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René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)c
M. René Guisan
, professeur de théologie à Lausanne et directeur de la Revue de théol
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uchâtelois des « Amis de la pensée protestante ».
M. Guisan
avait choisi un sujet qui permet de façon particulièrement frappante
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morale que les saints maintiennent dans l’Église.
M. Guisan
va très loin dans ses concessions à de telles critiques. Mais c’est p
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scrupule d’historien et de chrétien qui permet à
M. Guisan
de montrer le point de vue adverse avec autant de compréhension et de
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it animé par une foi agissante. c. « Conférence
Guisan
», Suisse libérale, Neuchâtel, n° 26, 2 février 1926, p. 2.
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refuge hors de la réalité médiocre et basse. Pour
Guisan
, l’esprit c’était l’acte, l’aide effective apportée hic et nunc à des
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de 1946. Je lis dans les instructions données au
général Guisan
le 31 août 1939 par le Conseil fédéral, la phrase suivante (article p
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On se rappelle, en Suisse, que le 25 juillet, le
général Guisan
convoqua tous les officiers supérieurs de l’armée pour leur exposer s
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e 1946.) Je lis, dans les instructions données au
général Guisan
le 31 août 1939 par le Conseil fédéral, la phrase suivante (article p
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omme on sait. 83. Fête nationale suisse. 84. Le
général Guisan
convoqua ce jour-là tous les officiers supérieurs de l’armée pour leu
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ilisation de l’armée qu’il commandait en chef, le
général Guisan
, loin de déplorer la diversité des troupes suisses, soulignait sa néc
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u système du Troisième Reich alors triomphant. Le
général Guisan
a d’ailleurs brièvement mentionné, après la guerre, l’épisode de « la
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e défendre ? Je relis les instructions données au
général Guisan
le 31 août 1939 par le Conseil fédéral : Vous avez pour mission de sa
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ral, et c’est pourquoi il dut être un complot. Le
général Guisan
écrit dans son rapport que leur seule faute fut « d’agir en secret ».
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On se rappelle, en Suisse, que le 25 juillet, le
général Guisan
convoqua tous les officiers supérieurs de l’armée sur la prairie du G
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ermet pas. » 42. Cf. sur tout cela le Rapport du
général Guisan
à l’Assemblée fédérale sur le service actif, 1939-1945. Relevons que
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ilisation de l’armée qu’il commandait en chef, le
général Guisan
, loin de déplorer la diversité des troupes suisses, soulignait sa néc
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brillant qui allait faire pas mal de voix contre
Guisan
en 1939. « Il faudra, nous disait-il, laisser pénétrer l’infanterie e
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e, qu’il ne voulait pas s’occuper de la chose. Le
général Guisan
m’a donné alors une punition personnelle, ce que seul le chef de l’ar