1 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)
1 (septembre 1930)bg On ne sait presque rien de Lautréamont , sinon qu’il s’appelait Isidore Ducasse et qu’il composa vers sa ving
2 u’elles nécessitent ? Celle-ci, entre autres, que Lautréamont ne va pas à la cheville de Rimbaud. (Ce n’est pas avec un Dieu pour r
3 . M. Gide déclarait naguère qu’il fallait voir en Lautréamont « le maître des écluses pour la littérature de demain ». Concession u
2 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Éluard, L’Évidence poétique (juin 1937)
4 et tout le faux de ce mouvement. Thème, repris de Lautréamont  : « La poésie doit être faite par tous. Non par un. » On a mis le poè
3 1974, Articles divers (1974-1977). Alexandre Marc et l’invention du personnalisme (1974)
5 faite par tous répétaient les surréalistes après Lautréamont , qui se trompait, ou se moquait simplement. Mais nous savions qu’une
4 1978, Cadmos, articles (1978–1986). L’Intellectuel contre l’Europe (été 1978)
6 fait pour tous et « par tous » (selon l’oracle de Lautréamont ). En tant qu’elles ambitionnent de faire la mode, d’autres avant-gard