1 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’écrivain et l’événement (7-8 septembre 1968)
1 omme Trotski, Romain Rolland, Koestler, Sartre ou Marcuse  : non par le style lui-même, indifférent, mais par le contenu idéolog
2 1969, Articles divers (1963-1969). « La lecture des Nourritures terrestres… » [réponse à un questionnaire sur l’influence d’André Gide] (printemps 1969)
2 (Pour les autres, il est vrai, cela change tout : Marcuse , ni lu ni connu mais « actuel » selon les courriéristes littéraires.)
3 1970, Le Cheminement des esprits. Postface. L’écrivain et l’événement
3 omme Trotski, Romain Rolland, Koestler, Sartre ou Marcuse  : non par le style lui-même, mais par le contenu d’un discours idéolo
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte, suite et fin
4 rd’hui une bonne critique du niveau de vie ? Dans Marcuse  ? Dans François Perroux ? Ce niveau reste défini, dans notre société
5 1973, Responsabilité de l’écrivain dans la société européenne d’aujourd’hui (1973). Le ludion, le contestataire et le prophète
5 ontester comme Trotski, Romain Rolland, Sartre ou Marcuse  : non par le style lui-même, indifférent ou neutre, mais par le conte
6 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). I. Alpbach : le trentième anniversaire du Forum européen
6 t, freudo-marxiste (Adorno, Horkheimer, Habermas, Marcuse ), n’est certes pas antieuropéenne par principe, au départ. Mais il se
7 1978, Articles divers (1978-1981). Réfléchir à ce que le terrorisme signifie (4 janvier 1978)
7 convaincu qu’aucun de ceux-ci n’a lu sérieusement Marcuse , non plus d’ailleurs que les œuvres de Böll ou Grass, ni même de Marx
8 1980, Articles divers (1978-1981). Le bilan culturel de la décennie 1970-1980 (1980)
8 sophes freudo-marxistes de l’École de Francfort — Marcuse , Ernst Bloch, Adorno, W. Reich, Horkheimer, et aux pièces de théâtre