacco, XXVII), dit de la
Grèce
: Parvum quendam locum Europætenet. Saint Augustin, dans La Cité d
101
t Occident mystiques par les métaphysiciens de la
Grèce
présocratique, puis de la Perse avicenienne, et enfin par tous les au
102
spagne prennent les armes l’un contre l’autre… La
Grèce
laboure pour soi, moissonne pour soi, moud son grain pour soi, se rep
103
tin), le pape lui promet l’admiration de toute la
Grèce
, de toute l’Italie, de toute l’Europe. Quant à la croisade que Pie II
104
sur tes ennemis pour que, ayant enfin recouvré la
Grèce
, nous puissions chanter tes louanges par toute l’Europe. Relevons la
105
. Relevons la triade significative des termes de
Grèce
, d’Italie et de chrétienté pour désigner « toute l’Europe » : premièr
106
stinguaient dans l’art de la guerre. En effet, en
Grèce
, sans compter le royaume de Macédoine, il y avait de nombreuses répub
107
précieuse en Suède, affable en Pologne, molle en
Grèce
et sombre en Moscovie.115 Montesquieu (vers 1730) : L’Allemagne e
108
l’Europe. B. — Ah ! exceptez-en, je vous prie, la
Grèce
, qui obéit au Grand Turc, et la malheureuse partie de l’Italie qui ob
109
Gaules leurs cités et les derniers soupirs de la
Grèce
devinrent encore illustres dans la ligne achéenne. Mais nulles de ces
110
ons une prosopopée typique du siècle : … Superbe
Grèce
! où sont ces villes sans nombre que ta splendeur avait rendues si br
111
acre la barbarie. L’Égypte, l’Asie, l’Afrique, la
Grèce
, tout a disparu devant ses progrès. On les cherche dans elles-mêmes,
112
Par elle seule enfin, ce génie qui distinguait la
Grèce
et Rome d’avec les barbares vit encore aujourd’hui dans l’Europe ; et
113
ire. Les nations guerrières de l’antiquité, de la
Grèce
, de la Macédoine et de Rome, élevaient une race de soldats, exerçaien
114
deux courants : l’un, venu d’Orient, passe par la
Grèce
et l’Italie et s’infléchit légèrement dans le sud de l’Europe, invent
115
Congrès américain, ou celle des amphictions de la
Grèce
; et quelle perspective alors de force, de grandeur, de jouissances,
116
Frieden, ein Ideal : Ainsi que Sparte un jour en
Grèce
, ô France, toi aussi tu vas te dresser pour libérer l’Europe de ses d
117
sion à la domination du monde ait passé d’Asie en
Grèce
pour se transmettre ensuite aux Romains, l’état de l’Europe était à p
118
s, Rome et Paris sont pléiades. Lois immenses. La
Grèce
s’est transfigurée, et est devenue le monde chrétien ; la France se t
119
ma patrie, et, de même qu’Athènes est devenue la
Grèce
, de même que Rome est devenue la chrétienté, toi, France, deviens le
120
a figure de l’Européen : Ce que nous devons à la
Grèce
est peut-être ce qui nous a distingués le plus profondément du reste
121
qu’il y eut en Chine, aux Indes, et aussi dans la
Grèce
antique ; la science grecque est seulement une introduction et un moy
122
omme l’Iliade en est la première ; l’esprit de la
Grèce
s’y laisse voir non seulement en ce qu’il y est ordonné de rechercher
123
a découverte des lettres grecques, le génie de la
Grèce
n’a pas ressuscité au cours de vingt siècles. Il en apparaît quelque
124
ond : c’est l’esprit de la Philosophie, née de la
Grèce
: « La forme spirituelle de l’Europe », qu’est-ce à dire ? C’est l’i
125
: la conscience tragique, telle qu’elle exista en
Grèce
, connaît la signification de l’échec même et le désir de l’échec auth
126
hilosophie, l’art, la science, la technique de la
Grèce
se prolonger en substance dans l’époque hellénistique. Les lignes dir
127
défense et de contre-attaque de l’Asie contre la
Grèce
. En prolongeant les lignes et les problèmes de la culture européenne
128
hristianisme et des anciennes civilisations de la
Grèce
, de Rome et d’Israël, dont deux millénaires de chrétienté nous ont to
129
uisons en commun, les littératures de Rome, de la
Grèce
et d’Israël. Ce que j’ai dit de la poésie me paraît aussi vrai des au
130
dynastie, les Minoens — puis, par la mer Égée en
Grèce
, et de là, sur les terres du Couchant, que les langues sémitiques nom
131
t. Une première culture originale se constitue en
Grèce
. L’Empire de Rome la diffuse et la transforme. À l’individualisme qui
132
e toutes les forces créatrices de l’Occident : la
Grèce
, Rome et Jérusalem, la magie celte, l’inquiétude hébraïque, la scienc
133
dynastie, les Minoens — puis, par la mer Égée en
Grèce
, et de là, sur les terres du Couchant, que les langues sémitiques nom
134
t. Une première culture originale se constitue en
Grèce
. L’Empire de Rome la diffuse et la transforme. À l’individualisme qui
135
e toutes les forces créatrices de l’Occident : la
Grèce
, Rome et Jérusalem, la magie celte, l’inquiétude hébraïque, la scienc
136
a réaction collective. La victoire de Rome sur la
Grèce
est la première victoire fatale de l’étatisme sur l’individualisme de
137
ours. Et l’esprit périclite, faute de liberté. La
Grèce
individualiste a triomphé de la communauté barbare du sang. Mais plus
138
n sans peine, avec le rationalisme critique de la
Grèce
et son exigence de vérité, voire de véracité contrôlée et mesurée. Ce
139
ouverain », voilà bien le seul exemple, depuis la
Grèce
antique, d’une démocratie véritable — « gouvernement du peuple par le
140
temps olympien, au cours desquels les dieux de la
Grèce
incarnent dans un paysage helvétique le conflit de l’âme créatrice et
141
plusieurs courants civilisateurs (Proche-Orient,
Grèce
, christianisme, Celtes, Germains, puis Arabes et Slaves) et qui s’est
142
ue nous continuons. — Égypte, Mésopotamie, Crête,
Grèce
, Rome, Jérusalem, christianisme, Celtes, Germains, Arabes, Slaves : n
143
aube grecque de notre histoire. Je ne cite pas la
Grèce
par hasard. Car je tiens la région pour une forme de communauté aussi
144
unité de base de toute vie sociale et publique en
Grèce
. Elle donna même son nom à cette forme d’activité : la politique ! De
145
aube grecque de notre histoire. Je ne cite pas la
Grèce
par hasard. Car je tiens la région pour une forme de communauté aussi
146
unité de base de toute vie sociale et publique en
Grèce
. Elle donna même son nom à cette forme d’activité : la politique 87.
147
tats successeurs de la Double-Monarchie, et de la
Grèce
, des contacts réguliers, des études préparant des projets communs, et
148
aube grecque de notre Histoire. Je ne cite pas la
Grèce
par hasard. Car je tiens la région pour une forme de communauté aussi
149
unité de base de toute vie sociale et publique en
Grèce
. Elle donna même son nom à cette forme d’activité : la politique ! De
150
evenait-elle pour moi, dans la mémoire, ce que la
Grèce
avait été pour lui dans la distance et dans le temps du rêve. Mais au
151
ir dans le mythe. Le Neckar sera beau quand d’une
Grèce
dorienne — Cap Sounion, Olympie, temples ruinés d’Athènes, « fierté d
152
ue, le baroque, le classique, tous produits de la
Grèce
, de Rome, du christianisme, de l’influence germanique ou celtique. Ai
153
prolonge les civilisations du Moyen-Orient, de la
Grèce
et de Rome qui continuent à vivre en elles. En deuxième lieu, la civi
154
ns tel que je l’entends, après avoir valu pour la
Grèce
des grands siècles avec sa dialectique de l’individu et de la cité, c
155
gue avec la nature et l’histoire. Mais voyager en
Grèce
est une autre aventure. Qu’on le veuille et le sache ou non, c’est un
156
quitter Poros, non loin des portes de Trézène. En
Grèce
, on va vers des noms émouvants. Quelqu’un dit : Delphes. ⁂ Jusqu’au
157
ns tel que je l’entends, après avoir valu pour la
Grèce
des grands siècles avec sa dialectique de l’individu et de la cité, c
158
ité, et la coexistence féconde des contraires. La
Grèce
invente la cité et la fonde sur le paradoxe des citoyens à la fois li
159
ité, et la coexistence féconde des contraires. La
Grèce
invente la cité et la fonde sur le paradoxe des citoyens à la fois li
160
venues de la Crète et de l’Égypte ancienne par la
Grèce
, ce sont le Décalogue et les Béatitudes, c’est enfin le code de Justi
161
L’Europe, qui a hérité de civilisations comme la
Grèce
dominée par l’idée de nature, a toujours ressenti un certain malaise
162
(bibliothèques, musées, maisons d’édition) et la
Grèce
(laboratoires détruits ou pillés dans leur presque totalité). Non moi
163
rteurs de l’Est sont en exil. 4. Exceptions : en
Grèce
, l’Agence d’Athènes est semi-officielle mais elle distribue les dépêc
164
prolonge les civilisations du Moyen-Orient, de la
Grèce
et de Rome qui continuent à vivre en elles. En second lieu, la civili
165
n sans peine, avec le rationalisme critique de la
Grèce
et son exigence de vérité, voire de véracité contrôlée et mesurée. Ce
166
II, comme l’héritière chrétienne de Rome et de la
Grèce
. Et l’on sait la fortune que devait connaître cette définition de l’E
167
sité et la coexistence féconde des contraires. La
Grèce
, qui invente la cité (polis, d’où politique), la fonde sur le paradox
168
ue nous continuons. — Égypte, Mésopotamie, Crète,
Grèce
, Rome, Jérusalem, christianisme, Celtes, Germains, Arabes, Slaves. No
169
venues de la Crète et de l’Égypte ancienne par la
Grèce
, ce sont le Décalogue et les Béatitudes, c’est enfin le code de Justi
170
ns tel que je l’entends, après avoir valu pour la
Grèce
des grands siècles avec sa dialectique de l’individu et de la cité co
171
aube grecque de notre histoire. Je ne cite pas la
Grèce
par hasard. Car je tiens la région pour une forme de communauté aussi
172
unité de base de toute vie sociale et publique en
Grèce
. Elle donna même son nom à cette forme d’activité : la politique 37.
173
ns tel que je l’entends, après avoir valu pour la
Grèce
des grands siècles avec sa dialectique de l’individu et de la cité, c
174
ité, et la coexistence féconde des contraires. La
Grèce
invente la cité et la fonde sur le paradoxe des citoyens à la fois li
175
sion publique La discussion publique était, en
Grèce
antique, l’affaire de l’ensemble des citoyens (environ le dixième de
176
en Asie, en Syrie, en Égypte, et encore, dans la
Grèce
homérique. Ce n’est guère que dans la société hellénistique qu’un mét
177
souvent contradictoires qu’elle a héritées de la
Grèce
, de Rome, de Jérusalem, des Celtes, des Germains, plus tard des Arabe
178
elle coexistent des sources aussi diverses que la
Grèce
, Rome et Jérusalem, le christianisme, le germanisme et le celtisme, s
179
e-Orient, va se transmettre aux Mycéniens et à la
Grèce
continentale. Le peuplement de l’Europe s’est produit à partir du nor
180
Ouest — Autriche — Belgique — Danemark — France —
Grèce
— Italie — Luxembourg — Norvège — Pays-Bas — Royaume-Uni — Suède — Su
181
ct sexuel. L’Éros grec Le vocabulaire de la
Grèce
antique est le seul qui exerce encore une influence permanente et vér
182
es, et qu’elle constitue l’apport principal de la
Grèce
à ce qu’on peut appeler la métaphysique de l’amour (R. Flacelière, L’
183
étaphysique de l’amour (R. Flacelière, L’Amour en
Grèce
). Il semble que Platon agit sur nous comme une information héréditai
184
essé d’exercer son empire sur nos sociétés, de la
Grèce
primitive à l’Occident moderne, c’est le tabou de l’inceste. Tous les
185
Norvège, Écosse, Andalousie, Catalogne, Dalmatie,
Grèce
… Certes, on connaît bien d’autres festivals, des douzaines d’autres,
186
iversel », et qui ne dépend ni des concepts de la
Grèce
antique ni des définitions théologiques des premiers conciles, et enf