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ensivement pensif… », écrit Raimbaut d’Orange. Et
Marcabru
: « Pour sage je le tiens sans nul doute celui qui dans mon chant dev
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e le langage « d’une crudité intraduisible » d’un
Marcabru
et même d’un Rudel. Mais tirer argument de cette crudité en faveur de
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ion serait inverse de celle des savants modernes.
Marcabru
n’hésite pas à nommer un chat un chat : c’est que cela ne choque pers
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ensivement pensif… », écrit Raimbaut d’Orange. Et
Marcabru
: « Pour sage je tiens sans nul doute celui qui dans mon chant devine
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aisse : qu’on se rappelle seulement les vers d’un
Marcabru
ou ceux d’un Raimbaut d’Orange cités plus haut74. Chose curieuse, les
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que je n’aie point d’elle ce qu’elle m’a promis. (
Marcabru
.) Voici le Service de la Dame : Prenez ma vie en hommage, belle et d
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ès avoir vidé sa bourse fait triste contenance ! (
Marcabru
.) Écoutez ! Sa voix (d’Amour) paraîtra douce comme le chant de la ly
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lyre, si seulement vous lui coupez la queue !83. (
Marcabru
.) Chasteté délivre de la tyrannie du désir en portant le Désir (cour
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nt à Faux Amour, il se voit vertement dénoncé par
Marcabru
et ses successeurs, en des termes qui peuvent éclairer indirectement
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sur certains de ces aspects. Et tout d’abord, dit
Marcabru
, « Il lie partie avec le diable, celui qui couve Faux Amour ». (Et en
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ensivement pensif… », écrit Raimbaut d’Orange. Et
Marcabru
: « Pour sage je tiens sans nul doute celui qui dans mon chant devine
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aisse : qu’on se rappelle seulement les vers d’un
Marcabru
ou d’un Raimbaut d’Orange, cités plus haut (au chap. 8). Chose curieu
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que je n’aie point d’elle ce qu’elle m’a promis. (
Marcabru
.) Voici le Service de la Dame : Prenez ma vie en hommage, belle de
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ès avoir vidé sa bourse fait triste contenance ! (
Marcabru
.) Écoutez ! Sa voix (d’Amour) paraîtra douce comme le chant de la ly
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la lyre, si seulement vous lui coupez la queue75 (
Marcabru
.) Chasteté délivre de la tyrannie du désir en portant le Désir (cour
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nt à Faux Amour, il se voit vertement dénoncé par
Marcabru
et ses successeurs, en des termes qui peuvent éclairer indirectement
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sur certains de ces aspects. Et tout d’abord, dit
Marcabru
, « Il lie partie avec le diable, celui qui couve Faux Amour ». (Et en
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e le langage « d’une crudité intraduisible » d’un
Marcabru
et même d’un Rudel. Mais tirer argument de cette crudité en faveur de
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ion serait inverse de celle des savants modernes.
Marcabru
n’hésite pas à nommer un chat un chat : c’est que cela ne choque pers
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aisse : qu’on se rappelle seulement les vers d’un
Marcabru
ou d’un Rambaut d’Orange. Chose curieuse, les troubadours chez lesque
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que je n’aie point d’elle ce qu’elle m’a promis. (
Marcabru
.) Voici le Service de la Dame : Prenez ma vie en hommage, belle de
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ès avoir vidé sa bourse fait triste contenance ! (
Marcabru
.) Écoutez ! Sa voix (d’Amour) paraîtra douce comme le chant de la lyr
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lyre, si seulement vous lui coupez la queue !25 (
Marcabru
.) Chasteté délivre de la tyrannie du désir en portant le Désir (cour
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nt à Faux Amour, il se voit vertement dénoncé par
Marcabru
et ses successeurs, en des termes qui peuvent éclairer indirectement
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sur certains de ses aspects. Et tout d’abord, dit
Marcabru
, « Il lie partie avec le diable, celui qui couve Faux Amour ». (Et en
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conne et charentaise par Cercamon, les Ventadour,
Marcabru
et Rudel. Or nous savons que Marcabru, protégé par le fils de Guillau
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Ventadour, Marcabru et Rudel. Or nous savons que
Marcabru
, protégé par le fils de Guillaume IX, fut l’élève des moines de Saint