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in. Or l’ordre, pour M. de Montherlant comme pour
Maurras
, est ce qu’il importe de sauvegarder, avant tout autre principe. Jusq
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aise ; remarquons toutefois cette séparation, que
Maurras
n’a pas faite aussi franchement, du catholicisme et du christianisme,
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— me paraît infiniment plus forte que celle d’un
Maurras
ou que celle d’un Maritain. Son unité est plus réellement profonde, s
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ais aussi de lucidité. Séduit par Gide ; admirant
Maurras
sans l’aimer ; saluant en Valéry une réussite unique mais presque inh
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pas et la santé et la raison. Il s’est trouvé des
Maurras
et autres « héritiers de la grande tradition gréco-latine » pour assi
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lteront contre le joug atrocement positiviste des
Maurras
et des Mussolini, des Lénine et des Ford. Alors les hommes hurleront
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hie, l’ironie, le sentiment, un réveil des vieux,
Maurras
, Lounatcharsky, la SDN, et même Edmond Gillard, et même, et surtout,
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ailleurs divergents : « Barrès dans son éthique,
Maurras
dans son esthétique, les Surréalistes dans leur métaphysique, font pr
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es immédiatement utilisables. Simond dénonce chez
Maurras
l’impardonnable confusion des valeurs que représente son positivisme
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. Mais, d’autre part, le « politique d’abord » de
Maurras
, l’insistance mise sur la forme de l’État, paraissent bien inactuels
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qu’il est, dans l’ordre même de son péché. Ainsi
Maurras
, lorsqu’il dénonce les mythes de l’hégélianisme social. « Le meilleur
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nt aussi, et jusque dans son scepticisme, lorsque
Maurras
proclame après Auguste Comte : « Les morts gouvernent les vivants. »
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Rousseau, Robespierre ou Proudhon, Marx, Sorel ou
Maurras
, voire Guesde et Jaurès. Leurs doctrines sont passées dans les mœurs,
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Rousseau, Robespierre ou Proudhon, Marx, Sorel ou
Maurras
, voire Guesde et Jaurès. Leurs doctrines sont passées dans les mœurs,
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orter une canne ferrée et louer la « rigueur » de
Maurras
. Hélas. Tout change ! Tout change ! comme disait avec beaucoup de sim
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cle dernier avec ceux du protestantisme français.
Maurras
, lorsqu’il voulut s’en prendre aux réformés, ne trouva rien de mieux
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é. Et Comte, en trois formules, dont plus tard un
Maurras
aimera se répéter les « syllabes sacrées », définit la même assurance
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evient complet que par elle. Et cela nous donnera
Maurras
, et certains éléments du fascisme. Aux noms de Hegel, de Marx et d’En
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é. Et Comte, en trois formules, dont plus tard un
Maurras
aimera se répéter les « syllabes sacrées », définit la même assurance
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evient complet que par elle. Et cela nous donnera
Maurras
, et certains éléments du fascisme. Aux noms de Hegel, de Marx et d’En
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rix, fût-ce au prix de la guerre chez les autres.
Maurras
affirme que « la paix est le chef-d’œuvre de l’art humain ». Voilà qu
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s anciens est essentiellement celle de Barrès, de
Maurras
, de Sorel, de Péguy, de Claudel, de Rolland, de Bergson, qui tous, bi
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nité » que veulent être M. de Reynold, M. Massis,
M. Maurras
. J’y vois tout au plus un moyen d’esquiver des questions plus directe
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péché, ni dans l’ordre à venir de la grâce. Ainsi
Maurras
, lorsqu’il dénonce les mythes de l’hégélianisme social. « Le meilleur
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, un rêve, une liberté future. Non pas comme chez
Maurras
dans le passé, comme chez Barrès dans la terre et les morts, ou comme
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, un rêve, une liberté future. Non pas comme chez
Maurras
, dans le passé, comme chez Barrès dans la terre et les morts, ou comm
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rotestants ; pas plus qu’un mélange de Marx et de
Maurras
ne donnera des libéraux ; ou qu’un mélange de Français et d’Allemands
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encyclopédistes à Lénine, en passant par Marx ou
Maurras
, Mazzini, H. S. Chamberlain ou Sorel. Je lis dans une revue réputée c
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lant ne savoir que des vérités françaises, par un
Maurras
jetant l’infamie, dans la personne de Romain Rolland, sur tout ce qui
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hommes sous-estiment l’efficacité. » Il semble à
Maurras
suffisant, mais nécessaire, que l’écrivain maintienne au-dessus de l’
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Cependant, malgré les efforts d’un Barrès ou d’un
Maurras
en France, et de nombreux théoriciens allemands, le nationalisme bour
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le service de la cité comme le voulaient Platon,
Maurras
, Staline, Hitler et le Duce. D’où l’on voit que le « politique d’abor
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e. D’où l’on voit que le « politique d’abord » de
Maurras
ne veut rien dire, car il n’y a pas de politique à priori, ni de stra
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les écrivains du premier rang : Kipling, Barrès,
Maurras
, d’Annunzio et Stefan George, suivis par des centaines d’épigones. Le
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le service de la cité comme le voulaient Platon,
Maurras
, Staline, Hitler et le Duce. D’où l’on voit que la « politique d’abor
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e. D’où l’on voit que la « politique d’abord » de
Maurras
ne veut rien dire, car il n’y a pas de politique à priori, ni de stra
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uère de raisons de m’intéresser aux démêlés entre
Maurras
et le Vatican.) Il y a donc triple falsification : — la phrase citée
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quaient d’autre part des penseurs de droite comme
Maurras
, ils étaient contre cet individualisme « atomisé », mais ils étaient