1 lle et des bases d’un langage commun. Puis M. van Kleffens , en juriste rompu aux négociations gouvernementales, exposa sans pass

2 lle et des bases d’un langage commun. Puis M. van Kleffens , en juriste rompu aux négociations gouvernementales, exposa sans pass

3 nale n’est exercée en fait que par l’État. M. van Kleffens l’a définie comme « la faculté, pour un État, d’agir à sa guise, tant

4 ui la composent conservent leur identité. M. van Kleffens approuve les remarques du professeur Toynbee sur les loyalismes multi

5 eri, ancien président du Conseil italien ; M. van Kleffens , ancien ministre des Affaires étrangères des Pays-Bas et ancien ambas

6 nale n’est exercée en fait que par l’État. M. van Kleffens l’a définie comme « la faculté, pour un État, d’agir à sa guise, tant

7 x rapporteurs principaux — MM. A. de Gasperi, van Kleffens , E. Kogon, Löfstedt, R. Schuman et Toynbee — entourés de quinze publi

8 st, et pour ceux de l’Ouest, MM. P.-H. Spaak, van Kleffens et Kerstens, Trygvie Lie, Bech, Aghnides, Dejean, et plus tard Massig

9 Robert Schuman, Arnold Toynbee, l’ambassadeur van Kleffens , le professeur Eugen Kogon, et M. Löfstedt, recteur de l’Université d

10 ert Schuman, Arnold Toynbee, l’ambassadeur E. van Kleffens , le prof. Eugen Kogon, et le Dr Einar Löfstedt, recteur de l’Universi

11 lemand Eugen Kogon, l’ambassadeur néerlandais van Kleffens , et M. Löfstedt, recteur de l’Université de Lund), réunis en table ro

12 Alcide de Gasperi, l’ambassadeur néerlandais van Kleffens , le professeur Eugen Kogon, l’une des figures légendaires de la Résis