1
ar Retz, Bernardin de Saint-Pierre par Laclos, et
Lamartine
par Rimbaud. Un tel « signe » n’est pas négligeable : la vieille droi
2
ble au « Livre de Job » et aux proverbes zen qu’à
Lamartine
ou même à Rilke, reconnaîtront dans les dialogues et les paraboles de
3
vorable au Livre de Job et aux proverbes zen qu’à
Lamartine
ou même à Rilke, reconnaîtront dans les dialogues et les paraboles de
4
énovée par les principes mêmes de sa Révolution.
Lamartine
, ministre des Affaires étrangères en 1848, tient à rassurer l’Europe
5
vorable au Livre de Job et aux proverbes zen qu’à
Lamartine
ou même à Rilke, reconnaîtront dans les dialogues et les paraboles de
6
visoire établi par la révolution de février 1848,
Lamartine
adresse aux agents diplomatiques français un Manifeste aux Puissances
7
s collectifs. Le recours à l’Europe mystique d’un
Lamartine
ne serait plus qu’une clause de style dès qu’au nom de leurs intérêts
8
stré par des textes de Gioberti et de Mazzini, de
Lamartine
et de Hugo, de Mickiewicz, de Donoso Cortès et même de Bluntschli. Il
9
u feu par les Mazzini, Garibaldi, Fourier, Heine,
Lamartine
et Mickiewicz, tous partisans d’États-Unis d’Europe basés sur la volo
10
e entière : Victor Hugo se prenait pour un pape,
Lamartine
pour un homme d’État et Barrès pour un général. Paul Valéry attend de
11
ociales que la poésie de l’avenir aura à assumer,
Lamartine
esquisse, dès 1837, le portrait d’un poète « responsable, actif et en