1 étique. « Création extrêmement originale », écrit M. Jeanroy (quitte à reprocher à chacun de ces poètes pris à part de n’avoir mon

2 ler la pensée sous l’ambiguïté des expressions » ( Jeanroy ). Est-ce vraiment si « curieux » cette prudence, en cette époque préc

3 e de l’époque. Un spécialiste aussi sceptique que Jeanroy n’a pas été sans le remarquer. Parlant de la lyrique abstraite des tr

4 ler de l’école du trobar clus, déjà citée, et que M. Jeanroy définit en ces termes : « Un autre moyen (pour « embarrasser le lecte

5 expression de sentiments religieux de l’époque58, Jeanroy écrit : « Dans ces affirmations hardies, il y a du reste une erreur d

6 princesse lointaine » qu’il veut aimer. Cependant M. Jeanroy s’inquiète de trouver dans ses poèmes « des détails qui paraissent no

7  gras, delgat et gen ». Or la première phrase, où Jeanroy veut voir un trait biographique, détient un sens mystique évident : «

8 de symboles. Ceci encore : les doutes qu’exprime M. Jeanroy , je n’ai pas été sans les concevoir au début de cette recherche. Et l

9 s’est réglé jusqu’ici. (Cf. note 1, p. 91.) 60. M. Jeanroy cite des textes probants de ces poètes dans sa thèse latine. De nostr

10 . Pour dissiper cette illusion, M. Gilson — après M. Jeanroy — invoque le langage « d’une crudité intraduisible » d’un Marcabru et

11 étique. « Création extrêmement originale », écrit M. Jeanroy (quitte à reprocher à chacun de ces poètes pris à part de n’avoir mon

12 e de l’époque. Un spécialiste aussi sceptique que Jeanroy n’a pas été sans le remarquer. Parlant de la lyrique abstraite des tr

13 ler de l’école du trobar clus, déjà citée, et que M. Jeanroy définit en ces termes : « Un autre moyen (pour « embarrasser le lecte

14 expression de sentiments religieux de l’époque60, Jeanroy écrit : « Dans ces affirmations hardies, il y a du reste une erreur d

15 princesse lointaine » qu’il veut aimer. Cependant M. Jeanroy s’inquiète de trouver dans ses poèmes « des détails qui paraissent no

16  gras, delgat et gen ». Or la première phrase, où Jeanroy veut voir un trait biographique, détient un sens mystique évident : «

17 ion à une Anthologie des troubadours, 1927. 33. Jeanroy , La Poésie lyrique des troubadours, I, p. 69. 34. E. Wechsler, Das K

18 e des dépouilles de sens… 83. Note du professeur Jeanroy  : « C’est-à-dire, si vous parvenez à supprimer ses conséquences ». 8

19 étique. « Création extrêmement originale », écrit M. Jeanroy (quitte à reprocher à chacun de ces poètes pris à part de n’avoir mon

20 e de l’époque. Un spécialiste aussi sceptique que Jeanroy n’a pas été sans le remarquer. Parlant de la lyrique abstraite des tr

21 ler de l’école du trobar clus, déjà citée, et que M. Jeanroy définit en ces termes : « Un autre moyen (pour « embarrasser le lecte

22 expression de sentiments religieux de l’époque53, Jeanroy écrit : « Dans ces affirmations hardies, il y a du reste une erreur d

23 princesse lointaine » qu’il veut aimer. Cependant M. Jeanroy s’inquiète de trouver dans ses poèmes « des détails qui paraissent no

24  gras, delgat et gen ». Or la première phrase, où Jeanroy veut voir un trait biographique, détient un sens mystique évident : «

25 des dépouilles de sens… 75. Note du professeur Jeanroy  : « C’est-à-dire, si vous parvenez à supprimer ses conséquences. » 7

26 . Pour dissiper cette illusion, M. Gilson — après M. Jeanroy — invoque le langage « d’une crudité intraduisible » d’un Marcabru et

27 e des dépouilles de sens… 25. Note du professeur Jeanroy  : « C’est-à-dire, si vous parvenez à supprimer ses conséquences. » 2

28 Chevaliers et hauts barons 22 Je veux bien que Jeanroy ait compté près de cinq-cents troubadours (dont on ne connaît souvent

29 , ou Marguerite de Turenne, ou bien encore, selon Jeanroy , « un personnage inconnu »… 231. René Nelli et René Lavaud, Les Trou