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re de soi-même. Petite maison louée à mi-pente du
Gurten
. Au-dessous, des cités-jardins et des usines. Plus loin la ville, la
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’aux lisières de la forêt de sapins couronnant le
Gurten
. Toutes les demi-heures, des avions passent, volant très bas. Cette p
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tre, tous feux éteints, montant lentement vers le
Gurten
. Pas d’autre bruit. Me suis recouché pensant que s’il se passait quel
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re de soi-même. Petite maison louée à mi-pente du
Gurten
. Au-dessous, des cités-jardins et des usines. Plus loin la ville, la
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’aux lisières de la forêt de sapins couronnant le
Gurten
. Toutes les demi-heures, des avions passent, volant très bas. Cette p
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tre, tous feux éteints, montant lentement vers le
Gurten
. Pas d’autre bruit. Me suis recouché pensant que s’il se passait quel
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se présente à la porte de notre petite maison du
Gurten
. Je prends la position. Il tient dans chaque main un petit paquet att
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e de soi-même. Petite maison louée, à mi-pente du
Gurten
. Au-dessous, des cités-jardins et des usines. Plus loin la ville, la
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’aux lisières de la forêt de sapins couronnant le
Gurten
. Toutes les demi-heures, des avions passent, volant très bas. Cette p
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tre, tous feux éteints, montant lentement vers le
Gurten
. Pas d’autre bruit. Me suis recouché pensant que s’il se passait quel
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se présente à la porte de notre petite maison du
Gurten
. Je prends la position. Il tient dans chaque main un petit paquet att
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j’avais loué une petite maison sur les pentes du
Gurten
, au-dessus de Berne. « Le général vous condamne à quinze jours de for