1 lambeaux. Par le pinceau, par l’épée et la plume, Manuel n’a cessé de provoquer la mort. Dans toute son œuvre, au cœur de son

2 certezza. Ainsi chantait Laurent le Magnifique. Manuel et ses contemporains savent et disent à leur manière que de demain ri

3 isie, mais énergique : je ne cesse d’admirer chez Manuel la plupart des vertus qui nous manquent. Böcklin manque de sobriété,

4 ou cernent brutalement des figures sans mystère. Manuel est un nerveux, mais de ferme écriture : un imaginatif, mais sans exc

5 ien perçu. ⁂ Mais je m’attarde à ces tableaux, et Manuel n’est pas un « artiste » au sens moderne et bien suspect du terme. Un

6 he aux carrières monotones. Mais la grandeur d’un Manuel , et de plusieurs à son époque, est d’avoir su conduire leur vie vers

7 activités. Fougueux et appliqué dans sa peinture, Manuel n’hésite pas un instant à planter là pinceaux et chevalet lorsqu’ayan

8 courant toujours au plus pressé, au plus vivant, Manuel se fait théologien ; puis, après la victoire, homme d’État. Je vois a

9 , aussi vaste qu’on l’imagine. ⁂ Le 21 mars 1530, Manuel parut pour la dernière fois à la Diète de Baden. Du 1er au 12 avril,

10 — écrit un chroniqueur du temps —, notre banneret Manuel apparut parmi nous comme un flambeau brûlant et éclatant. Survint alo

11 décimait les Suisses à bout portant. Le poème de Manuel répond à une chanson glorifiant la victoire des Allemands. 16. Amen

12 ob ! – La plupart des autres drames et satires de Manuel se terminent par la mention du « Schwyzerdegen », qui demeure sa vrai

13 ambeaux. Par le pinceau, par l’épée et la plume, Manuel n’a cessé de provoquer la mort. Dans toute son œuvre, au cœur de son

14 certezza. Ainsi chantait Laurent le Magnifique. Manuel et ses contemporains savent et disent à leur manière que de demain ri

15 isie, mais énergique : je ne cesse d’admirer chez Manuel la plupart des vertus qui nous manquent. Böcklin manque de sobriété,

16 ou cernent brutalement des figures sans mystère. Manuel est un nerveux, mais de ferme écriture : un imaginatif, mais sans exc

17 en perçu. ⁂ Mais je m’attarde à ces tableaux, et Manuel n’est pas un « artiste » au sens moderne et bien suspect du terme. Un

18 he aux carrières monotones. Mais la grandeur d’un Manuel , et de plusieurs à son époque, est d’avoir su conduire leur vie vers

19 activités. Fougueux et appliqué dans sa peinture, Manuel n’hésite pas un instant à planter là pinceaux et chevalet lorsque aya

20 courant toujours au plus pressé, au plus vivant, Manuel se fait théologien ; puis, après la victoire, homme d’État. Je vois a

21 » aussi vaste qu’on l’imagine. ⁂ Le 21 mars 1530, Manuel parut pour la dernière fois à la Diète de Baden. Du 1er au 12 avril,

22 — écrit un chroniqueur du temps — notre banneret Manuel apparut parmi nous comme un flambeau brûlant et éclatant. Survint alo

23 décimait les Suisses à bout portant. Le poème de Manuel répond à une chanson glorifiant la victoire des Allemands. 2. Amen.

24 lob ! La plupart des autres drames et satires de Manuel se terminent par la mention du « Schwyzerdegen » qui demeure sa vraie

25 ambeaux. Par le pinceau, par l’épée et la plume, Manuel n’a cessé de provoquer la mort. Dans toute son œuvre, au cœur de son

26 certezza. Ainsi chantait Laurent le Magnifique. Manuel et ses contemporains savent et disent à leur manière que de demain ri

27 isie, mais énergique : je ne cesse d’admirer chez Manuel la plupart des vertus qui nous manquent. Böcklin manque de sobriété,

28 ou cernent brutalement des figures sans mystère. Manuel est un nerveux, mais de ferme écriture : un imaginatif, mais sans exc

29 ien perçu. ⁂ Mais je m’attarde à ces tableaux, et Manuel n’est pas un « artiste » au sens moderne et bien suspect du terme. Un

30 he aux carrières monotones. Mais la grandeur d’un Manuel , et de plusieurs à son époque, est d’avoir su conduire leur vie vers

31 activités. Fougueux et appliqué dans sa peinture, Manuel n’hésite pas un instant à planter là pinceaux et chevalet lorsque aya

32 courant toujours au plus pressé, au plus vivant, Manuel se fait théologien ; puis, après la victoire, homme d’État. Je vois a

33 » aussi vaste qu’on l’imagine. ⁂ Le 21 mars 1530, Manuel parut pour la dernière fois à la Diète de Baden. Du 1er au 12 avril,

34 ré, écrit un chroniqueur du temps, notre banneret Manuel apparut parmi nous comme un flambeau brûlant et éclatant. Survint alo

35 décimait les Suisses à bout portant. Le poème de Manuel répond à une chanson glorifiant la victoire des Allemands. 76. Amen

36 lob ! La plupart des autres drames et satires de Manuel se terminent par la mention du « Schwyzerdegen » qui demeure sa vraie

37 par leur moyen qu’on l’a défaite : le Livre et le Manuel , autant que la Presse, ont fomenté depuis un siècle la plupart de nos

38 s à l’union nécessaire. C’est donc au Livre et au Manuel qu’il appartient de combattre le mal qu’ils ont causé et de nous guér

39 Avenir économique de la Pologne (1917). Son Petit Manuel de la politique anglaise, publié à Paris sans nom d’auteur mais préfa

40 nes sont le réformateur Zwingli, le peintre-poète Manuel , le médecin-philosophe Paracelse, et l’architecte Fontana. Mais de ce

41 empanachés dont les peintres du temps, Urs Graf, Manuel , Holbein, nous ont laissé l’image truculente et farouche ? Il va fall

42 ambeaux. Par le pinceau, par l’épée et la plume. Manuel n’a cessé de provoquer la mort. Dans toute son œuvre, au cœur de son

43 certezza. Ainsi chantait Laurent le Magnifique. Manuel et ses contemporains savent et disent à leur manière que « de demain

44 isie, mais énergique : je ne cesse d’admirer chez Manuel la plupart des vertus qui nous manquent. Böcklin manque de sobriété,

45 ou cernent brutalement des figures sans mystère. Manuel est un nerveux, mais de ferme écriture : un imaginatif, mais sans exc

46 rien perçu. Mais je m’attarde à ces tableaux, et Manuel n’est pas un « artiste » au sens moderne et bien suspect du terme. Un

47 he aux carrières monotones. Mais la grandeur d’un Manuel , et de plusieurs à son époque, est d’avoir su conduire leur vie vers

48 activités. Fougueux et appliqué dans sa peinture, Manuel n’hésite pas un instant à planter là pinceaux et chevalet lorsque, ay

49 courant toujours au plus pressé, au plus vivant, Manuel se fait théologien ; puis, après la victoire, homme d’État. Je vois a

50 r » aussi vaste qu’on l’imagine. Le 21 mars 1530, Manuel parut pour la dernière fois à la Diète de Baden. Du 1er au 12 avril,

51 — écrit un chroniqueur du temps — notre banneret Manuel apparut parmi nous comme un flambeau brûlant et éclatant. Survint alo

52 décimait les Suisses à bout portant. Le poème de Manuel répond à une chanson glorifiant la victoire des Allemands. 89. Amen

53 lob ! La plupart des autres drames et satires de Manuel se terminent par la mention Schwyzerdegen, qui demeure sa vraie signa