1 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
1 e de la paix » que ce brave officier réclama pour Martin le maximum de la peine, non sans avoir cité une pensée de Pascal en l
2 ns entrer donc dans le vif du débat — à savoir si Martin , « objecteur de conscience », a donné par son acte la preuve d’une ob
3 s braves gens, qui par ailleurs mettent en prison Martin parce qu’il refuse de faire la guerre. (Ça n’est pas tout à fait des
4 an-Richard Bloch l’a dit à la barre des témoins : Martin fait dans la paix ce que firent à la guerre ses aînés : c’est pour la
5 omme, dit le pasteur Cooreman. C’était le Christ. Martin est coupable de l’avoir accepté. » Sur quoi le commissaire du gouvern
6 subtile philosophie ». André Philip, défenseur de Martin , lui répondra non sans violence : « C’est faux ! Vous faites de la th
7 ière pour les réformistes ! Mais il faut rendre à Martin cette justice que sa muette intransigeance a bien plus de portée. Pre
8 de principes faux en faits absurdes, le geste de Martin , détaché de ses considérants individuels, s’isole comme un signal de
2 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VII. De la géographie à l’histoire
9 rope ne le cède pas à toute l’Asie, grâce au seul Martin .31 À Martin de Tours s’ajoutent bientôt d’innombrables saints europ
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
10 le cède pas à toute l’Asie, et cela grâce au seul Martin .46 À Martin de Tours s’ajoutent bientôt d’innombrables saints europ
4 1971, Articles divers (1970-1973). Quand Paul Martin voulait faire courir l’Europe (1971)
11 « Commission de pédagogie sportive », animée par Martin et Silva, met au point une charte imposante et un brevet. Celui-ci se