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hologie, dans le sens d’un Schelling et déjà d’un
Herder
? Certes nous sommes ici très près de l’Organismusgedanke qui est la
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s romantiques allemands, à partir de Hamann et de
Herder
. La création entière, disait Hamann, est « un discours adressé à la c
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prétendus « nationaux » par la science démodée de
Herder
et des romantiques mais dont la science actuelle tire au contraire se
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nnexions que relève l’auteur entre la pensée d’un
Herder
, d’un Kant, d’un Gentz, d’un Baader, d’un Schlegel ou d’un Jakob Burc
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914. Henri Heine épouse au début l’idéologie de
Herder
et des romantiques allemands : celle d’une Europe des nationalités, q
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e « Internationale des nationalités », et il loue
Herder
d’avoir considéré l’humanité « comme une grande harpe dans la main d’
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t en Allemagne — Voltaire, Vauvenargues, Wieland,
Herder
—, plus tard en Angleterre — Newman, Matthew Arnold —, on se met à pa
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our axe la Révolution. De Wieland à Schelling, de
Herder
à Hegel, en passant par un Kant ou par un Goethe, l’Allemagne a pris
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grands espoirs humanitaires. Comme Lessing, comme
Herder
et Kant, et comme les orateurs de la Révolution, Schiller s’inspire d
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delà ?156 Sur la fonction mondiale de l’Europe,
Herder
a des vues prophétiques, que vérifie l’évolution anticolonialiste et
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erez, quand votre tour viendra !157 Aux yeux de
Herder
— et à cette date déjà — l’Europe est en train de trahir sa mission m
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opéen : En Europe personne n’y songe.158 Ce que
Herder
, l’un des premiers, a su comprendre, c’est que l’Europe ne peut se co
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-1809), historien des Suisses, combla les vœux de
Herder
en donnant à ses contemporains une Vue générale de l’Histoire du Genr
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européenne, initié par le génie des Goethe et des
Herder
. Son ouvrage intitulé De l’Allemagne est un acte européen dont les co
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e, nous voyons se fermer les cycles inaugurés par
Herder
, Kant et Novalis, et c’est pourquoi nous le plaçons ici, quoique son
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1789 et 1848, et qui s’annonçait dans l’œuvre de
Herder
. L’humanisme nouveau, celui qui inspire les fondateurs de l’instructi
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nie et non point unisson » comme disait Goethe :
Herder
considérait l’humanité entière comme une grande harpe dans les mains
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lisme universel, nous l’avons déjà constatée chez
Herder
et la plupart des romantiques allemands. Elle a pour axe, ici et là,
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mbre, est devenu une réalité. Quant au message de
Herder
, c’est précisément contre son esprit que la majorité du peuple allema
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nom des valeurs européennes : Voltaire, Rousseau,
Herder
, Fichte, Bentham. À l’encontre de Hegel, qui tenait l’Europe pour « l
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u xviiie siècle, les disciples de Rousseau, puis
Herder
, Bentham et Fichte avaient dénoncé l’expansion coloniale comme un péc
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u xviiie siècle, les disciples de Rousseau, puis
Herder
, Bentham et Fichte avaient dénoncé l’expansion coloniale comme un péc
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nom des valeurs européennes : Voltaire, Rousseau,
Herder
, Fichte, Bentham. À l’encontre de Hegel, qui tenait l’Europe pour « l
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à faire entrer dans la littérature universelle :
Herder
et Goethe vont découvrir par elle Homère, Dante et Milton, les Nibelu
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avouons-le, que ces littératures nationales à la
Herder
, célébrées par le xixe siècle, où les vertus patriotiques d’une œuvr
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t en Allemagne — Voltaire, Vauvenargues, Wieland,
Herder
—, plus tard en Angleterre — Newman, Matthew Arnold —, on se met à pa
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es de la fin du siècle et du romantisme. Lessing,
Herder
, Goethe et Schiller vont découvrir par elle Homère, Dante, Shakespear
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à faire entrer dans la littérature universelle :
Herder
et Goethe vont découvrir, grâce à elle, Homère, Dante et Shakespeare
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ou du xixe siècle romantique allemand (d’après
Herder
, Fichte et Hegel) : un pays doit correspondre à une langue, à une rac
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entre deux États au milieu d’un village. C’est du
Herder
ou du Hegel mal compris, mis sur le papier à distance par des experts