1 er à sa fantaisie, même si cela doit m’anéantir. Hoffmann . I (Notes écrites en décembre 1925, au sortir d’une conférence

2 ntimental, à l’Opéra où l’on donnait les Contes d’ Hoffmann . Je comprends aujourd’hui le lien qui unissait dans mon esprit Vienne

3 ui le lien qui unissait dans mon esprit Vienne et Hoffmann  : c’était le souvenir de Gérard de Nerval. Mais je pense que je n’ava

4 aît toute parcourue d’adorables roseurs boréales. Hoffmann n’est pas là, mais bien Dollonne, ce qui revient au même. Une femme f

5 ne qualité de désespoir, je retrouve les contes d’ Hoffmann . Mais il s’agit de les vivre plutôt que d’en parler vous voyez bien q

6 ntimental, à l’Opéra où l’on donnait les Contes d’ Hoffmann . Je comprends aujourd’hui le lien qui unissait dans mon esprit Vienne

7 ui le lien qui unissait dans mon esprit Vienne et Hoffmann  : c’était le souvenir de Gérard de Nerval. Mais je pense que je n’ava

8 ne qualité de désespoir, je retrouve les contes d’ Hoffmann . Mais il s’agit de les vivre plutôt que d’en parler ; vous voyez bien

9 en d’autres imitateurs, dont le moindre n’est pas Hoffmann … ⁂ L’énigme commença de m’inquiéter lors d’un séjour allemand au cour

10 comblerait, mais ignorant d’où cela peut venir… » Hoffmann ne dit pas autre chose lorsqu’il baptise cet inconnu : la poésie : E

11 comblerait, mais ignorant d’où cela peut venir… » Hoffmann ne dit pas autre chose lorsqu’il baptise cet inconnu : la poésie : « 

12 omblerait, mais ignorant d’où cela peut venir… ». Hoffmann ne dit pas autre chose lorsqu’il baptise cet inconnu : la poésie : E

13 en d’autres imitateurs, dont le moindre n’est pas Hoffmann … L’énigme commença de m’inquiéter lors d’un séjour allemand, au cours

14 er un sauf-conduit pour se rendre à Vienne est le général Hoffmann , commandant la région de Lemberg. Il ajoute que la préfecture de poli