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heure, de trop près, on ne le voyait pas… V. —
Lisbonne
10 septembre 1940 Blanche et bleue dans l’immense lumière de la li
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me. Le fait est là : nous allons en dix heures de
Lisbonne
à New York au Pacifique. Un très long voyage aujourd’hui nous ramèner
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me. Le fait est là : nous allons en dix heures de
Lisbonne
à New York, de New York au Pacifique. Un très long voyage aujourd’hui
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ion : ce que l’on entendait sur le paquebot entre
Lisbonne
et New York (21 septembre 1946)ae Lisbonne, 8 septembre 1940 Blanc
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tre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)ae
Lisbonne
, 8 septembre 1940 Blanche et bleue dans l’immense lumière de la liber
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in dit vrai, les Anglais tiennent. L’autre jour à
Lisbonne
une lady me disait : « Nous ne serons jamais battus, parce que nous s
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ion : ce que l’on entendait sur le paquebot entre
Lisbonne
et New York », Le Figaro littéraire, Paris, n° 27, 21 septembre 1946,
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t, à sept heures du matin, je prenais la route de
Lisbonne
. 5. On se rappelle, en Suisse, que le 25 juillet, le général Guisan
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a Fonte (Portugal), 28 août 1940 La « route de
Lisbonne
» restera, aux yeux de l’historien futur, l’un des symboles les plus
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vingt fois de s’y perdre, et n’atteint finalement
Lisbonne
qu’en vertu, semble-t-il, d’un étrange caprice, ou d’une négligence i
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u monde que nous commençons d’entrevoir. Route de
Lisbonne
, route de l’émigration et des gros chèques, des agents plus ou moins
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eures du matin, si tout va bien, nous atteindrons
Lisbonne
. Où coucherons-nous ? Le Portugal a vu passer déjà des centaines de m
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à grandes cornes traverse la place au dessert. À
Lisbonne
, nous avons trouvé une chambre immense pour nous quatre. Et le lendem
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s la pinède qui vibre au vent chaud de la mer…
Lisbonne
, 10 septembre 1940 Blanche et bleue dans l’immense lumière de la l
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rté. Car tel est le sadisme policier. De Genève à
Lisbonne
, nous avons traversé sept contrôles différents de douane et de police
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in dit vrai, les Anglais tiennent. L’autre jour à
Lisbonne
une lady me disait : « Nous ne serons jamais battus, parce que nous s
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e. Le fait est là : nous allons en dix heures de
Lisbonne
à New York, ou de New York au Pacifique. Un très long voyage aujourd’
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t, à sept heures du matin, je prenais la route de
Lisbonne
. 85. Organisation culturelle en relations étroites avec le gouverne
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Estoril (Portugal), 28 août 1940 La « route de
Lisbonne
» restera l’un des symboles les plus typiques de l’an de grâce 1940.
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vingt fois de s’y perdre, et n’atteint finalement
Lisbonne
qu’en vertu, semble-t-il, d’un étrange caprice, ou d’une négligence i
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u monde que nous commençons d’entrevoir. Route de
Lisbonne
, route de l’émigration et des gros chèques, des agents plus ou moins
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eures du matin, si tout va bien, nous atteindrons
Lisbonne
. Où coucherons-nous ? Le Portugal a vu passer déjà des centaines de m
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à grandes cornes traverse la place au dessert. À
Lisbonne
, nous avons trouvé une chambre immense pour nous quatre. Et le lendem
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s la pinède qui vibre au vent chaud de la mer…
Lisbonne
, 10 septembre 1940 Blanche et bleue dans l’immense lumière de la l
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rté. Car tel est le sadisme policier. De Genève à
Lisbonne
, nous avons traversé sept contrôles différents de douane et de police
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t l’Occident est paru à New York. On m’a écrit à
Lisbonne
déjà que les critiques sont excellentes, mais comment sont-elles lues
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in dit vrai, les Anglais tiennent. L’autre jour à
Lisbonne
, Lady M. of A… me disait : « Nous ne serons jamais battus, parce que
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est un faux dilemme. Nous allons en dix heures de
Lisbonne
à New York au Pacifique. Un très long voyage aujourd’hui nous ramèner
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ambassadeur à Washington, actuellement ministre à
Lisbonne
; le professeur Kogon, directeur des Frankfurter Hefte et président d
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ures humiliations qui séparent le naufrage devant
Lisbonne
du départ des petites caravelles au matin de Palos de Moguer. Toutes
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gré, et n’en compte que 78 pour la distance entre
Lisbonne
et l’Inde. Il tire ses « preuves » de l’Imago Mundi de Pierre d’Ailly
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lenhoff-Uitgever, Amsterdam ; Guimaraes Editores,
Lisbonne
. 45. Le directeur du CEC a les fonctions de directeur éditorial, tan
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août, à 7 heures du matin, je prenais la route de
Lisbonne
. J’avais acheté, avant de monter dans l’autobus, trois journaux du ma
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de Dubrovnik dans l’enceinte de ses remparts, de
Lisbonne
sur l’Atlantique à Venise sur l’Adriatique, dont les théâtres baroque
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’Édimbourg à Sofia, de Stockholm à Grenade, et de
Lisbonne
à Varsovie. Tout ce « reste » atlantique et nordique, celte ou germai
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de terre qu’un charlatan vendait dans les rues de
Lisbonne
, selon Voltaire. Je lui rappellerai, en privé, que les tremblements d
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de Dubrovnik dans l’enceinte de ses remparts, de
Lisbonne
sur l’Atlantique à Venise sur l’Adriatique, dont les théâtres baroque
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, Strasbourg, Turin, Vienne, Barcelone, Zagreb ou
Lisbonne
, — distantes en moyenne d’une heure d’avion — ne tiennent des réunion
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qu’ils occupent tout le continent, de Varsovie à
Lisbonne
, Gibraltar, Brindisi et Athènes, ils se trouveraient terriblement dil