1 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
1 s asiatique, égyptien et romain ». Mais dès 1846, Michelet annonce la réaction pessimiste : « Quelle humiliation de voir, en fac
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
2 asiatiques, égyptien et romain ». Mais dès 1846, Michelet annonce la réaction pessimiste : « Quelle humiliation de voir, en fac
3 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
3 élanger les clichés et les faits, et l’on invoque Michelet pour faire passer Lénine. Sur un terme inutile et incertain. — L’usa
4 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
4 n de la fraternité internationale sur le globe. Michelet , lui aussi, exalte « l’intime harmonie qui doit unir toutes les parti
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
5 a Hongrie. Bruno Bauer, Gioberti et Mazzini, puis Michelet dénoncent le panslavisme. Heine voit la Russie comme une méduse à la
6 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « La Suisse est née de la révolte de pâtres libertaires contre le despote autrichien »
6 s de la Suisse, serfs révoltés des Autrichiens » ( Michelet ). 7. On les appelle aussi Markgenossenschaften, littéralement : coop
7 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Appendice. Bref historique de la légende de Tell
7 s d’Hodler, les élans lyriques de Victor Hugo, de Michelet , de tant d’autres romantiques, les déclarations politiques des grands
8 1981, Articles divers (1978-1981). L’Avenir est notre affaire (mai 1981)
8 sure où elle a été réelle et non pas inventée par Michelet . Aujourd’hui, nous avons hélas de bonnes raisons rationnelles d’avoir
9 1988, Inédits (extraits de cours). Révolution
9 Mickiewicz) ou les nationalistes (comme Gioberti, Michelet , Heine, Mazzini) ont provoqué 1848, que j’appelle, plutôt qu’une révo