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e la Gnose, de même que les doctrines de Mani (ou
Manès
), plonge des racines dans la religion dualiste de l’Iran36. Quelle ét
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t aux doctrines avestiques — dont s’était inspiré
Manès
— l’opposition du monde de la Lumière et du monde des Ténèbres, dont
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ue la Gnose, de même que les doctrines de Mani ou
Manès
, plonge des racines dans la religion dualiste de l’Iran. Quelle était
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t, en cela semblable à celui des gnostiques et de
Manès
, ne s’est pas vraiment incarné : il n’a pris que l’apparence d’un hom
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t aux doctrines avestiques — dont s’était inspiré
Manès
— l’opposition du monde de la Lumière et du monde des Ténèbres, dont
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éation visible. Des siècles avant l’apparition de
Manès
, on peut déceler la même opposition dans les mythologies indo-europée
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aires. Ensuite, il semble bien que la doctrine de
Manès
(qui était originaire de l’Iran) a pris, selon les peuples et leurs c
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it17 sont invoqués et loués successivement Jésus,
Manès
, Ormuzd, Çakyamouni, et enfin Zarhust (Zarathustra ou Zoroastre). De
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lamente le Moi spirituel d’un disciple du sauveur
Manès
, dans l’hymne du Destin de l’Âme. L’élan de l’âme vers la Lumière n’e
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ue la Gnose, de même que les doctrines de Mani ou
Manès
, plonge des racines dans la religion dualiste de l’Iran. Quelle était
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t, en cela semblable à celui des gnostiques et de
Manès
, ne s’est pas vraiment incarné : il n’a pris que l’apparence d’un hom
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t aux doctrines avestiques — dont s’était inspiré
Manès
— l’opposition du monde de la Lumière et du monde des Ténèbres, dont
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ssance aux sons mélancoliques du luth inventé par
Manès
. Et cette musique de gnose n’a cessé d’inquiéter le cœur sauvage de l
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ssance aux sons mélancoliques du luth inventé par
Manès
. Et cette musique de gnose n’a cessé d’inquiéter le cœur sauvage de l