1 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
1 ndu au défi qu’ils lui adressaient. MM. Dupuis et Marc comblent aujourd’hui une lacune qui justifiait trop bien, aux yeux de
2 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
2 sses russes et fascistes, voir R. Dupuis et Alex. Marc  : Jeune Europe (Plon). Sur les problèmes généraux du temps considérés
3 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
3 ons ? Prenons, à peu près au hasard, l’exemple de Marc , chapitre 16. De ce que l’ange qui apparaît au tombeau vide rassure l
4 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
4 sses russes et fascistes, voir R. Dupuis et Alex. Marc  : Jeune Europe (Plon). Sur les problèmes généraux du temps considérés
5 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
5 ristan et la princesse voguent vers les terres de Marc . En haute mer, le vent tombe, la chaleur est pesante. Ils ont soif. L
6 ion qu’il a reçue du roi. Il conduit donc Iseut à Marc , malgré leur trahison. Brangien, substituée à Iseut par ruse, passera
7 ’une nouvelle ruse (scène du verger), il convainc Marc de son innocence et revient à la cour. Le nain Frocine, complice des
8 ine, il sème de la « fleur de blé ». Tristan, que Marc a chargé d’une nouvelle mission, veut rejoindre une dernière fois son
9 qu’il a reçue à la jambe se rouvre par l’effort. Marc et les barons, alertés par le nain, font irruption dans le dortoir. I
10 ils y mènent une vie « aspre et dure ». Un jour, Marc les surprend endormis. Mais il se trouve que Tristan a déposé entre l
11 quel Tristan offre au roi de lui rendre sa femme. Marc promet son pardon. Les amants se séparent à l’approche du cortège roy
12 er dans le pays jusqu’à ce qu’il soit certain que Marc la traite bien. Puis, par une dernière ruse féminine, exploitant cett
13 e cet acte8. Pourquoi Tristan rend-il la reine à Marc , et cela, même dans les versions où le philtre continue d’agir ? Si,
14 « félons » les barons qui défendent l’honneur de Marc  ? Même si la jalousie les meut, ils n’ont du moins ni menti ni trompé
15 fidélité au suzerain voulait que Tristan livre à Marc la fiancée qu’il alla quérir10, on ne peut s’empêcher de penser que c
16 qu’ils ont bu le philtre. Cependant il la livre à Marc  : c’est que la règle de l’amour courtois s’oppose à ce qu’une telle p
17 ces sociales qui menacent les amants (présence de Marc , méfiance des barons, jugement de Dieu, etc.), Tristan bondit par-des
6 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
18 ernelle, soit… les druides.83 » Tristan élevé par Marc , son oncle maternel, devient ainsi, en vertu du fosterage, le « fils 
7 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
19 voir également dans la rivalité de Tristan et de Marc le symbole de la lutte entre les Bretons armoricains et les Gallo-Fra
8 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
20 ristan et la princesse voguent vers les terres de Marc . En haute mer, le vent tombe, la chaleur est pesante. Ils ont soif. L
21 ion qu’il a reçue du roi. Il conduit donc Iseut à Marc , malgré leur trahison. Brangien, substituée à Iseut par ruse, passera
22 ’une nouvelle ruse (scène du verger), il convainc Marc de son innocence et revient à la cour. Le nain Frocine, complice des
23 ine, il sème de la « fleur de blé ». Tristan, que Marc a chargé d’une nouvelle mission, veut rejoindre une dernière fois son
24 qu’il a reçue à la jambe se rouvre par l’effort. Marc et les barons, alertés par le nain, font irruption dans le dortoir. I
25 ils y mènent une vie « aspre et dure ». Un jour, Marc les surprend endormis. Mais il se trouve que Tristan a déposé entre l
26 quel Tristan offre au roi de lui rendre sa femme. Marc promet son pardon. Les amants se séparent à l’approche du cortège roy
27 er dans le pays jusqu’à ce qu’il soit certain que Marc la traite bien. Puis, par une dernière ruse féminine, exploitant cett
28 cet acte10. Pourquoi Tristan rend-il la reine à Marc , et cela même dans les versions où le philtre continue d’agir ? Si, c
29 « félons » les barons qui défendent l’honneur de Marc  ? Même si la jalousie les meut, ils n’ont du moins ni menti ni trompé
30 la fidélité au suzerain exige que Tristan livre à Marc la fiancée qu’il alla quérir12, on ne peut s’empêcher de penser que c
31 qu’ils ont bu le philtre. Cependant il la livre à Marc  : c’est que la règle de l’amour courtois s’oppose à ce qu’une telle p
32 ces sociales qui menacent les amants (présence de Marc , méfiance des barons, jugement de Dieu, etc.), Tristan bondit par-des
9 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
33 ernelle, soit… des druides96. » Tristan élevé par Marc , son oncle maternel, devient ainsi, en vertu du fosterage, le « fils 
10 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
34 ristan et la princesse voguent vers les terres de Marc . En haute mer, le vent tombe, la chaleur est pesante. Ils ont soif. L
35 ion qu’il a reçue du roi. Il conduit donc Iseut à Marc , malgré leur trahison. Brangien, substituée à Iseut par ruse, passera
36 ’une nouvelle ruse (scène du verger), il convainc Marc de son innocence et revient à la cour. Le nain Frocine, complice des
37 ine, il sème de la « fleur de blé ». Tristan, que Marc a chargé d’une nouvelle mission, veut rejoindre une dernière fois son
38 qu’il a reçue à la jambe se rouvre par l’effort. Marc et les barons, alertés par le nain, font irruption dans le dortoir. I
39 ils y mènent une vie « aspre et dure ». Un jour, Marc les surprend endormis. Mais il se trouve que Tristan a déposé entre l
40 quel Tristan offre au roi de lui rendre sa femme. Marc promet son pardon. Les amants se séparent à l’approche du cortège roy
41 er dans le pays jusqu’à ce qu’il soit certain que Marc la traite bien. Puis, par une dernière ruse féminine, exploitant cett
42 e cet acte5. Pourquoi Tristan rend-il la reine à Marc , et cela même dans les versions où le philtre continue d’agir ? Si, c
43 « félons » les barons qui défendent l’honneur de Marc  ? Même si la jalousie meut ces barons, ils n’ont du moins ni menti ni
44 la fidélité au suzerain exige que Tristan livre à Marc la fiancée qu’il alla quérir — et qu’il avait conquise de plein droit
45 qu’ils ont bu le philtre. Cependant il la livre à Marc  : c’est que la règle de l’amour courtois s’oppose à ce qu’une telle p
46 ces sociales qui menacent les amants (présence de Marc , méfiance des barons, jugement de Dieu, etc.), Tristan bondit par-des
11 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
47 nelle, soit… des druides. »88 Tristan élevé par Marc , son oncle maternel, devient ainsi, en vertu du fosterage, le « fils 
12 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
48 voir également dans la rivalité de Tristan et de Marc le symbole de la lutte entre les Bretons armoricains et les Gallo-Fra
13 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
49 des naissantes. Et c’est aussi par l’entremise de Marc , je pense, que je rencontre peu de temps après Emmanuel Mounier qui p
50 Chevalley), Esprit (Mounier et Izard), Combat ( Marc et Dupuis) se partageaient vingt et une pages ; mes conclusions faisa
14 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
51 magne et de l’Italie. Parmi ses chefs : Brugmans, Marc , Silva, Voisin, Spinelli, Kogon, von Schenk, Miss Josephy, Adler. Les
15 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — L’amour même
52 Wagner (dans Tristan). 129. Paul Éluard. 130. Marc , 4, 32.
16 1963, Articles divers (1963-1969). L’amour ? le mariage ? la fidélité ? l’adultère ? la passion ? le couple ? (25 octobre 1963)
53 rc. Quand Tristan et Iseut, chassés de la cour de Marc vivent seuls dans la forêt, ils dorment pourtant séparés par une épée
17 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
54 aible, et il choisit de faire d’Iseut l’épouse de Marc , son véritable « père » coutumier. Du même coup, il culpabilise son a
55 de 14 ou 15 ans, séjourner chez son oncle le roi Marc « comme un homme étranger, et il fit si bien qu’en peu de temps il n’
56 maille en comparaison de lui ». À ce moment donc, Marc aime Tristan, qu’il ignore être son neveu. Puis Tristan triomphe du M
57 pouvoir ». (Sa culpabilité œdipienne vis-à-vis de Marc , substitut du père décédé, est redoublée par le souvenir de sa mère,
58 c dans les relations triangulaires entre Tristan, Marc et Iseut. Ces contradictions sont illustrées par tous les épisodes du
59 tabou courtois. S’il couchait avec elle mariée à Marc , il violerait le tabou de l’inceste, et tout s’effondrerait — l’ordre
60 it. Le deuxième voyage, en quête de la fiancée de Marc , répète à peu près le premier. Le troisième ressemble le plus à ce qu
18 1974, Articles divers (1974-1977). Alexandre Marc et l’invention du personnalisme (1974)
61 des naissantes. Et c’est aussi par l’entremise de Marc , je pense, que je rencontre peu de temps après Emmanuel Mounier, qui
62 ignorait tout. Le groupe de discussion réuni par Marc se place d’entrée de jeu sur un tout autre plan : celui des croyants,
63 nces » selon la formule de Péguy. L’initiative de Marc anticipait de plusieurs décennies sur l’évolution de l’œcuménisme. On
64 l est certain que nous nous sommes connus grâce à Marc , qui m’avait d’abord introduit à la revue Plans, puis invité au collo
65 ud Dandieu et de Mounier, également provoquée par Marc , date d’octobre de cette même année. Le premier numéro d’ Esprit vie
66 t vient de paraître. Il contient des articles de Marc et de moi. C’est dire que depuis plusieurs mois, nous travaillons ave
67 Mounier. Quel que soit le nombre des articles que Marc , Dandieu, Aron, Dupuis, Prévost ou moi avons pu lui donner, elle rest
68 ite église d’inquisiteurs ». Or, il sait bien que Marc et moi, qui faisons partie de sa première équipe de rédacteurs, appar
69 t cela en dépit de l’attrait qu’exercent déjà sur Marc le catholicisme et Péguy ; et en dépit aussi de mes sérieuses diverge
70 branches principales du mouvement personnaliste. Marc aura son bureau à Esprit de 1932 à 1934. Je m’occuperai ensuite, dè
71 in qu’à quatre ou cinq reprises l’intervention de Marc a seule prévenu une rupture, décidée de part ou d’autre, sur une ques
72 numéro 1 jusqu’à la guerre. Mais le fait est que Marc et moi étions fort loin de soupçonner qu’en 1936, l’année même de la
73 s et à Esprit , c’est dans L’Ordre nouveau que Marc allait trouver le climat le plus favorable à son génie d’initiateur.
74 e en scène et de mise en valeur de nos doctrines, Marc animait en fait le groupe en tant que tel, moins par ses conceptions
75 ené Dupuis et Jean jardin ont été condisciples de Marc à Sciences Po : le premier y retournera comme professeur ; le second,
76 trois rejoindront plus tard leur « foi »). Enfin, Marc va devenir catholique, en 1933. La résultante de ces diversités est u
77 dans notre doctrine unanime. Sous l’impulsion de Marc — et c’est typique de sa tactique et de ses méthodes — dès le premier
78 re Marc. Anticipant sur la postérité pour honorer Marc l’inventeur, je voudrais relever quelques-uns de ces thèmes — illustr
79 Source du droit. La seconde thèse fondamentale de Marc , durant toutes les années de lutte pour imposer une vision personnali
80 sympathique de Maurice Hauriou et de G. Gurvitch, Marc conclut avec Léon Duguit « qu’il existe une règle de droit antérieure
81 Sur ce thème central, quatre grands articles de Marc dans les numéros 20, 22-23, 29 et 31 de L’ON apportent une contribu
82 ’Hervé Lavenir, de Lewis Mumford et de… moi-même. Marc nous a tous précédés d’une trentaine d’années sur ce point.) Région
83 hel Glady et en collaboration avec Cl. Chevalley, Marc donne l’esquisse d’une recherche future sur les frontières différenci
84 édération de l’Europe, où nous nous retrouverons, Marc et moi, côte à côte, dès le congrès de Montreux en 1947. Mais ce n’es
85 seulement la vertu anticipatrice de la pensée de Marc dans les années 1930 qui me frappe à la relecture, c’est aussi le fai
86 me frappe à la relecture, c’est aussi le fait que Marc soit venu à l’Europe par les voies du personnalisme en premier lieu,
19 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
87 erage. Tristan est donc, en droit, le « fils » de Marc . Chargé par ce dernier de la « quête » d’Iseut, c’est ainsi de sa fut