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(comme ont pu le croire Aroux et Péladan), ni la
Maria-Sophia
des hérésies gnostiques (le Principe féminin de la divinité), ne sera
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(comme ont pu le croire Aroux et Péladan), ni la
Maria-Sophia
des hérésies gnostiques (le Principe féminin de la divinité), ne sera
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aria de l’hérésie à la Sophia gnostique, et cette
Maria-Sophia
à l’Église cathare217. J’ai beau plaider que je n’ai rien inventé, qu
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penser de quelqu’un qui ne conçoit pas l’identité
Maria-Sophia
dans la psychologie religieuse219 parce que, dit-elle, le dogme maria