1 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
1 occupation tragique de la mort. Les Celtes, écrit Hubert , « ont cultivé certainement la métaphysique de la mort… Ils ont beauc
2 ifiables que dans les romans de la Table ronde. ⁂ Hubert note très bien à propos de la littérature galloise que « c’est un mir
3 d’un service très périlleux. « Les tournois, note Hubert , font certainement partie de ce vaste système de concurrence et de su
4 s ces faits rendent vraisemblable la conclusion d’ Hubert  : à savoir que la mythologie celtique s’est transmise au cycle courto
5 ie celtique s’est incorporé à l’esprit européen. ( Hubert , II, p. 336.) Ce « son particulier », que Bédier sut faire rendre à s
6 5. 19. Op. cit., I, p. 18, et II, p. 328. 20. Hubert , op. cit., I, p. 20. Et de même, les dieux gaulois prennent des noms
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
7 occupation tragique de la mort. Les Celtes, écrit Hubert , « ont cultivé certainement la métaphysique de la mort… Ils ont beauc
8 ifiables que dans les romans de la Table ronde. ⁂ Hubert note très bien à propos de la littérature galloise que « c’est un mir
9 d’un service très périlleux. « Les tournois, note Hubert , font certainement partie de ce vaste système de concurrence et de su
10 s ces faits rendent vraisemblable la conclusion d’ Hubert  : à savoir que la mythologie celtique s’est transmise au cycle courto
11 ie celtique s’est incorporé à l’esprit européen. ( Hubert , II, p. 336.) Ce « son particulier », que Bédier sut faire rendre à s
12 . 22. Op. cit., I, p. 18, et II, p. 328. 23. - Hubert , op. cit., I, p. 20. Et de même, les dieux gaulois prennent des noms
13 rs. 93. H. Hubert, les Celtes, II, p. 286. 94. Hubert , op. cit., Il, p. 298. 95. Histoire de Bailé au doux langage, trad.
14  Dottin (L’Épopée irlandaise, Paris, 1926). 96. Hubert , op. cit., II, p. 243-244. 97. Voir l’intéressante étude de M. Alexa
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
15 occupation tragique de la mort. Les Celtes, écrit Hubert , « ont cultivé certainement la métaphysique de la mort… Ils ont beauc
16 ifiables que dans les romans de la Table ronde. ⁂ Hubert note très bien à propos de la littérature galloise que « c’est un mir
17 d’un service très périlleux. « Les tournois, note Hubert , font certainement partie de ce vaste système de concurrence et de su
18 s ces faits rendent vraisemblable la conclusion d’ Hubert  : à savoir que la mythologie celtique s’est transmise au cycle courto
19 ie celtique s’est incorporé à l’esprit européen. ( Hubert , II, p. 336.) Ce « son particulier », que Bédier sut faire rendre à s
4 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Erreurs sur l’Allemagne (1er mai 1940)
20 des languedociennes et bretonnes, donc celtiques. Hubert , le meilleur celtisant français, n’écrit-il pas que dans la mythologi
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
21 ssi aux psychologues (Minkowski), à la logique de Hubert , à la phénoménologie de Husserl. Les travaux scientifiques de Dandieu
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
22 sant (en vue de mon cours) Jung, Dumézil, Frazer, Hubert et Maus, Frobenius. Hier c’était au Brevoort, la seule terrasse de ca
7 1974, Articles divers (1974-1977). Alexandre Marc et l’invention du personnalisme (1974)
23 avaux de l’École de Vienne (Wittgenstein, Carnap, Hubert ), et écrit en collaboration fréquente avec Dandieu. René Dupuis et Je