1
mour (c’est la Sophia chez les gnostiques grecs ;
Maria
chez les cathares.) L’Église d’Amour, la Santa Gleyzia des cathares,
2
un bar, en compagnie d’un peintre réfugié, nommé
Maria
. Je l’avais connu quelques années auparavant dans un groupe politique
3
veille de mon départ, comme nous sortions du bar,
Maria
et moi, une édition du matin nous apprend l’incendie du Reichstag. Je
4
veille de ce cataclysme. » La lettre était signée
Maria
. — Un vrai drame du destin ! fis-je après un moment. Le type même du
5
nseiller intime. — Je veux bien y aller, dis-je à
Maria
, mais ce sera court : je lui conseillerai de démissionner. — C’est fa
6
un bar, en compagnie d’un peintre réfugié, nommé
Maria
. Je l’avais connu quelques années auparavant dans un groupe politique
7
veille de mon départ, comme nous sortions du bar,
Maria
et moi, une édition du matin nous apprend l’incendie du Reichstag. Je
8
ille de ce cataclysme. » La lettre était signée «
Maria
». « Un vrai drame du destin ! » fis-je après un moment. Le type même
9
e bien après la Réformation, le Notre Père, l’Ave
Maria
et le Credo constituent la seule doctrine transmise, à quoi s’ajoute
10
on. Elle ne peut me pardonner d’avoir assimilé la
Maria
de l’hérésie à la Sophia gnostique, et cette Maria-Sophia à l’Église
11
thare (selon moi) de Peire Cardenal, Vera vergena
Maria
: Marie est la vraie Vierge, née « en Syrie », mais devenue la Reine