1 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
1 au mystère personnel, et se trouve déterminé par Hollywood — et bientôt par l’État. Double influence de la beauté-standard : ell
2 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
2 au mystère personnel, et se trouve déterminé par Hollywood — et bientôt par l’État. Double influence de la beauté-standard : ell
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
3 au mystère personnel, et se trouve déterminé par Hollywood — ou par l’État. Double influence de la beauté-standard : elle défini
4 rale conformiste et d’aventure personnelle. C’est Hollywood . 211. - My girl and I want to get married. We’re trying to locate a
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
5 u mystère personnel, et se trouve déterminé par «  Hollywood  » — ou par l’État. Double influence de la beauté-standard : elle défi
6 rale conformiste et d’aventure personnelle. C’est Hollywood . 197. My girl and I want to get married. We’re trying to locate a J
5 1944, Articles divers (1941-1946). Un peuple se révèle dans le malheur (février 1944)
7 ent du peuple de France ; et les films composés à Hollywood ou à Londres sur l’organisation de la résistance à Paris ou en provin
6 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un climat tempéré (22 août 1945)
8 lité fade et flatteuse de tant de films tournés à Hollywood . Aux toundras, steppes, déserts, pampas, glaciers, et jungles qui cou
7 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
9 Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)c Toujours plus impeccables du
10 presse, et même les spectateurs, sont unanimes : Hollywood est à court d’inventions. Hollywood achète n’importe quoi, un roman n
11 nt unanimes : Hollywood est à court d’inventions. Hollywood achète n’importe quoi, un roman non terminé, un bout de conversation,
12 ver « une idée ». Je soupçonne, pour ma part, que Hollywood n’y trouvera rien, ou si elle y trouve un germe, le nettoiera. Car Ho
13 , ou si elle y trouve un germe, le nettoiera. Car Hollywood n’est plus qu’une machine. Elle transforme en argent tout ce qu’elle
14 mme les autres. N’insistons pas : la décadence de Hollywood n’a pas de raisons mystérieuses ou accidentelles. Ses causes sont évi
15 non pas d’autres. Pour mes cadets, d’ici dix ans, Hollywood ne sera plus qu’une légende : comme l’est déjà Greta Garbo, symbole d
16 gaie pour un fantôme… ⁂ Revenons à nos moutons de Hollywood . Je ne vois qu’un homme en Amérique, qui ait su tirer du cinéma quelq
17 re, avec des moyens peu coûteux. Les producers de Hollywood travaillent aujourd’hui avec des milliers d’employés, dans le cadre d
18 et français, cèderont au jour… Et j’imagine alors Hollywood déserté, une ghost town pareille à ces villes éphémères que fit surgi
19 s sujets de scénarios historiques. Il se peut que Hollywood , après sa mort, devienne une merveilleuse « idée de film », et renais
20 vre que, vivante, elle n’a fait que rêver. c. «  Hollywood n’a plus d’idées », Carrefour, Paris, n° 69, 13 décembre 1945, p. 7.
8 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Les enfants américains réclament des bombes atomiques (20 décembre 1945)
21 éférées de l’Américain. Déjà l’on nous annonce de Hollywood un superfilm sur la bombe atomique, où le love interest ne manquera p
9 1946, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Monsieur Denis de Rougemont, de passage en Europe, nous dit… [Entretien] (4 mai 1946)
22 ation de la presse ; par le prestige incroyable d’ Hollywood , qui donne le ton, et où l’Amérique semble copier l’image qu’elle s’y
10 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
23 de paradis artificiels à bon marché : l’alcool et Hollywood , les pin-up-girls et le glamour, Superman et les sports à la radio. E
11 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Noël à New York (décembre 1946)
24 éférées de l’Américain. Déjà l’on nous annonce de Hollywood un superfilm sur la bombe atomique, où le love interest ne manquera p
12 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
25 mparer cette vie, cette ville aux images que, par Hollywood , l’Amérique nous propose d’elle-même et qu’elle s’efforce d’imiter.
13 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
26 ’en va courir l’aventure d’un fabuleux contrat de Hollywood . 17 novembre 1941 Premières falaises de l’Hudson, au bas d’un c
14 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
27 lité fade et flatteuse de tant de films tournés à Hollywood . Aux toundras, steppes, déserts, pampas, glaciers et jungles qui couv
15 1946, Journal des deux mondes. Virginie
28 lent du peuple de France ; et des films tournés à Hollywood ou à Londres sur l’épopée secrète de la Résistance ne nous montrent e
16 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
29 éférées de l’Américain. Déjà l’on nous annonce de Hollywood un superfilm sur la bombe atomique, où le love interest ne manquera p
17 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
30 ’en va courir l’aventure d’un fabuleux contrat de Hollywood . 17 novembre 1941 Premières falaises de l’Hudson, au bas d’un c
18 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
31 lité fade et flatteuse de tant de films tournés à Hollywood . Aux toundras, steppes, déserts, pampas, glaciers, et jungles qui cou
19 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
32 lent du peuple de France ; et des films tournés à Hollywood ou à Londres sur l’épopée secrète de la Résistance ne nous montrent e
20 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
33 éférées de l’Américain. Déjà l’on nous annonce de Hollywood un superfilm sur la bombe atomique, où le love interest ne manquera p
21 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
34 esse qui vit au cinéma et s’inspire des valeurs d’ Hollywood , en dépit de toutes les censures ? Car en Europe, le vice et la vertu
35 frait des mesures rationnelles ; les producers de Hollywood qui tentent follement de l’exciter tout en le contenant dans de « jus
22 1947, Vivre en Amérique. Avertissement
36 rutilants de l’Arizona, visiter quelques stars à Hollywood , les alpes de l’État de Washington à l’extrême nord, voler au sud ver
23 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
37 à l’étranger est une espèce humaine bien définie. Hollywood en a fait un héros qui traverse les intrigues du fascisme comme Rolan
38 de crise. Et j’ai voulu courir au plus pressé. Hollywood n’a plus d’idées Toujours plus impeccables du point de vue techniq
39 presse, et même les spectateurs, sont unanimes : Hollywood est à court d’inventions. Hollywood achète n’importe quoi, un roman n
40 nt unanimes : Hollywood est à court d’inventions. Hollywood achète n’importe quoi, un roman non terminé, un bout de conversation,
41 ver « une idée ». Je soupçonne, pour ma part, que Hollywood n’y trouvera rien, ou si elle y trouve un germe, le nettoiera. Car Ho
42 , ou si elle y trouve un germe, le nettoiera. Car Hollywood n’est plus qu’une machine. Elle transforme en argent tout ce qu’elle
43 mme les autres. N’insistons pas : la décadence de Hollywood n’a pas de raisons mystérieuses ou accidentelles. Ses causes sont évi
44 non pas d’autres. Pour mes cadets, d’ici dix ans, Hollywood ne sera plus qu’une légende : comme l’est déjà Greta Garbo, symbole d
45 gaie pour un fantôme… ⁂ Revenons à nos moutons de Hollywood . Je ne vois qu’un homme en Amérique, qui ait su tirer du cinéma quelq
46 re, avec des moyens peu coûteux. Les producers de Hollywood travaillent aujourd’hui avec des milliers d’employés, dans le cadre d
47 et français, céderont un jour… Et j’imagine alors Hollywood déserté, une ghost town pareille à ces villes éphémères que fit surgi
48 s sujets de scénarios historiques. Il se peut que Hollywood , après sa mort, devienne une merveilleuse « idée de film », et renais
49 ey dans un ranch du désert, mais pas trop loin de Hollywood . Archibald MacLeish à Washington. E. E. Cummings je ne sais où. Hemin
50 que Carson McCullers, vient de faire un séjour à Hollywood , dont elle ressort à demi morte d’ennui. Wystan Auden est professeur
51 qu’il fait de grosses ventes, et des ponts d’or à Hollywood . Deux mots sur ces « petites revues » ou little mags. Elles sont le p
52 tané, le chiffre du tirage, les sommes payées par Hollywood pour l’achat de « l’idée » et du titre d’un livre. Ces trois dames on
24 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
53 esse qui vit au cinéma et s’inspire des valeurs d’ Hollywood , en dépit de toutes les censures ? Car en Europe, le vice et la vertu
54 rait des mesures, rationnelles ; les producers de Hollywood qui tentent follement de l’exciter tout en le contenant dans de « jus
25 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
55 conséquence. Mais lorsqu’un comité de moralité de Hollywood légifère sur l’ampleur des décolletés, le port du sweater ou la durée
56 r d’un seul coup ? Enfin, sera-t-elle achetée par Hollywood  ? Et il vous pose tout tranquillement cette question : « Vous êtes éc
57 de paradis artificiels à bon marché : l’alcool et Hollywood , les pin-up-girls et le glamour, Superman et les sports à la radio. E
26 1951, Preuves, articles (1951–1968). Mesurons nos forces (avril 1951)
58 visme sibérien, ou que la « sottise qui paye » de Hollywood  ! Dans l’idée de la personne s’enracine toute liberté concrète, créat
27 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
59 cinéma indien qui, m’apprend-il, le cède de peu à Hollywood quant au volume de production, mais qu’il juge pire encore quant à la
28 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Contre-offensive de la liberté
60 ucrates russes, ou que la « sottise qui paye » de Hollywood  ! Dans l’idée de la personne s’enracine toute liberté concrète, créat
29 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le dialogue Europe-Amérique (juin-juillet 1952)
61 que des barbares : digests, Collier’s, Coca-Cola, Hollywood , comics et whisky. Il est vrai que nous copions vos romans et vos dan
62 posée par Ridgway. Quand on s’écrase aux films de Hollywood , quand toute une jeunesse s’intoxique de jazz hot, il faut bien const
30 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
63 nous l’héritage de la littérature, vulgarisé par Hollywood . Mais j’ai pu observer qu’ils tendent de plus en plus à prendre à son
31 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le dialogue Europe-Amérique (août-septembre 1952)
64 que des barbares : digests, Collier’s, Coca-Cola, Hollywood , comics et whisky. Il est vrai que nous copions vos romans et vos dan
65 posée par Ridgway. Quand on s’écrase aux films de Hollywood , quand toute une jeunesse s’intoxique de jazz hot, il faut bien const
32 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
66 la mystique d’Amour au love interest des films de Hollywood , on ne verra qu’une longue décadence, une vulgarisation au double sen
33 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
67 la mystique d’Amour au love interest des films de Hollywood , on ne verra qu’une longue décadence, une vulgarisation au double sen
34 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur un chassé-croisé d’idéaux et de faits (novembre 1959)
68 les chefs syndicalistes, et que les vulgarités de Hollywood , conformes aux recettes infaillibles, aient choqué le puritain bolché
35 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 8. La mission de l’artiste
69 s répandu, dans la bourgeoisie, dans le peuple, à Hollywood et dans les discours d’inauguration. L’Art avec majuscule est quelque
36 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
70 plus, aux fabricants de best-sellers. Le dogme de Hollywood sur la nécessité d’introduire du love interest à tout prix dans n’imp
37 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
71 nous l’héritage de la littérature, vulgarisé par Hollywood . Mais on les voit tentés, et de plus d’une manière, de prendre à son
38 1971, Articles divers (1970-1973). L’Amour et l’Europe : L’Express va plus loin… avec D. de Rougemont (12 avril 1971)
72 ant, devenant le thème imbécile et obligatoire de Hollywood et le modèle collectif de cette romance que chacun s’imagine devoir v