1 ’y retremper. Les appels de l’Orient, ce sont les Keyserling , les Guénon, qui les font entendre, autant et plus que les Tagore et

2 s ailleurs depuis longtemps par des maîtres comme Keyserling , Ferrero, commencent à être prises au sérieux en France par quelques

3 Conférences du comte Keyserling  (avril 1931)f L’auteur du Journal de voyage d’un philosophe, d’Ana

4 ce, sifflé à la seconde, ovationné à la dernière, Keyserling , il faut le reconnaître, a su, par trois fois, tenir en haleine une s

5 le réveil au sein même du triomphe des machines, Keyserling apparaît comme un type très représentatif de l’Occident. Il n’a rien

6 sis mal informés nous mettaient naguère en garde. Keyserling voit la cause du développement exagéré de la technique dans le fait q

7 graves ne sont peut-être que transitoires, ajoute Keyserling . Nous traversons une crise d’adaptation, et il s’agit de la résoudre

8 ation. En somme, on pourrait résumer la pensée de Keyserling en disant qu’il oppose à l’idéal actuel d’assurances à tous les degré

9 n idéal positif, immédiat parce qu’éternel. Là où Keyserling dit seulement adaptation, nous ajoutons régénération ; et lorsqu’il d

10 sons connaissance mystique. f. « Conférences du comte Keyserling  », Foi et Vie, Paris, n° 26, avril 1931, p. 287-288.

11 ntaux de Spengler (Le Déclin de l’Occident) et du comte Keyserling . Il faut reconnaître que l’état général du pays explique que ces ouvr

12 le lui apparaît nécessairement comme un mensonge ( Keyserling ). L’intelligence n’a plus alors qu’à se mettre au service des nécessi

13 le prochain de personne. Ou encore, comme le dit Keyserling , c’est l’homme pour lequel le prochain est devenu tout simplement « l

14 lus de « prochain », mais seulement, comme le dit Keyserling , des « voisins inévitables » qu’il fallait, selon les cas, envier ou

15 Le Römerbrief, de Barth, en est au 20e mille. Un Keyserling , un Heidegger, un Karl Jaspers ont, dès longtemps, conquis le « grand

16 lus de « prochain », mais seulement, comme le dit Keyserling , des « voisins inévitables » qu’il fallait, selon les cas, envier ou

17 lus de « prochain », mais seulement, comme le dit Keyserling , des « voisins inévitables » qu’il fallait, selon les cas, envier ou

18 ollectifs, l’hystérie organisée, bref tout ce que Keyserling appelle l’irruption des forces telluriques. Keyserling disait un jour

19 rling appelle l’irruption des forces telluriques. Keyserling disait un jour qu’il considérait à cet égard la révolution hitlérienn

20 et exigeante personnalité. » L’homme moderne, dit Keyserling , n’a pas de prochains ; il n’a que des voisins inévitables. Voilà Law

21 es « voisins inévitables » (comme l’a si bien dit Keyserling ). En relisant mes notes, je m’aperçois que c’est la nostalgie d’une v

22 pourrait croire que c’est à peu près l’idéal que Keyserling juge à notre mesure, celui du tenancier de grand palace. (Ramuz, plus

23 que des « voisins inévitables », selon le mot de Keyserling , et non pas du tout des prochains. Car le prochain, dans sa définitio

24 pourrait croire que c’est à peu près l’idéal que Keyserling juge à notre mesure, celui du tenancier du grand palace. (Ramuz, plus

25 , Renouvier, ou de nos jours un William Stern, un Keyserling , un C. G. Jung, et l’école californienne de The Personalist. Mais la

26 que des « voisins inévitables », selon le mot de Keyserling , et non pas du tout « le prochain ». Car le prochain, dans sa définit

27 y, Gide, Eliot, Auden, Paulhan, Saint-John Perse, Keyserling , C. J. Burckhardt. La France l’ignore encore, malgré trois traduction

28 réalité européenne qu’un Spengler, un Toynbee, un Keyserling , voire un Ortega y Gasset. C’est un instrument de travail sans nul do

29 agrégation d’allemand, traducteur incomparable de Keyserling et de Rudolf Kassner, professeur de lycée à Marseille et Oran, puis s

30 y, Gide, Eliot, Auden, Paulhan, Saint-John Perse, Keyserling , C. J. Burckhardt. La France l’ignore encore, malgré trois traduction

31 , physiques, traditionnelles et spirituelles, que Keyserling et André Siegfried. Le comte Hermann de Keyserling (1880-1946), rendu

32 ue leurs masses envient son régime matériel — que Keyserling attribue la mission de sauver l’Esprit : Il s’agit de tirer de chaqu

33 opre action, Siegfried rejoint les conclusions de Keyserling  : À la vérité, il y a dans l’Europe une destinée contradictoire, due

34 pour la conscience une vérité première. Certes, Keyserling ne sous-estime pas les dangers d’un « supranationalisme virulent », m

35 réjugés. En revanche, des livres tels que ceux de Keyserling sur l’Inde et sur l’Amérique latine ; de H. Zimmer, de F. Maraini, Al

36 agrégation d’allemand, traducteur incomparable de Keyserling et de Rudolf Kassner, professeur de lycée à Marseille et Oran, puis s

37 classe dont beaucoup d’étrangers répètent — comme Keyserling  — qu’elle n’existe pas, « qu’il n’y a pas de noblesse en Suisse »… Il

38 — comme Berdiaev, Maritain, Eliot, Jaspers, Jung, Keyserling , et parfois Valéry — mais les politiciens, les économistes, les milit

39 . Nous n’avons plus de « prochain », comme disait Keyserling , mais seulement des « voisins inévitables », d’autant plus malveillan

40 er les noms allemands de Spengler, Thomas Mann et Keyserling  ; français de Sorel, Valéry, Gide, Jules Romains et Romain Rolland ;

41 er les noms allemands de Spengler, Thomas Mann et Keyserling  ; français de Sorel, Valéry, Gide, Jules Romains et Romain Rolland ;

42 ulement des « voisins inévitables », comme disait Keyserling . Puisque vous parlez d’individu, précisons qu’il y a eu mauvaise inte