1 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
1 mour (c’est la Sophia chez les gnostiques grecs ; Maria chez les cathares.) L’Église d’Amour, la Santa Gleyzia des cathares,
2 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
2 un bar, en compagnie d’un peintre réfugié, nommé Maria . Je l’avais connu quelques années auparavant dans un groupe politique
3 veille de mon départ, comme nous sortions du bar, Maria et moi, une édition du matin nous apprend l’incendie du Reichstag. Je
4 veille de ce cataclysme. » La lettre était signée Maria . — Un vrai drame du destin ! fis-je après un moment. Le type même du
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
5 nseiller intime. — Je veux bien y aller, dis-je à Maria , mais ce sera court : je lui conseillerai de démissionner. — C’est fa
4 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
6 un bar, en compagnie d’un peintre réfugié, nommé Maria . Je l’avais connu quelques années auparavant dans un groupe politique
7 veille de mon départ, comme nous sortions du bar, Maria et moi, une édition du matin nous apprend l’incendie du Reichstag. Je
8 ille de ce cataclysme. » La lettre était signée «  Maria  ». « Un vrai drame du destin ! » fis-je après un moment. Le type même
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
9 e bien après la Réformation, le Notre Père, l’Ave Maria et le Credo constituent la seule doctrine transmise, à quoi s’ajoute
6 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
10 on. Elle ne peut me pardonner d’avoir assimilé la Maria de l’hérésie à la Sophia gnostique, et cette Maria-Sophia à l’Église
11 thare (selon moi) de Peire Cardenal, Vera vergena Maria  : Marie est la vraie Vierge, née « en Syrie », mais devenue la Reine